Abidjan -Le Premier ministre Daniel Kablan Duncan, a expliqué, lundi, à Paris, l’action gouvernementale au Conseil français des investisseurs en Afrique (CIAN), selon un communiqué de la Primature, transmis, mardi à l'AIP.
M. Duncan a souligné que le gouvernement a bâti une stratégie de développement cohérente à travers le plan national de développement (PND) 2012-2015 d’un montant de 16,8 milliards d’euros dont 60% à financer par le secteur privé. Le gouvernement prépare « actuellement et activement » d’autres instruments dont l’étude prospective « Côte d’Ivoire 2040 » et le PND 2016-2020, pour affiner une trajectoire de développement viable à long terme, a-t-il poursuivi.
Le Chef du gouvernement a expliqué qu’il s’agit de bâtir à terme une économie structurellement industrialisée, capable d’accroître la part des produits manufacturés dans le PIB et dans les exportations, et de favoriser l’avènement d’une classe moyenne tant en milieu urbain que rural, à même de soutenir une demande intérieure viable et durable.
M. Duncan a déclaré que l’action gouvernementale, conduite sous l’autorité du président Alassane Ouattara comporte trois axes stratégiques que sont la Paix et la Sécurité ; la réconciliation nationale ; la reconstruction et la relance de l’économie.
"En ce qui concerne la Paix et la Sécurité, préalables à tout développement économique viable, les actions entreprises ont permis de faire chuter l’insécurité; l’indice d’insécurité selon la norme de l’ONU, est ainsi passé de 4 à 2 en décembre 2013 , soit le même indice de sécurité que Genève ou New-York", a affirmé Kablan Duncan.
Au plan politique, il a expliqué au conseil français que la création de la Commission, dialogue, vérité et réconciliation (CDVR) va permettre aux ivoiriens de retrouver les vertus du « vivre ensemble », c'est-à-dire, d'être capables de s'unir autour d'un idéal commun pour bâtir une nation.
Il a souligné que « parallèlement » le gouvernement a engagé un dialogue « fructueux » avec l'opposition qui a permis d’obtenir un consensus sur deux points majeurs, à savoir le financement des partis politiques et des candidats à l’élection présidentielle et le statut de l’opposition.
(AIP)
amak/ask
M. Duncan a souligné que le gouvernement a bâti une stratégie de développement cohérente à travers le plan national de développement (PND) 2012-2015 d’un montant de 16,8 milliards d’euros dont 60% à financer par le secteur privé. Le gouvernement prépare « actuellement et activement » d’autres instruments dont l’étude prospective « Côte d’Ivoire 2040 » et le PND 2016-2020, pour affiner une trajectoire de développement viable à long terme, a-t-il poursuivi.
Le Chef du gouvernement a expliqué qu’il s’agit de bâtir à terme une économie structurellement industrialisée, capable d’accroître la part des produits manufacturés dans le PIB et dans les exportations, et de favoriser l’avènement d’une classe moyenne tant en milieu urbain que rural, à même de soutenir une demande intérieure viable et durable.
M. Duncan a déclaré que l’action gouvernementale, conduite sous l’autorité du président Alassane Ouattara comporte trois axes stratégiques que sont la Paix et la Sécurité ; la réconciliation nationale ; la reconstruction et la relance de l’économie.
"En ce qui concerne la Paix et la Sécurité, préalables à tout développement économique viable, les actions entreprises ont permis de faire chuter l’insécurité; l’indice d’insécurité selon la norme de l’ONU, est ainsi passé de 4 à 2 en décembre 2013 , soit le même indice de sécurité que Genève ou New-York", a affirmé Kablan Duncan.
Au plan politique, il a expliqué au conseil français que la création de la Commission, dialogue, vérité et réconciliation (CDVR) va permettre aux ivoiriens de retrouver les vertus du « vivre ensemble », c'est-à-dire, d'être capables de s'unir autour d'un idéal commun pour bâtir une nation.
Il a souligné que « parallèlement » le gouvernement a engagé un dialogue « fructueux » avec l'opposition qui a permis d’obtenir un consensus sur deux points majeurs, à savoir le financement des partis politiques et des candidats à l’élection présidentielle et le statut de l’opposition.
(AIP)
amak/ask