En réaction au retrait du Front populaire ivoirien (FPI, parti de Laurent Gbagbo) du dialogue politique, le Rassemblement des Républicains (RDR, au pouvoir) a déclaré, lundi, que « le dialogue politique s’impose à tous ».
« Refuser le dialogue politique sous des prétextes d’émotions politiques du moment, c’est ramer à contre-courant des intérêts des Ivoiriens», indique le communiqué signé de Joël N’guessan, le porte-parole du parti présidentiel et transmis lundi à APA.
«Au RDR, nous faisons remarquer que la volonté de réconciliation tant souhaitée par les ivoiriens ne doit pas faire le lit de l’impunité»,ajoute-t-il.
Pour le RDR, il ne peut plus avoir d’autres issues ni d’autres alternatives outre le dialogue politique qui « s’impose à tous ».
Dans une déclaration dont APA a reçu copie dimanche, le FPI a indiqué que le « transfèrement de Charles Blé Goudé constitue à nos yeux une entrave grave à la réconciliation", en dénonçant la "rupture unilatérale du dialogue politique par le gouvernement".
Charles Blé Goudé, l’ex- leader des jeunes patriotes, poursuivi par la CPI en tant que co-auteur indirect de meurtres, de viols et autres formes de violences sexuelles, d’actes de persécution et autres actes inhumains pendant la crise postélectorale survenue sur le territoire de Côte d’Ivoire entre le 16 décembre 2010 et le 12 avril 2011, a été "transféré samedi" à La Haye avec l’accord du gouvernement ivoirien.
HS/ls/APA
« Refuser le dialogue politique sous des prétextes d’émotions politiques du moment, c’est ramer à contre-courant des intérêts des Ivoiriens», indique le communiqué signé de Joël N’guessan, le porte-parole du parti présidentiel et transmis lundi à APA.
«Au RDR, nous faisons remarquer que la volonté de réconciliation tant souhaitée par les ivoiriens ne doit pas faire le lit de l’impunité»,ajoute-t-il.
Pour le RDR, il ne peut plus avoir d’autres issues ni d’autres alternatives outre le dialogue politique qui « s’impose à tous ».
Dans une déclaration dont APA a reçu copie dimanche, le FPI a indiqué que le « transfèrement de Charles Blé Goudé constitue à nos yeux une entrave grave à la réconciliation", en dénonçant la "rupture unilatérale du dialogue politique par le gouvernement".
Charles Blé Goudé, l’ex- leader des jeunes patriotes, poursuivi par la CPI en tant que co-auteur indirect de meurtres, de viols et autres formes de violences sexuelles, d’actes de persécution et autres actes inhumains pendant la crise postélectorale survenue sur le territoire de Côte d’Ivoire entre le 16 décembre 2010 et le 12 avril 2011, a été "transféré samedi" à La Haye avec l’accord du gouvernement ivoirien.
HS/ls/APA
