Le Comité national de lutte contre les violences faites aux femmes et aux enfants, organe consultatif présidé par le ministre de la Solidarité, de la Famille, de la Femme et de l’Enfant Anne Désirée Oulotto s’est réunit lundi dans le cadre d’une réunion d’information, en prélude à la prochaine rencontre prévue fin avril pour la présentation de la stratégie nationale de lutte contre les violences basées sur le genre (SNLVBG).
Le ministre de la Solidarité de la Famille, de la Femme et de l’Enfant Anne Désirée Oulotto a saisi l’occasion de cette rencontre pour présenter le Comité aux partenaires internationaux et lever un coin de voile sur ses missions. S’agissant de ses missions, le Comité national de lutte contre les violences faites aux femmes et aux enfants devra proposer une politique de lutte contre les violences faites aux femmes et aux enfants, contribuer à l’élaboration et à la révision des textes de lois protégeant les femmes et les enfants.
Aussi devra-t-il ajuster/corriger les orientations stratégiques de la Stratégie nationale de lutte contre les violences basées sur le genre (SNLVBG), évaluer l’impact des programmes exécutés, examiner et approuver le plan annuel de mise en œuvre de la SNLVBG, entériner le budget annuel de suivi de la mise en œuvre de la SNLVBG, approuver le rapport annuel de suivi de la mise en œuvre de la SNLVBG. Puis enfin fournir les arbitrages nécessaires en dernière instance.
Ce Comité, qui on le voit à fort à faire, est composé de représentants de l’Assemblée nationale et du Conseil économique et social. Aussi de représentants de ministères techniques, puis d’organisations religieuses, traditionnelles, d’ONG intervenant dans la lutte contre les violences faites aux femmes et aux enfants et enfin d’organisations de la Société civile.
Le ministre de la Solidarité de la Famille, de la Femme et de l’Enfant Anne Désirée Oulotto a saisi l’occasion de cette rencontre pour présenter le Comité aux partenaires internationaux et lever un coin de voile sur ses missions. S’agissant de ses missions, le Comité national de lutte contre les violences faites aux femmes et aux enfants devra proposer une politique de lutte contre les violences faites aux femmes et aux enfants, contribuer à l’élaboration et à la révision des textes de lois protégeant les femmes et les enfants.
Aussi devra-t-il ajuster/corriger les orientations stratégiques de la Stratégie nationale de lutte contre les violences basées sur le genre (SNLVBG), évaluer l’impact des programmes exécutés, examiner et approuver le plan annuel de mise en œuvre de la SNLVBG, entériner le budget annuel de suivi de la mise en œuvre de la SNLVBG, approuver le rapport annuel de suivi de la mise en œuvre de la SNLVBG. Puis enfin fournir les arbitrages nécessaires en dernière instance.
Ce Comité, qui on le voit à fort à faire, est composé de représentants de l’Assemblée nationale et du Conseil économique et social. Aussi de représentants de ministères techniques, puis d’organisations religieuses, traditionnelles, d’ONG intervenant dans la lutte contre les violences faites aux femmes et aux enfants et enfin d’organisations de la Société civile.