M. Gnamien Konan, nouveau ministre de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique était le jeudi 27 mars 2014 à l’Université Nangui Abrogoua (UNA) d’Abobo-Adjamé où il a pris part à la clôture de l’atelier régional de formation sur la rédaction des projets de recherches en Sciences, Technologie et Innovation (STI) en réponse à des appels d’offres internationaux. Un atelier, organisé par la CEDEAO, et qui constituait la première sortie officielle du ministre Gnamien Konan. A cette occasion, il a donné quelques indices de sur sa gouvernance à la tête de ce ministère.
Gnamien Konan s’est voulu rassurant. « Je n’ai aucun a priori en venant à la tête de ce département. Je ne suis pas venu détruire tout ce qui a été fait », a-t-il affirmé. A ces hôtes, il a dit être totalement en phase avec eux sur le rôle que doivent jouer les sciences dans le développement de la Côte d’Ivoire. « Le miracle des grands pays industrialisés est d’une simplicité sidérante, mettre les sciences au cœur de toutes les activités. C’est pourquoi, nos scientifiques doivent être protégés, accompagnés et choyés », a indiqué Gnamien Konan. Il s’est indigné de certaines reformes au niveau de l’Education nationale. « Comment est-il possible qu’aujourd’hui dans nos lycées et collèges, les mathématiques aient le même coefficient que l’Education physique et sportive (EPS), ou la musique ? », s’est-il indigné. Et d’assurer qu’on ne prépare pas l’avenir d’un pays avec de telles dispositions au niveau de l’enseignement. Pour lui, la nécessité de fournir en qualité des ingénieurs techniques, des savants en physiques, biologies, pharmacie est plus importante. Le ministre aussi a exhorté les scientifiques et chercheurs à trouver pour pouvoir bénéficier de la confiance de l’Etat. Pour lui, ils doivent produire des résultats qui puissent être bénéfiques au développement du pays ; C’est la condition sine qua none pour que l’Etat augmente les investissements nécessaires au renforcement de leurs activités. Le professeur Vincent Katy-Coulibaly, a précisé que l’atelier aura permis aux chercheurs de se familiariser avec le système informatique ML Project, capital dans l’élaboration de projets, en réponse à des appels d’offres internationaux. Une formation qui a concerné les enseignants, les responsables des universités publiques, des centres de recherche et des instituts.
Olivier Guédé
Gnamien Konan s’est voulu rassurant. « Je n’ai aucun a priori en venant à la tête de ce département. Je ne suis pas venu détruire tout ce qui a été fait », a-t-il affirmé. A ces hôtes, il a dit être totalement en phase avec eux sur le rôle que doivent jouer les sciences dans le développement de la Côte d’Ivoire. « Le miracle des grands pays industrialisés est d’une simplicité sidérante, mettre les sciences au cœur de toutes les activités. C’est pourquoi, nos scientifiques doivent être protégés, accompagnés et choyés », a indiqué Gnamien Konan. Il s’est indigné de certaines reformes au niveau de l’Education nationale. « Comment est-il possible qu’aujourd’hui dans nos lycées et collèges, les mathématiques aient le même coefficient que l’Education physique et sportive (EPS), ou la musique ? », s’est-il indigné. Et d’assurer qu’on ne prépare pas l’avenir d’un pays avec de telles dispositions au niveau de l’enseignement. Pour lui, la nécessité de fournir en qualité des ingénieurs techniques, des savants en physiques, biologies, pharmacie est plus importante. Le ministre aussi a exhorté les scientifiques et chercheurs à trouver pour pouvoir bénéficier de la confiance de l’Etat. Pour lui, ils doivent produire des résultats qui puissent être bénéfiques au développement du pays ; C’est la condition sine qua none pour que l’Etat augmente les investissements nécessaires au renforcement de leurs activités. Le professeur Vincent Katy-Coulibaly, a précisé que l’atelier aura permis aux chercheurs de se familiariser avec le système informatique ML Project, capital dans l’élaboration de projets, en réponse à des appels d’offres internationaux. Une formation qui a concerné les enseignants, les responsables des universités publiques, des centres de recherche et des instituts.
Olivier Guédé