Le ministre ivoirien de l’agriculture, Mamadou Sangafowa Coulibaly a confié, jeudi, à APA que la Côte d’Ivoire ambitionne de transformer, sur place, 50% de sa production agricole d’ici 2015 à 2016, convaincu que son pays ira le plus loin possible dans la transformation du cacao.
« Les producteurs gagnent mieux leur vie puisqu'ils sont désormais payés à 60% du prix à l'international. Nous sommes satisfaits mais il reste encore à améliorer la qualité végétale de la production», a indiqué le ministre Coulibaly en marge du 51è Salon international de l'agriculture (SIA) qui a démarré samedi à Paris.
« Aujourd'hui, 35% des produits agricoles sont transformés en Côte d'Ivoire. Nous visons 50% d'ici 2015 à 2016 » a-t-il expliqué en invitant « à encourager le rajeunissement du monde paysan, à installer des procédures et à regrouper les paysans en coopératives ».
« Sans ajouter un mètre carré supplémentaire, certaines variétés peuvent produire plus de 2,5 tonnes à l'hectare. Nous pouvons multiplier la production de cacao par trois », a encore dit Mamadou Sangafowa Mamadou.
« Nous sommes parfaitement capables de répondre à la hausse de la demande mondiale, notamment grâce au prix que nous payons aux producteurs locaux », a conclu le ministre ivoirien de l'agriculture qui conduit avec son collègue de la production animale et des ressources halieutiques, Kobénan Kouassi Adjoumani, la délégation ivoirienne au SIA 2014 qui s'achève dimanche.
MC/ls/hs/APA
« Les producteurs gagnent mieux leur vie puisqu'ils sont désormais payés à 60% du prix à l'international. Nous sommes satisfaits mais il reste encore à améliorer la qualité végétale de la production», a indiqué le ministre Coulibaly en marge du 51è Salon international de l'agriculture (SIA) qui a démarré samedi à Paris.
« Aujourd'hui, 35% des produits agricoles sont transformés en Côte d'Ivoire. Nous visons 50% d'ici 2015 à 2016 » a-t-il expliqué en invitant « à encourager le rajeunissement du monde paysan, à installer des procédures et à regrouper les paysans en coopératives ».
« Sans ajouter un mètre carré supplémentaire, certaines variétés peuvent produire plus de 2,5 tonnes à l'hectare. Nous pouvons multiplier la production de cacao par trois », a encore dit Mamadou Sangafowa Mamadou.
« Nous sommes parfaitement capables de répondre à la hausse de la demande mondiale, notamment grâce au prix que nous payons aux producteurs locaux », a conclu le ministre ivoirien de l'agriculture qui conduit avec son collègue de la production animale et des ressources halieutiques, Kobénan Kouassi Adjoumani, la délégation ivoirienne au SIA 2014 qui s'achève dimanche.
MC/ls/hs/APA
