La Société d’investissement pour l’agriculture tropicale (SIAT) dont le siège se trouve à Bruxelles en Belgique, a choisi la Côte d’Ivoire pour abriter son Centre régional, de recherche scientifique agricole pour l’Afrique.
L’annonce a été faite, lundi dernier, par le Président directeur général de cette société, Pierre Vandebeeck à l’issue d’une rencontre avec le ministre ivoirien de l’agriculture, Mamadou Sangafowa Coulibaly.
Selon Pierre Vandebeeck, la position stratégique de la Côte d’Ivoire et sa détermination à booster son développement, ont milité en faveur de ce choix.
Le ministre ivoirien de l’agriculture a saisi cette occasion pour se prononcer sur la parafiscalité dans le secteur agricole qui n’est que du ressort de l’Etat. Il a dans la foulée invité les acteurs de la filière hévéicole à ne pas prélever cette cotisation.
Sur la taxe à l’exportation de 5% sur le caoutchouc que certains opérateurs voudraient voir supprimer ou alléger, du fait de la baisse des cours sur le marché international, Mamadou Sangafowa Coulibaly a indiqué que cette taxe est calculée sur le chiffre d’affaires.
Par ailleurs, le ministre ivoirien de l’agriculture a souhaité un approfondissement de la réflexion, car, a-t-il expliqué « plusieurs pistes sont explorables ».
« Faut-il moduler la fiscalité en fonction des fluctuations à l’international ou appliquer un droit unique de sortie ? Au ministère de l’Agriculture, l’on pense aussi que les taxes peuvent varier d’une culture de rente à une autre en tenant compte du marché », a expliqué le ministre Coulibaly.
Selon lui, « une taxe peut être plus forte pour le cacao si cette culture enregistre une embellie et baissée l’année suivante si les cours lui sont défavorables au niveau de l’hévéa ou du palmier à huile ».
Hier, le ministre Mamadou Sangafowa Coulibaly a participé à un panel sur l’efficacité de l’aide de l’Union européenne et fera, ce mercredi, une grande communication à la conférence de haut niveau de la Commission de l’Ue sur le développement et la gestion du foncier en Côte d’Ivoire.
L’annonce a été faite, lundi dernier, par le Président directeur général de cette société, Pierre Vandebeeck à l’issue d’une rencontre avec le ministre ivoirien de l’agriculture, Mamadou Sangafowa Coulibaly.
Selon Pierre Vandebeeck, la position stratégique de la Côte d’Ivoire et sa détermination à booster son développement, ont milité en faveur de ce choix.
Le ministre ivoirien de l’agriculture a saisi cette occasion pour se prononcer sur la parafiscalité dans le secteur agricole qui n’est que du ressort de l’Etat. Il a dans la foulée invité les acteurs de la filière hévéicole à ne pas prélever cette cotisation.
Sur la taxe à l’exportation de 5% sur le caoutchouc que certains opérateurs voudraient voir supprimer ou alléger, du fait de la baisse des cours sur le marché international, Mamadou Sangafowa Coulibaly a indiqué que cette taxe est calculée sur le chiffre d’affaires.
Par ailleurs, le ministre ivoirien de l’agriculture a souhaité un approfondissement de la réflexion, car, a-t-il expliqué « plusieurs pistes sont explorables ».
« Faut-il moduler la fiscalité en fonction des fluctuations à l’international ou appliquer un droit unique de sortie ? Au ministère de l’Agriculture, l’on pense aussi que les taxes peuvent varier d’une culture de rente à une autre en tenant compte du marché », a expliqué le ministre Coulibaly.
Selon lui, « une taxe peut être plus forte pour le cacao si cette culture enregistre une embellie et baissée l’année suivante si les cours lui sont défavorables au niveau de l’hévéa ou du palmier à huile ».
Hier, le ministre Mamadou Sangafowa Coulibaly a participé à un panel sur l’efficacité de l’aide de l’Union européenne et fera, ce mercredi, une grande communication à la conférence de haut niveau de la Commission de l’Ue sur le développement et la gestion du foncier en Côte d’Ivoire.