Le 24 Avril 2013 lors de la 54ème réunion de la Commission de l’Organisation Mondiale du Tourisme pour l’Afrique à Tunis, la FENITOURCI (Fédération Nationale de l’Industrie Touristique de Côte d’Ivoire) à signé le code mondial d’éthique du tourisme de l’OMT.
En effet, la grave crise qu’a connue notre pays la Côte d’ivoire, l’industrie touristique a payé un lourd tribut, devenant même un secteur sinistré. Grâce à la relance amorcée par le nouveau Gouvernement avec en ligne de mire l’objectif de un million cinq cent mille visiteurs à l’horizon 2015, les opérateurs et les professionnels du secteur se sont mobilisés dès cet instant pour traduire en acte cette vision gouvernementale.
Dans cette optique, le Code Mondial d’Ethique du Tourisme adopté par l’OMT et contenant l’essentiel des principes directeurs du développement touristique, apparaissait comme la boussole incontournable de l’émergence d’un tourisme ivoirien durable et solidaire.
Aussi, la FENITOURCI qui regroupe les acteurs de l’industrie du tourisme en Côte d’ivoire à savoir :
- ANEHT-CI (Association Nationale des Etablissements d’Hébergement de Tourisme de Côte d’ivoire) ;
- SYNARMACI (Syndicat National des Restaurants et Maquis de Côte d’Ivoire) ;
- SAVACI (Syndicat des Agences de voyages d’Affaires de Côte d’Ivoire)
- UPAREST-CI (Union Patronale des restaurateurs de Côte d’Ivoire) ;
- CAA (Coopérative des Artisans d’Arts) ;
- SYNALOVCI (Syndicat National des Loueurs de Véhicules de Côte d’ivoire).
Et qui est l’émanation de la Fédération des Organisations Patronales du Tourisme et de l’Hôtellerie de l’espace UEMOA, en abrégé FOPATH ne pouvait qu’aspirer à cet idéal.
Par ailleurs, en sollicitant notre adhésion au Code Mondial d’Ethique du Tourisme il ya un an, nous étions sans ignorer que, cet engagement comme tous les autres d’ailleurs, avait ses obligations et ses avantages.
Mais si les professionnels du secteur du tourisme de la Côte d’Ivoire voulaient s’inscrire résolument dans une dynamique de développement d’une industrie touristique forte et durable, ils n’avaient d’autres choix que d’appliquer les dispositions pertinentes contenues dans son préambule et dans les 10 articles.
C’est pourquoi, nous avons au cours de tous nos évènements diffusé le code auprès de nos membres, de nos sympathisants, de nos partenaires et de tous opérateurs du secteur du tourisme afin de les amener à adopter les principes de celui-ci.
Après une année d’exercice, nous n’avons pas la prétention d’affirmer que nous avons atteint tous nos objectifs en matière d’application des principes du code. Cependant nous avons le mérite de militer sans relâche à la mise en pratique, à la promotion et à la diffusion de ces principes gage d’un tourisme responsable et durable à savoir :
- conduire nos activités en harmonie avec les spécificités et traditions des régions et pays d’accueil ;
- respecter l’égalité des hommes et des femmes et promouvoir les droits de l’homme, spécialement les droits particuliers des groupes les plus vulnérables ;
- encourager les formes de tourisme telles la religion, la santé, l’éducation, l’échange culturel et linguistique ;
- sauvegarder l’environnement et les ressources naturelles et protéger le patrimoine naturel et les populations locales ;
- respecter le patrimoine artistique, archéologique et culturel ;
- Associer les populations locales aux activités touristiques ;
- Procéder aux études d’impact environnemental avant tout investissement ;
- Fournir aux touristes les informations objectives et sincères sur les destinations ;
- Assurer les droits fondamentaux des travailleurs salariés et indépendants ;
- Promouvoir le partenariat public /privé pour la mise en œuvre des principes contenu dans le présent code.
Voilà en quelques mots l’engagement que la FENITOURCI a pris il ya un an pour le rayonnement de l’industrie touristique nationale, sous régionale et internationale.
Aujourd’hui encore, elle voudrait pouvoir compter sur le soutien et l’appui du Ministère du Tourisme, de l’office du Tourisme, des opérateurs du secteur (les agences de voyages, les Etablissements d’hébergement, les restaurants, les loueurs de véhicules….), des partenaires (les chancelleries, les ONG, les sites de promotion touristique, la Chambre de Commerce et d’Industrie de Côte d’Ivoire….), des collectivités territoriales(les maires et les conseillers généraux), des chefs traditionnels et les populations locales) et toutes les bonnes volontés pour continuer cette noble mission.
Mamadou DIOMANDE
Président du Comité Exécutif Fédéral
En effet, la grave crise qu’a connue notre pays la Côte d’ivoire, l’industrie touristique a payé un lourd tribut, devenant même un secteur sinistré. Grâce à la relance amorcée par le nouveau Gouvernement avec en ligne de mire l’objectif de un million cinq cent mille visiteurs à l’horizon 2015, les opérateurs et les professionnels du secteur se sont mobilisés dès cet instant pour traduire en acte cette vision gouvernementale.
Dans cette optique, le Code Mondial d’Ethique du Tourisme adopté par l’OMT et contenant l’essentiel des principes directeurs du développement touristique, apparaissait comme la boussole incontournable de l’émergence d’un tourisme ivoirien durable et solidaire.
Aussi, la FENITOURCI qui regroupe les acteurs de l’industrie du tourisme en Côte d’ivoire à savoir :
- ANEHT-CI (Association Nationale des Etablissements d’Hébergement de Tourisme de Côte d’ivoire) ;
- SYNARMACI (Syndicat National des Restaurants et Maquis de Côte d’Ivoire) ;
- SAVACI (Syndicat des Agences de voyages d’Affaires de Côte d’Ivoire)
- UPAREST-CI (Union Patronale des restaurateurs de Côte d’Ivoire) ;
- CAA (Coopérative des Artisans d’Arts) ;
- SYNALOVCI (Syndicat National des Loueurs de Véhicules de Côte d’ivoire).
Et qui est l’émanation de la Fédération des Organisations Patronales du Tourisme et de l’Hôtellerie de l’espace UEMOA, en abrégé FOPATH ne pouvait qu’aspirer à cet idéal.
Par ailleurs, en sollicitant notre adhésion au Code Mondial d’Ethique du Tourisme il ya un an, nous étions sans ignorer que, cet engagement comme tous les autres d’ailleurs, avait ses obligations et ses avantages.
Mais si les professionnels du secteur du tourisme de la Côte d’Ivoire voulaient s’inscrire résolument dans une dynamique de développement d’une industrie touristique forte et durable, ils n’avaient d’autres choix que d’appliquer les dispositions pertinentes contenues dans son préambule et dans les 10 articles.
C’est pourquoi, nous avons au cours de tous nos évènements diffusé le code auprès de nos membres, de nos sympathisants, de nos partenaires et de tous opérateurs du secteur du tourisme afin de les amener à adopter les principes de celui-ci.
Après une année d’exercice, nous n’avons pas la prétention d’affirmer que nous avons atteint tous nos objectifs en matière d’application des principes du code. Cependant nous avons le mérite de militer sans relâche à la mise en pratique, à la promotion et à la diffusion de ces principes gage d’un tourisme responsable et durable à savoir :
- conduire nos activités en harmonie avec les spécificités et traditions des régions et pays d’accueil ;
- respecter l’égalité des hommes et des femmes et promouvoir les droits de l’homme, spécialement les droits particuliers des groupes les plus vulnérables ;
- encourager les formes de tourisme telles la religion, la santé, l’éducation, l’échange culturel et linguistique ;
- sauvegarder l’environnement et les ressources naturelles et protéger le patrimoine naturel et les populations locales ;
- respecter le patrimoine artistique, archéologique et culturel ;
- Associer les populations locales aux activités touristiques ;
- Procéder aux études d’impact environnemental avant tout investissement ;
- Fournir aux touristes les informations objectives et sincères sur les destinations ;
- Assurer les droits fondamentaux des travailleurs salariés et indépendants ;
- Promouvoir le partenariat public /privé pour la mise en œuvre des principes contenu dans le présent code.
Voilà en quelques mots l’engagement que la FENITOURCI a pris il ya un an pour le rayonnement de l’industrie touristique nationale, sous régionale et internationale.
Aujourd’hui encore, elle voudrait pouvoir compter sur le soutien et l’appui du Ministère du Tourisme, de l’office du Tourisme, des opérateurs du secteur (les agences de voyages, les Etablissements d’hébergement, les restaurants, les loueurs de véhicules….), des partenaires (les chancelleries, les ONG, les sites de promotion touristique, la Chambre de Commerce et d’Industrie de Côte d’Ivoire….), des collectivités territoriales(les maires et les conseillers généraux), des chefs traditionnels et les populations locales) et toutes les bonnes volontés pour continuer cette noble mission.
Mamadou DIOMANDE
Président du Comité Exécutif Fédéral