Yamoussoukro - La production cotonnière de la Côte d'Ivoire, bien qu’étant passée de 260.000 tonnes en 2012 à 350.000 tonnes en 2013, reste "en deçà" de la capacité nominale d'égrenage des unités industrielles, estimée à 600 000 tonnes, a fait savoir, jeudi, à Yamoussoukro, un conseiller technique du ministre de l'Agriculture, N'Golo Coulibaly, à l'ouverture des 12èmes journées de l'Association cotonnière africaine (ACA).
M. N'Golo Coulibaly a indiqué que, face à ce constat, le gouvernement sous l'impulsion et les orientations majeures du président de la République, Alassane Ouattara, a engagé des réformes pour l'optimisation de la production et l'amélioration de la qualité du coton.
Les réformes ont également pour objectifs de garantir un prix rémunérateur aux producteurs à au moins 60 % du prix CAF (coût Assurance Fret), la création des conditions de mise en place d'une interprofession représentative et crédible, l'augmentation de la valeur ajoutée par la transformation et l'amélioration du cadre et des conditions de vie des producteurs, a confié le conseiller de Coulibaly Mamadou Sangafowa, le ministre de l'Agriculture.
En Côte d'Ivoire, la filière coton constitue le maillon fort de l'économie rurale des régions nord et un facteur déterminant pour la lutte contre la pauvreté dans ces régions.
La libéralisation de la filière en 1998 et la privatisation partielle de la Compagnie ivoirienne du développement du textile (CIDT) et les crises sociopolitiques qui ont émaillées le pays ont créé un important dysfonctionnement qui a fait chuter la production de 400 000 tonnes à 120 000 tonnes et le nombre de producteurs de 180 000 à 50 000, rappelle-t-on.
(AIP)
Nam/kkp/ask
M. N'Golo Coulibaly a indiqué que, face à ce constat, le gouvernement sous l'impulsion et les orientations majeures du président de la République, Alassane Ouattara, a engagé des réformes pour l'optimisation de la production et l'amélioration de la qualité du coton.
Les réformes ont également pour objectifs de garantir un prix rémunérateur aux producteurs à au moins 60 % du prix CAF (coût Assurance Fret), la création des conditions de mise en place d'une interprofession représentative et crédible, l'augmentation de la valeur ajoutée par la transformation et l'amélioration du cadre et des conditions de vie des producteurs, a confié le conseiller de Coulibaly Mamadou Sangafowa, le ministre de l'Agriculture.
En Côte d'Ivoire, la filière coton constitue le maillon fort de l'économie rurale des régions nord et un facteur déterminant pour la lutte contre la pauvreté dans ces régions.
La libéralisation de la filière en 1998 et la privatisation partielle de la Compagnie ivoirienne du développement du textile (CIDT) et les crises sociopolitiques qui ont émaillées le pays ont créé un important dysfonctionnement qui a fait chuter la production de 400 000 tonnes à 120 000 tonnes et le nombre de producteurs de 180 000 à 50 000, rappelle-t-on.
(AIP)
Nam/kkp/ask
