Environ 200 experts ivoiriens et partenaires au développement réfléchissent sur la rationalisation de l’orpaillage en Côte d’Ivoire, au cours d’un atelier ouvert hier par le Premier ministre, Daniel Kablan Duncan.
Les participants réfléchissent sur trois thèmes, à savoir "l’orpaillage, comment le rendre plus sain et contributif au développement", "la prise en charge des impacts de l’orpaillage sur le milieu et les activités" et "la prise en charge des impacts de l’orpaillage sur les acteurs". Cet atelier s’inscrit dans le cadre de la mise en œuvre du Plan d’action triennal de l’orpaillage (PATO).
"Je suis convaincu que les conclusions de vos travaux permettront de mettre au même niveau toutes les parties sur les actions de rationalisation de l’orpaillage pour booster les jalons du programme", a indiqué M. Duncan, à l’ouverture des travaux.
A ce jour, l’orpaillage, soumis à la seule loi du profit à court terme, provoque de graves dégâts sur l’environnement et la société, son exercice faisant appel à des techniques qui impactent négativement la santé des populations et dégradent la flore et la faune, déplore le ministère de l’Industrie et des Mines.
Il touche 24 régions sur les 31 que compte la Côte d’Ivoire et est exercé par plus de 500 000 personnes dans les milieux ruraux, précise ledit ministère.
Les participants réfléchissent sur trois thèmes, à savoir "l’orpaillage, comment le rendre plus sain et contributif au développement", "la prise en charge des impacts de l’orpaillage sur le milieu et les activités" et "la prise en charge des impacts de l’orpaillage sur les acteurs". Cet atelier s’inscrit dans le cadre de la mise en œuvre du Plan d’action triennal de l’orpaillage (PATO).
"Je suis convaincu que les conclusions de vos travaux permettront de mettre au même niveau toutes les parties sur les actions de rationalisation de l’orpaillage pour booster les jalons du programme", a indiqué M. Duncan, à l’ouverture des travaux.
A ce jour, l’orpaillage, soumis à la seule loi du profit à court terme, provoque de graves dégâts sur l’environnement et la société, son exercice faisant appel à des techniques qui impactent négativement la santé des populations et dégradent la flore et la faune, déplore le ministère de l’Industrie et des Mines.
Il touche 24 régions sur les 31 que compte la Côte d’Ivoire et est exercé par plus de 500 000 personnes dans les milieux ruraux, précise ledit ministère.