ABIDJAN - Un accord-cadre pour le démarrage des travaux du projet de train urbain dans la capitale économique ivoirienne a été signé vendredi à Abidjan par l'Etat ivoirien et le consortium franco-coréen retenu après un appel d'offres international.
L'État de Côte d'Ivoire était représenté par le ministre des Transports, Gaoussou Touré, et le consortium conduit par le directeur des concessions à Bouygues, Charles Paradis.
Les groupes français, Bouygues, et sud-coréen, DongSan, ont formé un consortium pour réaliser le projet. Le projet traduit "la volonté du gouvernement de résoudre le problème des embouteillages à Abidjan qui engendrent des pertes importantes pour l'économie ivoirienne", a indiqué le ministre des Transports, Gaoussou Touré.
Le consortium s'est engagé, notamment, à prendre en charge les "risques" de l'investissement et de l'exploitation du projet sans les transférer à l'État, à détenir au moins 40% du capital de la société concessionnaire et de demeurer dans le capital durant une période suffisamment longue pour assurer la viabilité du projet. Le projet d'un coût de 500 millions d'euros doit relier dans sa première phase le sud et le nord d'Abidjan (environ 25 km, de Vridi à Anyama).
Il devrait permettre de résoudre les problèmes de mobilité à Abidjan d'ici 2017 avec une capacité de transport de 300.000 personnes par jour.
Le projet qui porte sur la conception, la construction et l'exploitation d'un réseau ferroviaire de transport urbain va créer dans sa phase de construction 1.000 emplois directs et pendant l'exploitation 500 emplois permanents avec la réalisation de 13 nouvelles gares et 11 ponts ferroviaires. Les déplacements à Abidjan, où vivent 20% de la population ivoirienne estimée à 20 millions d'habitants, sont difficilement assurés par les bus de la seule Société publique de transport urbain (Sotra), les taxis, les mini-cars desservant les quartiers populaires d'Abobo, Yopougon et Adjamé, et quelques pinasses et bateaux-bus qui assurent le transport sur la lagune Ebrié.
L'État de Côte d'Ivoire était représenté par le ministre des Transports, Gaoussou Touré, et le consortium conduit par le directeur des concessions à Bouygues, Charles Paradis.
Les groupes français, Bouygues, et sud-coréen, DongSan, ont formé un consortium pour réaliser le projet. Le projet traduit "la volonté du gouvernement de résoudre le problème des embouteillages à Abidjan qui engendrent des pertes importantes pour l'économie ivoirienne", a indiqué le ministre des Transports, Gaoussou Touré.
Le consortium s'est engagé, notamment, à prendre en charge les "risques" de l'investissement et de l'exploitation du projet sans les transférer à l'État, à détenir au moins 40% du capital de la société concessionnaire et de demeurer dans le capital durant une période suffisamment longue pour assurer la viabilité du projet. Le projet d'un coût de 500 millions d'euros doit relier dans sa première phase le sud et le nord d'Abidjan (environ 25 km, de Vridi à Anyama).
Il devrait permettre de résoudre les problèmes de mobilité à Abidjan d'ici 2017 avec une capacité de transport de 300.000 personnes par jour.
Le projet qui porte sur la conception, la construction et l'exploitation d'un réseau ferroviaire de transport urbain va créer dans sa phase de construction 1.000 emplois directs et pendant l'exploitation 500 emplois permanents avec la réalisation de 13 nouvelles gares et 11 ponts ferroviaires. Les déplacements à Abidjan, où vivent 20% de la population ivoirienne estimée à 20 millions d'habitants, sont difficilement assurés par les bus de la seule Société publique de transport urbain (Sotra), les taxis, les mini-cars desservant les quartiers populaires d'Abobo, Yopougon et Adjamé, et quelques pinasses et bateaux-bus qui assurent le transport sur la lagune Ebrié.