Des diplomates ivoiriens rappelés par la tutelle, pour des intérêts personnels, mènent une campagne de presse contre la représentation diplomatique de la Côte d’Ivoire en France.
Un groupe de travailleurs au sein de la représentation diplomatique ivoirienne a décidé de ramer à contre-courant des actions de l’ambassadeur Charles GOMIS. Leur manière de fonctionner consiste à s’attacher des services d’une presse à scandale pour salir l’Ambassadeur et certains de ses collaborateurs. Et pourtant, à son arrivée sur les bords de la seine, SEM Charles GOMIS s’est retrouvé face à de véritables problèmes qu’il se devait de résoudre pour donner une fière allure à la représentation diplomatique ivoirienne en France. Et ce, sur instruction du Président ivoirien Alassane Ouattara. Car les prédécesseurs de Charles GOMIS ont laissé des héritages vraiment amers. Il fallait d’abord commencer par l’effectif pléthorique des travailleurs. A la prise de fonction du nouvel Ambassadeur, c’était un peu plus de cent cinquante (150) agents qui travaillaient au sein de la représentation diplomatique ivoirienne. Pour le Président ivoirien, cela est inadmissible. Il a donc demandé à l’Ambassadeur de réduire cet effectif à cinquante (50). Que ce soit au niveau des diplomates ou des agents locaux. C’est ce que SEM Charles GOMIS s’est employé à faire avec tout ce que cela comporte comme réactions des concernés et les accompagnements financiers. Comme il fallait s’attendre, il y a toujours des mécontents. Et ce sont ces derniers qui ont décidé de ternir l’image de l’ambassade de la Côte d’Ivoire en France avec la complicité d’une certaine presse. Et pourtant les réalités sont très différentes de ce que nous peint cette presse dans ses colonnes. En effet les précédents ambassadeurs n’avaient pas pris les dispositions pour déclarer les travailleurs locaux auprès des structures sociales que sont l’URSSAF, la CAF et ASSEDIC. Des agents locaux se retrouvent aujourd’hui à la retraite sans pension parce que l’employeur, qui est l’ambassade, ne les a pas déclarés auprès des structures adéquates pour les cotisations. Pour remédier à cela, l’Etat ivoirien doit rembourser ses dettes accumulées vis-à-vis de ces institutions depuis des années. « Nous sommes en train de négocier avec toutes ces structures pour trouver un échelonnement du remboursement de toutes ces dettes et améliorer les conditions de nos travailleurs. Car ce sont des centaines de milliers d’euros que nous devons à l’état français à travers ces structures», nous a confié un diplomate. Selon notre interlocuteur, l’ambassadeur prend les dispositions pour réduire désormais les dépenses. En autre la vente d’une voiture de marque Mercedes qui a permis l’achat d’une nouvelle Citroën et d’un minicar de transport des agents en mission. Malheureusement, certains diplomates aveuglés par leurs intérêts personnels et leur aigreur, ne voient pas ces actions. Parce qu’ils ont été rappelés au pays, ils ont décidé de prendre à partie l’ambassadeur et certains ses collaborateurs. Profitant des années troubles qu’a connu la Côte d’Ivoire, ils ont dépassé le délai de six ans qu’un diplomate doit passer à un poste. Au lieu de se soumettre à ses mesures que le Président Alassane Ouattara a décidé de mettre en application, des individus font croire qu’ils sont victimes d’une chasse aux sorcières. De sources bien introduites, cette liste de diplomates rappelés a été établie par le ministère des affaires étrangère et entériné par la Présidence de la République. Ils sont rentrés en campagne de dénigrements contre la représentation diplomatique de leur pays en France. C’est désormais une triste réalité de voir que chaque semaine tous les petits problèmes de l’ambassade de Côte d’Ivoire en France soient exposés sur la place publique. Heureusement que SEM Charles GOMIS se met au-dessus de tout pour privilégier l’honneur et la crédibilité Du pays.
Eugène Yobouet à Paris
Un groupe de travailleurs au sein de la représentation diplomatique ivoirienne a décidé de ramer à contre-courant des actions de l’ambassadeur Charles GOMIS. Leur manière de fonctionner consiste à s’attacher des services d’une presse à scandale pour salir l’Ambassadeur et certains de ses collaborateurs. Et pourtant, à son arrivée sur les bords de la seine, SEM Charles GOMIS s’est retrouvé face à de véritables problèmes qu’il se devait de résoudre pour donner une fière allure à la représentation diplomatique ivoirienne en France. Et ce, sur instruction du Président ivoirien Alassane Ouattara. Car les prédécesseurs de Charles GOMIS ont laissé des héritages vraiment amers. Il fallait d’abord commencer par l’effectif pléthorique des travailleurs. A la prise de fonction du nouvel Ambassadeur, c’était un peu plus de cent cinquante (150) agents qui travaillaient au sein de la représentation diplomatique ivoirienne. Pour le Président ivoirien, cela est inadmissible. Il a donc demandé à l’Ambassadeur de réduire cet effectif à cinquante (50). Que ce soit au niveau des diplomates ou des agents locaux. C’est ce que SEM Charles GOMIS s’est employé à faire avec tout ce que cela comporte comme réactions des concernés et les accompagnements financiers. Comme il fallait s’attendre, il y a toujours des mécontents. Et ce sont ces derniers qui ont décidé de ternir l’image de l’ambassade de la Côte d’Ivoire en France avec la complicité d’une certaine presse. Et pourtant les réalités sont très différentes de ce que nous peint cette presse dans ses colonnes. En effet les précédents ambassadeurs n’avaient pas pris les dispositions pour déclarer les travailleurs locaux auprès des structures sociales que sont l’URSSAF, la CAF et ASSEDIC. Des agents locaux se retrouvent aujourd’hui à la retraite sans pension parce que l’employeur, qui est l’ambassade, ne les a pas déclarés auprès des structures adéquates pour les cotisations. Pour remédier à cela, l’Etat ivoirien doit rembourser ses dettes accumulées vis-à-vis de ces institutions depuis des années. « Nous sommes en train de négocier avec toutes ces structures pour trouver un échelonnement du remboursement de toutes ces dettes et améliorer les conditions de nos travailleurs. Car ce sont des centaines de milliers d’euros que nous devons à l’état français à travers ces structures», nous a confié un diplomate. Selon notre interlocuteur, l’ambassadeur prend les dispositions pour réduire désormais les dépenses. En autre la vente d’une voiture de marque Mercedes qui a permis l’achat d’une nouvelle Citroën et d’un minicar de transport des agents en mission. Malheureusement, certains diplomates aveuglés par leurs intérêts personnels et leur aigreur, ne voient pas ces actions. Parce qu’ils ont été rappelés au pays, ils ont décidé de prendre à partie l’ambassadeur et certains ses collaborateurs. Profitant des années troubles qu’a connu la Côte d’Ivoire, ils ont dépassé le délai de six ans qu’un diplomate doit passer à un poste. Au lieu de se soumettre à ses mesures que le Président Alassane Ouattara a décidé de mettre en application, des individus font croire qu’ils sont victimes d’une chasse aux sorcières. De sources bien introduites, cette liste de diplomates rappelés a été établie par le ministère des affaires étrangère et entériné par la Présidence de la République. Ils sont rentrés en campagne de dénigrements contre la représentation diplomatique de leur pays en France. C’est désormais une triste réalité de voir que chaque semaine tous les petits problèmes de l’ambassade de Côte d’Ivoire en France soient exposés sur la place publique. Heureusement que SEM Charles GOMIS se met au-dessus de tout pour privilégier l’honneur et la crédibilité Du pays.
Eugène Yobouet à Paris
