La ministre de la Solidarité, de la Famille de la Femme et de l’Enfant, Anne Désirée Oulotto a exprimé son indignation face à l’assassinat, par un soldat des Forces républicaines de Côte d’Ivoire, du jeune adolescent Joël Tiémoko, survenu il y'a quelques jours dans la commune d’Attécoubé.
Venue exprimer les compassions et la solidarité du Gouvernement à la famille du jeune defunt, La ministre de la Solidarité de la Famille, de la Femme et de l’Enfant a fustigé et dénoncé cet acte, qui est de nature à mettre en péril le processus de cohésion social et de paix prôné par le chef de l’Etat Alassane Ouattara.
« Cet acte ne restera pas impuni », a tenu à rassurer Anne Désiré Oulotto. Tout sera mis en œuvre pour que le coupable de cet assassinat « odieux » soit puni, a affirmé la ministre de la Solidarité, de la Famille, de la Femme et de l’Enfant. Elle a par ailleurs invité la population, révoltée par cet assassinat, à garder son calme. Avant de quitter la famille, Anne désirée Oulotto a, au nom du Gouvernement, remis la somme de 2 millions à la famille éplorée. Et promis de prendre entièrement en charge un blessé par balle au bras suite à cet incident.
Pour rappel, c’est aller se soulager sur un terrain vague que le jeune Joël Tiémoko a été abattu par balle par un soldat FRCI, qui selon ses propos l’aurait confondu à un voleur.
Venue exprimer les compassions et la solidarité du Gouvernement à la famille du jeune defunt, La ministre de la Solidarité de la Famille, de la Femme et de l’Enfant a fustigé et dénoncé cet acte, qui est de nature à mettre en péril le processus de cohésion social et de paix prôné par le chef de l’Etat Alassane Ouattara.
« Cet acte ne restera pas impuni », a tenu à rassurer Anne Désiré Oulotto. Tout sera mis en œuvre pour que le coupable de cet assassinat « odieux » soit puni, a affirmé la ministre de la Solidarité, de la Famille, de la Femme et de l’Enfant. Elle a par ailleurs invité la population, révoltée par cet assassinat, à garder son calme. Avant de quitter la famille, Anne désirée Oulotto a, au nom du Gouvernement, remis la somme de 2 millions à la famille éplorée. Et promis de prendre entièrement en charge un blessé par balle au bras suite à cet incident.
Pour rappel, c’est aller se soulager sur un terrain vague que le jeune Joël Tiémoko a été abattu par balle par un soldat FRCI, qui selon ses propos l’aurait confondu à un voleur.