Le Premier ministre Daniel Kablan Duncan sera ce mercredi 19 février 2014, à Niakaramadougou, au Nord de la Côte d’Ivoire, pour procéder au lancement des activités de l'Organisation des producteurs exportateurs de bananes, d'ananas, de mangues et autres fruits d'exportation de Côte d'Ivoire (OBAMCI) qui ambitionne, à terme, de créer un ensemble de plantations de bananes douces de 500 hectares. Un vaste projet qui, dans l’imagerie populaire, pourrait sembler surréaliste.
Le Premier Ministre, qui sera accompagné du Ministre de l’Agriculture, M. Mamadou Sangafowa Coulibaly, va donner le coup de départ de ce projet dont le but est de redynamiser l’économie rurale dans le Nord du pays, en rapport avec le programme du Président de la République, Alassane Ouattara.
Le projet situé en bordure du fleuve Bandaman, dans le village de Nabedjakaha (entre les villes de Niakaramadougou et de Tortiya), s’articulera dans une première phase autour d’un ensemble de plantations d’une superficie totale de 250 à 300 hectares. A terme, le projet s’étendra à 500 hectares, au plus tard en 2018, et devrait permettre la production, dès 2019, de 21.000 tonnes de bananes destinées à l’exportation.
Les investissements nécessaires à la mise en œuvre du projet sont de l’ordre de 4.9 milliards FCFA.
Cette nouvelle activité agricole, à en croire les promoteurs, générera la création de plus de 700 emplois directs et permanents (ouvriers, employés, agents de maîtrise, cadres…) et bénéficiera indirectement à plus de 4.000 personnes. En outre, elle suscitera ou dopera de nouvelles activités économiques comme l’alimentation, les banques, l’immobilier, le transport, etc.
Signalons que des infrastructures sociales (dispensaire, école, logements …) accompagneront la mise en œuvre de ce projet.
Ainsi, la banane peut bien pousser au Nord, et en quantité industrielle, contrairement aux idées encore répandues qui en font une culture circonscrite aux zones forestières.
Le Premier Ministre, qui sera accompagné du Ministre de l’Agriculture, M. Mamadou Sangafowa Coulibaly, va donner le coup de départ de ce projet dont le but est de redynamiser l’économie rurale dans le Nord du pays, en rapport avec le programme du Président de la République, Alassane Ouattara.
Le projet situé en bordure du fleuve Bandaman, dans le village de Nabedjakaha (entre les villes de Niakaramadougou et de Tortiya), s’articulera dans une première phase autour d’un ensemble de plantations d’une superficie totale de 250 à 300 hectares. A terme, le projet s’étendra à 500 hectares, au plus tard en 2018, et devrait permettre la production, dès 2019, de 21.000 tonnes de bananes destinées à l’exportation.
Les investissements nécessaires à la mise en œuvre du projet sont de l’ordre de 4.9 milliards FCFA.
Cette nouvelle activité agricole, à en croire les promoteurs, générera la création de plus de 700 emplois directs et permanents (ouvriers, employés, agents de maîtrise, cadres…) et bénéficiera indirectement à plus de 4.000 personnes. En outre, elle suscitera ou dopera de nouvelles activités économiques comme l’alimentation, les banques, l’immobilier, le transport, etc.
Signalons que des infrastructures sociales (dispensaire, école, logements …) accompagneront la mise en œuvre de ce projet.
Ainsi, la banane peut bien pousser au Nord, et en quantité industrielle, contrairement aux idées encore répandues qui en font une culture circonscrite aux zones forestières.