LOME -- Les Assemblées nationales de Côte d'Ivoire et du Togo se pencheront sur la création d'un groupe d'observateurs électoraux qui, au niveau bilatéral, attestera la transparence, la cohérence et la pertinence des élections souvent contestées dans les deux pays, a-t-on appris jeudi auprès du Parlement du Togo.
L'idée a été émise par le président de l'Assemblée nationale de la Côte d'Ivoire, Guillaume Soro, à l'ouverture de la première session 2014 de l'Assemblée nationale togolaise le 1er avril à Lomé.
Il a proposé que les Parlement des deux pays signent "un accord interparlementaire bilatéral" et constituent "un groupe d'observateurs électoraux qui interviendront alternativement" au Togo et en Côte d'Ivoire.
Le groupe interviendra "en qualité d'observateurs et de contrôleurs de la transparence, de la cohérence et de la pertinence de l'organisation électorale" mise en place à l'occasion de chaque consultation, a précisé M. Soro.
"Nous nous attèlerons volontiers à cette nouvelle tâche", a indiqué M. Soro, en cas de réponse positive du côté togolais, précisant que cette idée, une fois concrétisée, servira d'exemple pour les pays de la sous-région et de toute l'Afrique.
Selon des députés togolais, la suggestion de Guillaume Soro est prise"très au sérieux" au niveau de l'Assemblée nationale togolaise qui débattra des réformes constitutionnelles et institutionnelles exigées pour des élections plus transparentes et équitables au Togo.
L'idée a été émise par le président de l'Assemblée nationale de la Côte d'Ivoire, Guillaume Soro, à l'ouverture de la première session 2014 de l'Assemblée nationale togolaise le 1er avril à Lomé.
Il a proposé que les Parlement des deux pays signent "un accord interparlementaire bilatéral" et constituent "un groupe d'observateurs électoraux qui interviendront alternativement" au Togo et en Côte d'Ivoire.
Le groupe interviendra "en qualité d'observateurs et de contrôleurs de la transparence, de la cohérence et de la pertinence de l'organisation électorale" mise en place à l'occasion de chaque consultation, a précisé M. Soro.
"Nous nous attèlerons volontiers à cette nouvelle tâche", a indiqué M. Soro, en cas de réponse positive du côté togolais, précisant que cette idée, une fois concrétisée, servira d'exemple pour les pays de la sous-région et de toute l'Afrique.
Selon des députés togolais, la suggestion de Guillaume Soro est prise"très au sérieux" au niveau de l'Assemblée nationale togolaise qui débattra des réformes constitutionnelles et institutionnelles exigées pour des élections plus transparentes et équitables au Togo.