Les travaux d’aménagement et d’extension de la zone de fret de l’aéroport Félix Houphouët-Boigny d’Abidjan ont été lancés, samedi dernier, par le Premier ministre, Daniel Kablan Duncan. Le coût total de ce projet estimé à 21,325 milliards FCFA, est financé à hauteur de 3,010 milliards FCFA (14%) par l’Etat ivoirien, 15,559 milliards FCFA (73%) par la Banque islamique de développement (Bid) et 2,755 milliards FCFA (13%) par Opec fund for international development (Ofid). Les travaux dureront 17 mois. Cet aérogare de fret, d’une superficie de 5.870 m2, devrait permettre de traiter un volume de 55.000 tonnes à terme avec la restructuration du Centre de fret, la réhabilitation et la construction d’entrepôts. Pour le chef du Gouvernement, le lancement des travaux témoigne de l’intérêt constant que l’Etat attache à ce grand secteur d’activité.
A cet effet, il a soutenu que la réalisation d’infrastructures aéroportuaires de qualité en était une condition sine qua non. Aussi, a-t-il engagé le ministre des Transports, Gaoussou Touré, à aller au-delà des travaux qui vont être réalisés en axant ses efforts sur deux aspects, à savoir : faire de ce projet une véritable plateforme de logistique performante pour le stockage et le traitement du fret aérien, en partenariat avec les opérateurs privés de ce secteur, les transitaires et autres acteurs. Le deuxième aspect sera de créer les synergies nécessaires entre la plateforme portuaire d’Abidjan, pour ce qui concerne le fret maritime, afin de faire de ces deux pôles que sont le fret maritime et le fret aérien, les maillons forts du développement économique du pays en ce qui concerne le commerce extérieur. Le ministère des Transports, Gaoussou Touré, qui entreprend des démarches en vue de l’acquisition du Certificat international de sûreté aérien à l’aéroport d’Abidjan, devrait accueillir le 17 mars prochain, une équipe d’experts de l’autorité de l’aviation civile américaine et de l’Organisation de l’aviation civile internationale (OACI). Le projet vieux de plus de 5 ans comprend la restructuration de l'ensemble de la zone de fret, la réalisation de nouvelles constructions (bâtiment de 4 niveaux, postes de contrôle), l’acquisition d’équipements et matériels modernes et surtout une configuration conforme aux dernières mesures internationales en matière de sûreté, de sécurité et de contrôle douanier. Pour le ministre, la modernisation de l’aérogare de fret vise donc à la redimensionner en vue de hisser l’infrastructure aéroportuaire à une capacité annuelle de 56.000 tonnes, conforme au diapason des ambitions de la Côte d’Ivoire qui veut faire d'Abidjan un hub du transport en Afrique de l'Ouest et du Centre. Tout un programme confié au groupe égyptien, Arab Contractors, sélectionné après un appel d’offres. Dans les tous prochains jours, il sera procédé au lancement de la ‘’ville aérocité″ devant être bâtie sur 3.700 ha, d’un coût de plus de 1.000 milliards FCFA.
BS
A cet effet, il a soutenu que la réalisation d’infrastructures aéroportuaires de qualité en était une condition sine qua non. Aussi, a-t-il engagé le ministre des Transports, Gaoussou Touré, à aller au-delà des travaux qui vont être réalisés en axant ses efforts sur deux aspects, à savoir : faire de ce projet une véritable plateforme de logistique performante pour le stockage et le traitement du fret aérien, en partenariat avec les opérateurs privés de ce secteur, les transitaires et autres acteurs. Le deuxième aspect sera de créer les synergies nécessaires entre la plateforme portuaire d’Abidjan, pour ce qui concerne le fret maritime, afin de faire de ces deux pôles que sont le fret maritime et le fret aérien, les maillons forts du développement économique du pays en ce qui concerne le commerce extérieur. Le ministère des Transports, Gaoussou Touré, qui entreprend des démarches en vue de l’acquisition du Certificat international de sûreté aérien à l’aéroport d’Abidjan, devrait accueillir le 17 mars prochain, une équipe d’experts de l’autorité de l’aviation civile américaine et de l’Organisation de l’aviation civile internationale (OACI). Le projet vieux de plus de 5 ans comprend la restructuration de l'ensemble de la zone de fret, la réalisation de nouvelles constructions (bâtiment de 4 niveaux, postes de contrôle), l’acquisition d’équipements et matériels modernes et surtout une configuration conforme aux dernières mesures internationales en matière de sûreté, de sécurité et de contrôle douanier. Pour le ministre, la modernisation de l’aérogare de fret vise donc à la redimensionner en vue de hisser l’infrastructure aéroportuaire à une capacité annuelle de 56.000 tonnes, conforme au diapason des ambitions de la Côte d’Ivoire qui veut faire d'Abidjan un hub du transport en Afrique de l'Ouest et du Centre. Tout un programme confié au groupe égyptien, Arab Contractors, sélectionné après un appel d’offres. Dans les tous prochains jours, il sera procédé au lancement de la ‘’ville aérocité″ devant être bâtie sur 3.700 ha, d’un coût de plus de 1.000 milliards FCFA.
BS