Les parlementaires membres de l’Organisation internationale de la francophonie (OIF) ont ouvert mardi, à Libreville, des travaux axés sur la situation sociopolitique des pays membres ayant le français en partage.
Il s’agit pendant quatre jours pour la commission de l’Assemblée parlementaire (APF) de revisiter l’évolution politique de l’ensemble des pays de cet espace afin d’apporter des réponses précises sur la consolidation de la démocratie et de l’Etat de droit dans le monde francophone.
M Guy Nzouba Ndama qui ouvrait les travaux en sa double qualité de président de l’Assemblée nationale du Gabon et président de la section gabonaise de l’assemblée parlementaire de la Francophonie a émis le vœu de voir les travaux de Libreville s’inscrire dans la continuité de la rencontre de l’année dernière à Rabat au Maroc.
Il est question, pour l’essentiel, a indiqué le président de l’Assemblée nationale gabonaise de de mettre à jour la convention entre le secrétariat général de l’APF et l’Organisation internationale de la francophonie. Il s’agira aussi d’examiner les enjeux politiques au sein des sections suspendues ou mises sous observation par l’APF.
Dans cette perspective, M. Nzouba Ndame a sollicité de ses collègues que soient également examinées les situations de crise politique dans l’espace francophone.
« Je pense notamment à celle que traverse un pays frère de notre sous-région d’Afrique centrale, la République centrafricaine, qui s’enfonce malheureusement chaque jour un peu plus dans un invraisemblable torrent de haine entre chrétiens et musulmans par milices interposées », a-t-il relevé.
Par ailleurs, il a souligné la floraison des nouvelles polémiques, de nouveaux enjeux politiques et sociaux surgissant dans l’espace francophone.
Pour sa part, la présidente de la commission politique de l’Assemblée parlementaire francophone, Michelle André a affirmé que la question de l’alternance et de la démocratie est sans appel dans l’espace francophone.
De leurs côtés, les parlementaires venus du Congo Brazzaville, du Bénin, du Burkina Faso, du Canada et du royaume de Belgique ont évoqué les situations politiques que vivent leurs pays respectifs.
Le cas du Burkina Faso où le débat autour de la révision de la constitution pour proroger le mandat de l’actuel chef de l’Etat et la création d’un sénat a été exposé par un député Burkinabé.
Les travaux de l’Assemblée parlementaire francophone prennent fin vendredi.
PIM/of/APA
Il s’agit pendant quatre jours pour la commission de l’Assemblée parlementaire (APF) de revisiter l’évolution politique de l’ensemble des pays de cet espace afin d’apporter des réponses précises sur la consolidation de la démocratie et de l’Etat de droit dans le monde francophone.
M Guy Nzouba Ndama qui ouvrait les travaux en sa double qualité de président de l’Assemblée nationale du Gabon et président de la section gabonaise de l’assemblée parlementaire de la Francophonie a émis le vœu de voir les travaux de Libreville s’inscrire dans la continuité de la rencontre de l’année dernière à Rabat au Maroc.
Il est question, pour l’essentiel, a indiqué le président de l’Assemblée nationale gabonaise de de mettre à jour la convention entre le secrétariat général de l’APF et l’Organisation internationale de la francophonie. Il s’agira aussi d’examiner les enjeux politiques au sein des sections suspendues ou mises sous observation par l’APF.
Dans cette perspective, M. Nzouba Ndame a sollicité de ses collègues que soient également examinées les situations de crise politique dans l’espace francophone.
« Je pense notamment à celle que traverse un pays frère de notre sous-région d’Afrique centrale, la République centrafricaine, qui s’enfonce malheureusement chaque jour un peu plus dans un invraisemblable torrent de haine entre chrétiens et musulmans par milices interposées », a-t-il relevé.
Par ailleurs, il a souligné la floraison des nouvelles polémiques, de nouveaux enjeux politiques et sociaux surgissant dans l’espace francophone.
Pour sa part, la présidente de la commission politique de l’Assemblée parlementaire francophone, Michelle André a affirmé que la question de l’alternance et de la démocratie est sans appel dans l’espace francophone.
De leurs côtés, les parlementaires venus du Congo Brazzaville, du Bénin, du Burkina Faso, du Canada et du royaume de Belgique ont évoqué les situations politiques que vivent leurs pays respectifs.
Le cas du Burkina Faso où le débat autour de la révision de la constitution pour proroger le mandat de l’actuel chef de l’Etat et la création d’un sénat a été exposé par un député Burkinabé.
Les travaux de l’Assemblée parlementaire francophone prennent fin vendredi.
PIM/of/APA