Une quinzaine de jeunes filles, dont la source de revenu n’était que le travail du sexe dans un bar situé à la Riviera Golf, pourront désormais s’adonner à des activités plus honorables et vivre décemment.
La bouée de sauvetage de ces jeunes filles se nomme Anne Désirée Oulotto, ministre de la Solidarité, de la Famille de la Femme et de l’Enfant. En effet Anne Désiré Oulotto a pris l’engagement de venir en aide à quinze jeunes filles en leur offrant l’opportunité de les accompagner dans une activité génératrice de revenus plus honorable, de leur choix, en vue de leur autonomisation.
La ministre a rassuré ces jeunes filles en leur indiquant que le ministère qu’elle dirige, dont le rôle est de faire la promotion des droits de la femme et de lutter contre les violences faites aux femmes, est leur « maison ». Et par conséquent elles n’avaient aucune crainte à avoir d’être là. Elle leur a ensuite prodigué des conseils sur la nécessité pour elles de « changer de vie » en refusant de « céder à la facilité ». Avec chacune d’elle, Anne Désirée Oulotto a décidé d’avoir un entretien, à l’issu duquel la nature de l’aide à leur apporter pour leur permettre de tourner définitivement dos à ce travail déshonorant, leur sera communiqué.
Mais la ministre a cependant tenu à être ferme. « Je ne pourrai pas faire votre bonheur contre votre gré », a-t-elle lancé. Rappelant ainsi à ses hôtes du jour, qu’il leur revient en premier de donner une orientation nouvelle à leur vie.
Ces filles ont été interpellées par la Brigade mondaine dirigée par le Commissaire Yvonne Oulaï, dans le cadre de l’opération de lutte contre l’exploitation des jeunes filles travaillant dans les bars, lancée par la ministre de la Solidarité, de la Famille la Femme et l’Enfant. Le commissaire Yvonne Oulaï a indiqué que le Gérant ainsi que le DJ du bar ont également été interpellés et mis à la disposition du parquet. Quant au bar, il a été provisoirement fermé en attendant que la mesure de fermeture définitive ne soit décidée par la Direction de l’administration du territoire.
La ministre de la Solidarité de la Famille de la Femme et de l’Enfant a rappelé que l’interpellation qui a eu lieu dans ce bar n’est que le début d’une opération qu’elle entend menée à son terme, car expliquera-t-elle, le moment est venu de lutter sérieusement contre la dépravation poussée des mœurs.
La bouée de sauvetage de ces jeunes filles se nomme Anne Désirée Oulotto, ministre de la Solidarité, de la Famille de la Femme et de l’Enfant. En effet Anne Désiré Oulotto a pris l’engagement de venir en aide à quinze jeunes filles en leur offrant l’opportunité de les accompagner dans une activité génératrice de revenus plus honorable, de leur choix, en vue de leur autonomisation.
La ministre a rassuré ces jeunes filles en leur indiquant que le ministère qu’elle dirige, dont le rôle est de faire la promotion des droits de la femme et de lutter contre les violences faites aux femmes, est leur « maison ». Et par conséquent elles n’avaient aucune crainte à avoir d’être là. Elle leur a ensuite prodigué des conseils sur la nécessité pour elles de « changer de vie » en refusant de « céder à la facilité ». Avec chacune d’elle, Anne Désirée Oulotto a décidé d’avoir un entretien, à l’issu duquel la nature de l’aide à leur apporter pour leur permettre de tourner définitivement dos à ce travail déshonorant, leur sera communiqué.
Mais la ministre a cependant tenu à être ferme. « Je ne pourrai pas faire votre bonheur contre votre gré », a-t-elle lancé. Rappelant ainsi à ses hôtes du jour, qu’il leur revient en premier de donner une orientation nouvelle à leur vie.
Ces filles ont été interpellées par la Brigade mondaine dirigée par le Commissaire Yvonne Oulaï, dans le cadre de l’opération de lutte contre l’exploitation des jeunes filles travaillant dans les bars, lancée par la ministre de la Solidarité, de la Famille la Femme et l’Enfant. Le commissaire Yvonne Oulaï a indiqué que le Gérant ainsi que le DJ du bar ont également été interpellés et mis à la disposition du parquet. Quant au bar, il a été provisoirement fermé en attendant que la mesure de fermeture définitive ne soit décidée par la Direction de l’administration du territoire.
La ministre de la Solidarité de la Famille de la Femme et de l’Enfant a rappelé que l’interpellation qui a eu lieu dans ce bar n’est que le début d’une opération qu’elle entend menée à son terme, car expliquera-t-elle, le moment est venu de lutter sérieusement contre la dépravation poussée des mœurs.