Les exploitants de bois de vêne n’ont pas encore fini de pleurer sur leurs sorts. Quoiqu’ils fassent, ils ne sont jamais compris par les gouvernants. Pour cela une conférence de presse est prévue pour donner un coup de pied dans la fourmilière dans les heures qui suivent.
Les jours passent et se ressemblent chez les exploitants de bois de Vêne malgré toutes les justifications à eux données pour convaincre le gouvernement celui-ci reste toujours de marbre. Le malheur de ces tâcherons provient d’un décret pris par le ministre Badaud Darret en juillet 2013 qui interdisait l’exploitation et la vente de ce type de bois sur toute l’étendue du territoire nationale. Il est aussi bien de rappeler que le gouvernement en prenant ce décret contrairement ce que l’on voulait faire croire, à savoir conserver le couvert forestier, voulait nuire aux intérêts des ces opérateurs économiques. Parce que le bois de vêne, primo ne pousse pas dans les zones forestières, il pousse plutôt dans les zones de savane. Secundo compte-tenu de la décision du gouvernement les opérateurs de ce secteur ont décidé de présenter un moratoire au gouvernement. Il ne contenait uniquement qu’une certaine doléance .A savoir de leur permettre de ramasser le bois déjà coupé et de pouvoir les vendre. C’est ce qu’a dit en substance un des délégués des exploitants forestier que nous avons rencontré. Aussi clair que l’eau de roche ces revendications, le gouvernement n’en a cure. Or ce secteur d’activité de notre économie emploie plus de 1000 jeunes, génère des Milliards. Signalons qu’un m3 de ce bois coûte 250.000 Frs. Et le bois de vêne intervient dans la fabrication de bateaux de luxe. C’est-à-dire les bateaux de croisières. A cela s’ajoute la fabrication des cross d’armes à feu. Les meilleurs acheteurs de ce bois en Côte d’ Ivoire restent les chinois. Donc malgré toutes les supplications, doléances et clémences des exploitants de bois de vêne adressés à nos gouvernants à travers un moratoire, ceux-ci font la sourde oreille. Même une rencontre prévu ces jours-ci au niveau de la présidence de la république n’a rien donné. Pour donner de la voix et pour attirer l’attention du ministre des eaux et forêt Babaud Darret, les exploitants de bois de vêne ont décidé de mener une opération d’envergure. Une conférence de presse sera organisée par ces derniers pour dénoncer l’injustice dont ils sont victimes. Et aussi pour voir dans quelle mesure l’Etat peut les aider à récupérer l’argent qu’ils ont déjà investi. Un violent coup sera donné à la fourmilière pour faire comprendre certaine chose à l’opinion et de dénoncer tout ceux qui se sucre sur leur dos. Car il faut le reconnaitre, il y a des charognards qui se sont infiltrés dans ce secteur et qui profitent de l’argent généré par les exploitants. Plusieurs ministères qui n’ont rien à avoir avec le bois jouissent des revenus de cette matière. Pour en savoir préparez-vous à aller à cette conférence dont la date sera décidée très prochainement?
JC DELI
Jcdeli09@gmail.com
Les jours passent et se ressemblent chez les exploitants de bois de Vêne malgré toutes les justifications à eux données pour convaincre le gouvernement celui-ci reste toujours de marbre. Le malheur de ces tâcherons provient d’un décret pris par le ministre Badaud Darret en juillet 2013 qui interdisait l’exploitation et la vente de ce type de bois sur toute l’étendue du territoire nationale. Il est aussi bien de rappeler que le gouvernement en prenant ce décret contrairement ce que l’on voulait faire croire, à savoir conserver le couvert forestier, voulait nuire aux intérêts des ces opérateurs économiques. Parce que le bois de vêne, primo ne pousse pas dans les zones forestières, il pousse plutôt dans les zones de savane. Secundo compte-tenu de la décision du gouvernement les opérateurs de ce secteur ont décidé de présenter un moratoire au gouvernement. Il ne contenait uniquement qu’une certaine doléance .A savoir de leur permettre de ramasser le bois déjà coupé et de pouvoir les vendre. C’est ce qu’a dit en substance un des délégués des exploitants forestier que nous avons rencontré. Aussi clair que l’eau de roche ces revendications, le gouvernement n’en a cure. Or ce secteur d’activité de notre économie emploie plus de 1000 jeunes, génère des Milliards. Signalons qu’un m3 de ce bois coûte 250.000 Frs. Et le bois de vêne intervient dans la fabrication de bateaux de luxe. C’est-à-dire les bateaux de croisières. A cela s’ajoute la fabrication des cross d’armes à feu. Les meilleurs acheteurs de ce bois en Côte d’ Ivoire restent les chinois. Donc malgré toutes les supplications, doléances et clémences des exploitants de bois de vêne adressés à nos gouvernants à travers un moratoire, ceux-ci font la sourde oreille. Même une rencontre prévu ces jours-ci au niveau de la présidence de la république n’a rien donné. Pour donner de la voix et pour attirer l’attention du ministre des eaux et forêt Babaud Darret, les exploitants de bois de vêne ont décidé de mener une opération d’envergure. Une conférence de presse sera organisée par ces derniers pour dénoncer l’injustice dont ils sont victimes. Et aussi pour voir dans quelle mesure l’Etat peut les aider à récupérer l’argent qu’ils ont déjà investi. Un violent coup sera donné à la fourmilière pour faire comprendre certaine chose à l’opinion et de dénoncer tout ceux qui se sucre sur leur dos. Car il faut le reconnaitre, il y a des charognards qui se sont infiltrés dans ce secteur et qui profitent de l’argent généré par les exploitants. Plusieurs ministères qui n’ont rien à avoir avec le bois jouissent des revenus de cette matière. Pour en savoir préparez-vous à aller à cette conférence dont la date sera décidée très prochainement?
JC DELI
Jcdeli09@gmail.com