La Côte d’Ivoire avec l’appui de la Banque Mondiale, l’Agence Française de Développement et l’Union Européenne, va procéder à une réelecture des procédures actuelles en vue de la simplification et de la réduction des coûts d’immatriculation des terres rurales, a annoncé,mercredi, le ministre ivoirien de l’agriculture, Mamadou Sangafowa Coulibaly.
« Nous recherchons auprès de l'Union Européenne dont la sollicitude ne nous a jamais fait défaut, un appui technique et financier pour la mise en œuvre diligente de la loi sur le foncier rural », a dit le ministre Coulibaly après sa communication devant le Parlement de l'Union européenne sur les « Droits de propriété : la clé manquante pour éradiquer la pauvreté ».
La question des droits à la propriété foncière et leur sécurisation ainsi que l'accès à la terre pose la problématique du partage équitable des richesses tirées de l'exploitation des terres rurales.
En Côte d'Ivoire, où il existe des droits coutumiers sur les terres rurales, la situation foncière nationale est parfois confuse avec la prolifération des transactions foncières illégales, souvent génératrice de nombreux conflits.
MC /ls/APA
« Nous recherchons auprès de l'Union Européenne dont la sollicitude ne nous a jamais fait défaut, un appui technique et financier pour la mise en œuvre diligente de la loi sur le foncier rural », a dit le ministre Coulibaly après sa communication devant le Parlement de l'Union européenne sur les « Droits de propriété : la clé manquante pour éradiquer la pauvreté ».
La question des droits à la propriété foncière et leur sécurisation ainsi que l'accès à la terre pose la problématique du partage équitable des richesses tirées de l'exploitation des terres rurales.
En Côte d'Ivoire, où il existe des droits coutumiers sur les terres rurales, la situation foncière nationale est parfois confuse avec la prolifération des transactions foncières illégales, souvent génératrice de nombreux conflits.
MC /ls/APA