ABIDJAN - Le gouvernement ivoirien a procédé lundi au lancement d’un processus de "dialogue inclusif" entre différents acteurs dans le cadre de la mise en œuvre de l’Alliance globale pour l’initiative résilience (AGIR) au Sahel et en Afrique de l’Ouest visant l’objectif "faim zéro" d’ici 2020.
A l’ouverture d’un atelier de deux jours à Grand-Bassam (sud-est, 30 km d’Abidjan), le ministre ivoirien de l’Agriculture, Coulibaly Sangafowa, a insisté sur la nécessité de mettre en place une "plate-forme de dialogue inclusif multi-acteurs" et un cadre de concertation pour la "formulation de la résilience" des populations.
Ces cadres, a-t-il expliqué, sont indispensables pour conduire l’AGIR conformément à la feuille de route adoptée par les pays concernés.
L’initiative AGIR permet "non seulement de s’attaquer aux causes conjoncturelles mais surtout structurelles des crises alimentaires et nutritionnelles afin de mettre définitivement fin aux cycles de la faim et de la malnutrition", a indiqué Coulibaly Sangafowa.
Pour sa part, le commissaire chargé du Département de l’agriculture, de l’environnement et des ressources en eaux de la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO), Lapodini Marc Atouga, a souligné que l’Alliance veut accroître la résilience des populations à travers "leur capacité à faire face à l’incertitude et au risque de choc, à résister au choc, à répondre efficacement, à récupérer et à s’adapter de manière durable".
Selon des chiffres officiels, 128 millions de personnes vivent en Afrique de l’Ouest et dans le Sahel dans une situation agro-alimentaire et nutritionnelle déficitaire et plus de 15 millions de personnes, en Afrique subsaharienne, souffrent de la faim.
L’idée de créer une alliance internationale réunissant les gouvernements de la région, les organisations régionales et leurs partenaires internationaux ainsi que la société civile a été proposée pour la première fois lors d’une réunion à haut niveau organisée par l’Union européenne à Bruxelles, le 18 juin 2012.
L’Alliance a été officiellement lancée à Ouagadougou le 6 décembre 2012, avec l’adoption d’une déclaration commune établissant les principes de base et les priorités.
Dix-sept pays y ont adhéré, mais seulement sept dont la Côte d’Ivoire ont mis en place leur cadre de concertation pour la formulation des résiliences.
A l’ouverture d’un atelier de deux jours à Grand-Bassam (sud-est, 30 km d’Abidjan), le ministre ivoirien de l’Agriculture, Coulibaly Sangafowa, a insisté sur la nécessité de mettre en place une "plate-forme de dialogue inclusif multi-acteurs" et un cadre de concertation pour la "formulation de la résilience" des populations.
Ces cadres, a-t-il expliqué, sont indispensables pour conduire l’AGIR conformément à la feuille de route adoptée par les pays concernés.
L’initiative AGIR permet "non seulement de s’attaquer aux causes conjoncturelles mais surtout structurelles des crises alimentaires et nutritionnelles afin de mettre définitivement fin aux cycles de la faim et de la malnutrition", a indiqué Coulibaly Sangafowa.
Pour sa part, le commissaire chargé du Département de l’agriculture, de l’environnement et des ressources en eaux de la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO), Lapodini Marc Atouga, a souligné que l’Alliance veut accroître la résilience des populations à travers "leur capacité à faire face à l’incertitude et au risque de choc, à résister au choc, à répondre efficacement, à récupérer et à s’adapter de manière durable".
Selon des chiffres officiels, 128 millions de personnes vivent en Afrique de l’Ouest et dans le Sahel dans une situation agro-alimentaire et nutritionnelle déficitaire et plus de 15 millions de personnes, en Afrique subsaharienne, souffrent de la faim.
L’idée de créer une alliance internationale réunissant les gouvernements de la région, les organisations régionales et leurs partenaires internationaux ainsi que la société civile a été proposée pour la première fois lors d’une réunion à haut niveau organisée par l’Union européenne à Bruxelles, le 18 juin 2012.
L’Alliance a été officiellement lancée à Ouagadougou le 6 décembre 2012, avec l’adoption d’une déclaration commune établissant les principes de base et les priorités.
Dix-sept pays y ont adhéré, mais seulement sept dont la Côte d’Ivoire ont mis en place leur cadre de concertation pour la formulation des résiliences.