Chants, danses, expositions, carnaval, gastronomie, etc. d’une vingtaine de pays d’Afrique et d’ailleurs (Chine) animeront la deuxième édition du Festival multiculturel international de Côte d’Ivoire (Fmici) qui innove cette année avec l’instauration d’un colloque. Cette plateforme de réflexions et d’échanges introduite dans le festival par le ministère de la Culture et de la Francophonie permettra de traiter du thème général qui conduit cette année «A la découverte de la diversité culturelle d’ici et d’ailleurs».
Dans le Jardin Canal aux bois de Treichville à l’ouverture du Fmici le vendredi, la vice-présidente Trazéré Olibé Célestine Epouse Koné, député d'Issia, représentant le Président de l’Assemblée nationale, Guillaume Soro, parrain de ladite édition, a qualifié de «courageux, valeureux» les objectifs dudit événement qui sont «portés sur vision optimiste». Partageant une conviction (de tous les parlementaires) que la culture «demeure la chose essentielle à travers laquelle et sur laquelle les peuples peuvent s’accorder sans à priori», la vice-présidente de l’Assemblée nationale s’est voulu claire : «Un député qui ne fait pas du brassage humain et culturel une priorité dans sa localité est assurément un dépité». Selon le député d’Issia, «le serment du député l’y contraint d’une manière ou d’une autre».
Des défis qui attendent la Côte d’Ivoire, la représentante du parrain soutien que «notre pays ne doit pas hésiter un seul instant à faire le pari d’un partenariat axé sur l’ouverture en vue de promouvoir le développement durable de son patrimoine culturel».
Dembélé Fausseni, représentant le ministre de la Culture et de la Francophone s’est félicité du «grand coup» du Fmici qui est celui de l’intégration.
De l’avis de Valérie Oka, représentant le ministre de l’intégration, il urge d’accompagner le développement culturel. «Il faut prendre conscience de la vision d’intégration. Le Fmici met en exergue l’industrie culturel qui permettra de diffuser notre propre vision», a-t-elle encouragé.
La deuxième du Fmici réunit quinze pays de la Cedeao auxquels s’ajoutent la Chine, le Maroc, la Mauritanie, Madagascar, Cameroun.
Ceux-ci y exposeront les 25, 26 et 27 avril pour consolider les liens de fraternité eux et les Ivoiriens.
Koné Saydoo
Dans le Jardin Canal aux bois de Treichville à l’ouverture du Fmici le vendredi, la vice-présidente Trazéré Olibé Célestine Epouse Koné, député d'Issia, représentant le Président de l’Assemblée nationale, Guillaume Soro, parrain de ladite édition, a qualifié de «courageux, valeureux» les objectifs dudit événement qui sont «portés sur vision optimiste». Partageant une conviction (de tous les parlementaires) que la culture «demeure la chose essentielle à travers laquelle et sur laquelle les peuples peuvent s’accorder sans à priori», la vice-présidente de l’Assemblée nationale s’est voulu claire : «Un député qui ne fait pas du brassage humain et culturel une priorité dans sa localité est assurément un dépité». Selon le député d’Issia, «le serment du député l’y contraint d’une manière ou d’une autre».
Des défis qui attendent la Côte d’Ivoire, la représentante du parrain soutien que «notre pays ne doit pas hésiter un seul instant à faire le pari d’un partenariat axé sur l’ouverture en vue de promouvoir le développement durable de son patrimoine culturel».
Dembélé Fausseni, représentant le ministre de la Culture et de la Francophone s’est félicité du «grand coup» du Fmici qui est celui de l’intégration.
De l’avis de Valérie Oka, représentant le ministre de l’intégration, il urge d’accompagner le développement culturel. «Il faut prendre conscience de la vision d’intégration. Le Fmici met en exergue l’industrie culturel qui permettra de diffuser notre propre vision», a-t-elle encouragé.
La deuxième du Fmici réunit quinze pays de la Cedeao auxquels s’ajoutent la Chine, le Maroc, la Mauritanie, Madagascar, Cameroun.
Ceux-ci y exposeront les 25, 26 et 27 avril pour consolider les liens de fraternité eux et les Ivoiriens.
Koné Saydoo