Dans le cadre de la promotion de la politique de préservation de l‘environnement et du développement durable, le ministre Remi Allah-Kouadio, a eu une importante séance de travail avec l’Alliance nationale des producteurs de café et cacao (Anpcci) et le Conseil café-cacao. La rencontre, qui a eu lieu le jeudi 27 mars 2014 au cabinet du ministre, avait pour objectif d’asseoir les bases d’un partenariat, en vue de la réalisation de techniques culturales respectueuses des préoccupations environnementales. Selon le ministre de l’Environnement, de la Salubrité urbaine et du Développement durable, cette initiative est d’autant plus importante qu’elle concerne le premier secteur économique du pays. Le binôme café-cacao, c’est en effet 34% du PIB, 65% des recettes d’exportation et 60% des emplois. Ce secteur constitue une superficie de 3,3 millions d’ha exploités.
Malheureusement, selon le ministre, ce secteur a contribué à 25% au déboisement des forêts (industrie forestière y ayant contribué pour au moins 50%). « Il faut donc préserver nos forêts et tendre vers le développement durable. Mes services compétents sont à votre disposition pour vous aider. Il s’agit notamment des pratiques culturales nouvelles et durables et la valorisation des déchets organiques du café et du cacao », relève le ministre. Une nouvelle donne appréciée par les responsables de la filière. Selon eux, leurs espaces culturales se réduisent fortement. Ainsi, il sera bénéfique pour eux de produire plus, tout en préservant la nature, par l’utilisation d’engrais biodégradables et de moindres coûts.
OG
Malheureusement, selon le ministre, ce secteur a contribué à 25% au déboisement des forêts (industrie forestière y ayant contribué pour au moins 50%). « Il faut donc préserver nos forêts et tendre vers le développement durable. Mes services compétents sont à votre disposition pour vous aider. Il s’agit notamment des pratiques culturales nouvelles et durables et la valorisation des déchets organiques du café et du cacao », relève le ministre. Une nouvelle donne appréciée par les responsables de la filière. Selon eux, leurs espaces culturales se réduisent fortement. Ainsi, il sera bénéfique pour eux de produire plus, tout en préservant la nature, par l’utilisation d’engrais biodégradables et de moindres coûts.
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