Depuis l’avènement du Président Alassane Ouattara au pouvoir, la Côte d’Ivoire vit une période de réconciliation nationale avec le retour massif des exilés, et surtout l’entame d’un dialogue républicain avec l’opposition. Si la situation sociopolitique et sécuritaire s’est bien améliorée, des ministres de la République comme le titulaire du département de l’Intérieur et de la Sécurité, Hamed Bakayoko, ont apporté une touche magique à l’apaisement du climat social.
La Côte d’Ivoire est, tout bien calculé, un pays béni de Dieu avec des ministres de la République bien exceptionnels et consciencieux qui épousent parfaitement la vision éclairée et futuriste du Chef de l’Etat, SEM Alassane OUATTARA. Il suffit de jeter un regard rétrospectif sur la marche du pays depuis le 11 Avril 2011 pour s’en rendre compte. Pour le retour de la concorde civile et donc de la paix, les membres du gouvernement, chacun à son niveau, s’est totalement investi pour la réconciliation. Mais de tous les ministres coptés par le Président de la République, le ministre d’Etat, ministre de l’Intérieur, Hamed BAKAYOKO, a apporté singulièrement sa touche magique pour le retour à la normalité. Comme un ‘‘élève studieux’’; le fils du Worodougou a, au niveau de la réconciliation nationale, des visites d’Etat, du retour des exilés, du dialogue avec l’opposition ou de l’indice de sécurité, marqué d’une pierre blanche ces différents points par son savoir-faire et son savoir-être.
• HAMED BAKAYOKO AU DEPART DU DIALOGUE REPUBLICAIN ET DE LA RECONCILIATION NATIONALE
Le ministre d’Etat, Ministre de l’Intérieur fait partie des premiers membres du gouvernement qui ont très tôt pensé à la réconciliation des fils et filles de ce pays après la crise postélectorale. Lit-il dans les pensées du Président de la République ? Hamed BAKAYOKO n’a pas lésiné sur les moyens et les stratégies pour que le FPI et les autres partis de l’opposition acceptent de s’asseoir à la table de négociation avec le gouvernement. Pour poser les jalons de la réconciliation qu’il appelait de tous ses vœux, en prenant quelques fois des initiatives personnelles. Un travail de fourmi sous l’abri du gouvernement qui est porteur d’espoir avec le retour au bercail de la quasi-totalité des pro-GBAGBO en exil. Qui ne tarissent pas aujourd’hui d’éloges et de reconnaissance à son endroit pour la médiation qu’il a conduite dans les pays de la sous-région avec beaucoup de maestria.
Au niveau du dialogue Républicain, le ministre d’Etat Hamed Bakayoko, sous la houlette du gouvernement, a embouché très tôt la trompette pour tendre la main à l’opposition après l’appel pathétique, fraternel du Président Alassane OUATTARA. Ce dialogue engagé avec tous les opposants porte aujourd’hui ses fruits. Pascal Affi N’GUESSAN, le président du FPI, a abandonné ses discours enflammés pour revenir dans la République et à la table des négociations. Cette trêve porte aussi la touche magique du ministre d’Etat, Hamed BAKAYOKO. Celui qui traduit avec foi, assurance et fidélité les idées et la vision du Président Alassane OUATTARA pour une Côte d’Ivoire moderne et modèle. ‘‘C’est la voix du maître’’, a-t-on coutume de le dire sur les bords de la lagune Ebrié.
• LE RETOUR DES EXILES
Combien étaient-ils en exil à partir du 11 Avril 2011 ? Tous les irréductibles du pouvoir GBAGBO comme Marcel GOSSIO, DOGOU Alain, AMANI N’Guessan Michel, DJEDJE Benjamin et récemment, le ministre KOMOE Augustin, pour ne citer que ceux là, sont depuis quelques jours au pays sans être inquiétés. Avant ces grosses pointures du FPI, on a assisté à des retours par vagues successives d’ex-FDS. Le ministre d’Etat, ministre de l’Intérieur leur a donné la garantie à leur retour, à la faveur des audiences qu’il leur a accordées.
Ce respect de la parole donnée a permis à certains exilés qui se faisaient peur pour rien, de prendre le chemin du retour sur leur terre natale. Une réalité en Côte d’Ivoire qui a poussé des personnalités du monde entier à venir constater d’elles-mêmes l’apaisement social et le retour progressif à la normalité au pays du Président Alassane OUATTARA.
Au niveau de la communauté internationale, Monsieur Edmond MULET, Sous-Secrétaire des Nations-Unies au maintien de la paix, a récemment reconnu que c’est un pays apaisé où la sécurité revient. Quant à l’expert indépendant Onusien, Monsieur DOUDOU Diène, son diagnostic sur le terrain lui a permis de renchérir que la Côte d’Ivoire est sur la bonne voie pour un retour à la paix.
Tout comme Thierry de Saint Maurice, qui faisant le bilan de la coopération avec la Côte d’Ivoire, s’est aussi prononcé sur les avancées en matière de démocratie, de sécurité et de paix.
Aujourd’hui, il apparaît clairement que tous les préjugés sur le pouvoir d’Abidjan ont fondu comme du beurre au soleil. Ce retour à la sérénité, à l’entente et la cohésion sociale porte aussi les empreintes du Ministre de l’Intérieur, Hamed BAKAYOKO, qui est par ailleurs l’un des précurseurs du dialogue à l’ivoirienne avec l’opposition au pouvoir Ouattara.
Mais tout ce travail abattu serait vain sans sa lutte farouche contre l’insécurité dans le pays.
• L’INDICE DE SECURITE A UN MEILLEUR NIVEAU.
Tous les bons points ne pouvaient être atteints sans des mesures draconiennes contre l’insécurité avec notamment l’apport énergique du Centre de Commandement des Opérations (CCDO). Aujourd’hui, cet indice est passé au plus bas. Un bond prodigieux, satisfaisant dû à son engagement indéfectible à aller en guerre contre l’insécurité, en parfaite symbiose avec son collègue, le ministre auprès du Président de la République chargé de la Défense, Paul KOFFI KOFFI pour que ses concitoyens puissent tranquillement vaquer à leurs occupations et aussi jouir du fruit de leur labeur.
Homme de terrain, le ministre d’Etat Hamed BAKAYOKO était, de jour comme de nuit, aux côtés de ses éléments, s’enquérant de tout, réglant ici et là des menus détails. Ce qui a permis de sécuriser les fêtes de fin d’année 2013. Ce sont ces efforts inlassables qui ont amené des internautes à le reconnaitre ‘’Hambak’’ comme le meilleur Ministre de l’équipe gouvernementale en 2013.
Témoin de cette lutte sans merci contre l’insécurité, l’Union Européenne va bientôt décaisser 665 millions de F CFA pour la réhabilitation de l’Ecole Nationale de Police. A cette occasion, le ministre d’Etat Hamed BAKAYOKO a eu ces mots: « Si nous voulons changer la police, il faut aller à la racine qu’est l’Ecole Nationale de Police (ENP). Il est donc important d’accorder une place de choix à l’ENP pour donner une formation de base solide au policier », allusion ici faite au racket qui est un fléau qu’il faut énergiquement endiguer en Côte d’Ivoire. Certes, il reste encore des défis à relever, mais déjà au niveau du racket, un autre chantier du Ministre Hamed BAKAYOKO, un chauffeur de taxi nommé Irié-Bi a rendu ce témoignage qui en dit long sur ses succès: « Avant, il y avait des barrages intempestifs, aujourd’hui, tout va pour le mieux. Nous réussissons aisément à brasser les recettes du jour’ ». Un banquier de la place qui reconnaît que les braquages contre les banques ont diminué, a fait cette confidence : « les efforts du gouvernement sont perceptibles pour l’amélioration du climat sécuritaire. Les banques ne subissent plus de braquages comme par le passé ». Félicitant ainsi au passage le ministre de la Sécurité, ‘‘Hambak’’. Ce climat sécuritaire est propice au retour des investisseurs, et le succès du Forum ICI (Investir en Côte d’Ivoire 2014) en est la parfaite illustration. C’est dans cette même veine que les Etats-Unis, selon l’Ambassadeur Terence Patrick Mc Culley, viennent de retirer la Côte d’Ivoire de la liste noire des pays dangereux pour leurs ressortissants. Par cet acte, les autorités Américaines veulent rassurer leurs ressortissants afin qu’ils n’aient plus de crainte à emprunter la destination Côte d’Ivoire.
La palme de la reconnaissance revient certes au ministre d’Etat, M. Hamed Bakayoko, mais surtout au Président de la République, S.E.M. Alassane Ouattara, ce bâtisseur, qui eut le flair de s’entourer de brillants ministres, respectueux de la charte de l’éthique du gouvernement.
C’est pourquoi, ses concitoyens, toutes tendances politiques confondues, ont élevé des prières pour qu’il revienne en forme pour poursuivre l’œuvre de reconstruction et de développement en vue d’atteindre l’émergence à l’horizon 2020.
Patrick .H. ADEPO
Consultant en communication
La Côte d’Ivoire est, tout bien calculé, un pays béni de Dieu avec des ministres de la République bien exceptionnels et consciencieux qui épousent parfaitement la vision éclairée et futuriste du Chef de l’Etat, SEM Alassane OUATTARA. Il suffit de jeter un regard rétrospectif sur la marche du pays depuis le 11 Avril 2011 pour s’en rendre compte. Pour le retour de la concorde civile et donc de la paix, les membres du gouvernement, chacun à son niveau, s’est totalement investi pour la réconciliation. Mais de tous les ministres coptés par le Président de la République, le ministre d’Etat, ministre de l’Intérieur, Hamed BAKAYOKO, a apporté singulièrement sa touche magique pour le retour à la normalité. Comme un ‘‘élève studieux’’; le fils du Worodougou a, au niveau de la réconciliation nationale, des visites d’Etat, du retour des exilés, du dialogue avec l’opposition ou de l’indice de sécurité, marqué d’une pierre blanche ces différents points par son savoir-faire et son savoir-être.
• HAMED BAKAYOKO AU DEPART DU DIALOGUE REPUBLICAIN ET DE LA RECONCILIATION NATIONALE
Le ministre d’Etat, Ministre de l’Intérieur fait partie des premiers membres du gouvernement qui ont très tôt pensé à la réconciliation des fils et filles de ce pays après la crise postélectorale. Lit-il dans les pensées du Président de la République ? Hamed BAKAYOKO n’a pas lésiné sur les moyens et les stratégies pour que le FPI et les autres partis de l’opposition acceptent de s’asseoir à la table de négociation avec le gouvernement. Pour poser les jalons de la réconciliation qu’il appelait de tous ses vœux, en prenant quelques fois des initiatives personnelles. Un travail de fourmi sous l’abri du gouvernement qui est porteur d’espoir avec le retour au bercail de la quasi-totalité des pro-GBAGBO en exil. Qui ne tarissent pas aujourd’hui d’éloges et de reconnaissance à son endroit pour la médiation qu’il a conduite dans les pays de la sous-région avec beaucoup de maestria.
Au niveau du dialogue Républicain, le ministre d’Etat Hamed Bakayoko, sous la houlette du gouvernement, a embouché très tôt la trompette pour tendre la main à l’opposition après l’appel pathétique, fraternel du Président Alassane OUATTARA. Ce dialogue engagé avec tous les opposants porte aujourd’hui ses fruits. Pascal Affi N’GUESSAN, le président du FPI, a abandonné ses discours enflammés pour revenir dans la République et à la table des négociations. Cette trêve porte aussi la touche magique du ministre d’Etat, Hamed BAKAYOKO. Celui qui traduit avec foi, assurance et fidélité les idées et la vision du Président Alassane OUATTARA pour une Côte d’Ivoire moderne et modèle. ‘‘C’est la voix du maître’’, a-t-on coutume de le dire sur les bords de la lagune Ebrié.
• LE RETOUR DES EXILES
Combien étaient-ils en exil à partir du 11 Avril 2011 ? Tous les irréductibles du pouvoir GBAGBO comme Marcel GOSSIO, DOGOU Alain, AMANI N’Guessan Michel, DJEDJE Benjamin et récemment, le ministre KOMOE Augustin, pour ne citer que ceux là, sont depuis quelques jours au pays sans être inquiétés. Avant ces grosses pointures du FPI, on a assisté à des retours par vagues successives d’ex-FDS. Le ministre d’Etat, ministre de l’Intérieur leur a donné la garantie à leur retour, à la faveur des audiences qu’il leur a accordées.
Ce respect de la parole donnée a permis à certains exilés qui se faisaient peur pour rien, de prendre le chemin du retour sur leur terre natale. Une réalité en Côte d’Ivoire qui a poussé des personnalités du monde entier à venir constater d’elles-mêmes l’apaisement social et le retour progressif à la normalité au pays du Président Alassane OUATTARA.
Au niveau de la communauté internationale, Monsieur Edmond MULET, Sous-Secrétaire des Nations-Unies au maintien de la paix, a récemment reconnu que c’est un pays apaisé où la sécurité revient. Quant à l’expert indépendant Onusien, Monsieur DOUDOU Diène, son diagnostic sur le terrain lui a permis de renchérir que la Côte d’Ivoire est sur la bonne voie pour un retour à la paix.
Tout comme Thierry de Saint Maurice, qui faisant le bilan de la coopération avec la Côte d’Ivoire, s’est aussi prononcé sur les avancées en matière de démocratie, de sécurité et de paix.
Aujourd’hui, il apparaît clairement que tous les préjugés sur le pouvoir d’Abidjan ont fondu comme du beurre au soleil. Ce retour à la sérénité, à l’entente et la cohésion sociale porte aussi les empreintes du Ministre de l’Intérieur, Hamed BAKAYOKO, qui est par ailleurs l’un des précurseurs du dialogue à l’ivoirienne avec l’opposition au pouvoir Ouattara.
Mais tout ce travail abattu serait vain sans sa lutte farouche contre l’insécurité dans le pays.
• L’INDICE DE SECURITE A UN MEILLEUR NIVEAU.
Tous les bons points ne pouvaient être atteints sans des mesures draconiennes contre l’insécurité avec notamment l’apport énergique du Centre de Commandement des Opérations (CCDO). Aujourd’hui, cet indice est passé au plus bas. Un bond prodigieux, satisfaisant dû à son engagement indéfectible à aller en guerre contre l’insécurité, en parfaite symbiose avec son collègue, le ministre auprès du Président de la République chargé de la Défense, Paul KOFFI KOFFI pour que ses concitoyens puissent tranquillement vaquer à leurs occupations et aussi jouir du fruit de leur labeur.
Homme de terrain, le ministre d’Etat Hamed BAKAYOKO était, de jour comme de nuit, aux côtés de ses éléments, s’enquérant de tout, réglant ici et là des menus détails. Ce qui a permis de sécuriser les fêtes de fin d’année 2013. Ce sont ces efforts inlassables qui ont amené des internautes à le reconnaitre ‘’Hambak’’ comme le meilleur Ministre de l’équipe gouvernementale en 2013.
Témoin de cette lutte sans merci contre l’insécurité, l’Union Européenne va bientôt décaisser 665 millions de F CFA pour la réhabilitation de l’Ecole Nationale de Police. A cette occasion, le ministre d’Etat Hamed BAKAYOKO a eu ces mots: « Si nous voulons changer la police, il faut aller à la racine qu’est l’Ecole Nationale de Police (ENP). Il est donc important d’accorder une place de choix à l’ENP pour donner une formation de base solide au policier », allusion ici faite au racket qui est un fléau qu’il faut énergiquement endiguer en Côte d’Ivoire. Certes, il reste encore des défis à relever, mais déjà au niveau du racket, un autre chantier du Ministre Hamed BAKAYOKO, un chauffeur de taxi nommé Irié-Bi a rendu ce témoignage qui en dit long sur ses succès: « Avant, il y avait des barrages intempestifs, aujourd’hui, tout va pour le mieux. Nous réussissons aisément à brasser les recettes du jour’ ». Un banquier de la place qui reconnaît que les braquages contre les banques ont diminué, a fait cette confidence : « les efforts du gouvernement sont perceptibles pour l’amélioration du climat sécuritaire. Les banques ne subissent plus de braquages comme par le passé ». Félicitant ainsi au passage le ministre de la Sécurité, ‘‘Hambak’’. Ce climat sécuritaire est propice au retour des investisseurs, et le succès du Forum ICI (Investir en Côte d’Ivoire 2014) en est la parfaite illustration. C’est dans cette même veine que les Etats-Unis, selon l’Ambassadeur Terence Patrick Mc Culley, viennent de retirer la Côte d’Ivoire de la liste noire des pays dangereux pour leurs ressortissants. Par cet acte, les autorités Américaines veulent rassurer leurs ressortissants afin qu’ils n’aient plus de crainte à emprunter la destination Côte d’Ivoire.
La palme de la reconnaissance revient certes au ministre d’Etat, M. Hamed Bakayoko, mais surtout au Président de la République, S.E.M. Alassane Ouattara, ce bâtisseur, qui eut le flair de s’entourer de brillants ministres, respectueux de la charte de l’éthique du gouvernement.
C’est pourquoi, ses concitoyens, toutes tendances politiques confondues, ont élevé des prières pour qu’il revienne en forme pour poursuivre l’œuvre de reconstruction et de développement en vue d’atteindre l’émergence à l’horizon 2020.
Patrick .H. ADEPO
Consultant en communication