Le Ministre d’Etat, ministre de l’Intérieur et de la sécurité, Hamed Bakayoko a annoncé, vendredi, l’installation dans le mois de juin, de la Commission électorale indépendante (CEI, réformée), soulignant par ailleurs que le gouvernement n’a pas l’intention de renégocier sa composition.
« La nouvelle CEI sera installée en juin si elle est adoptée par le Parlement qui ouvre ses débats en mai » a déclaré Hamed Bakayoko au cours d'une conférence de presse tenue à son cabinet.
Une fois installée, a poursuivi le ministre d'Etat, cette nouvelle CEI va entreprendre la révision de la liste électorale, en indiquant au passage que « nous n'avons pas l'intention de renégocier la composition de la CEI ».
« En 2001, le Premier ministre Affi N'guessan a fait adopter une CEI avec 9 personnalités de l'Etat sur 25 membres » a rappelé M. Bakayoko pour répondre à l'opposition qui dénonce un « déséquilibre » de la CEI.
Le projet de loi du gouvernement portant recomposition de la CEI prévoit 13 personnalités dont 3 représentants du parti au pouvoir, 3 pour l'opposition, 3 de la société civile et 1 représentant pour chacune des institutions suivantes : présidence de la République, ministère de l'intérieur, ministère de l'Economie et des finances et magistrature.
La clé de répartition des membres de la CEI proposée par l'opposition regroupée au sein de l'Alliance des forces démocratiques (AFD) octroie 4 représentants pour le pouvoir, 4 pour l'opposition, 4 représentants de la société civile et 3 de l'Administration, ayant essentiellement un rôle d'appui technique et sans voix délibératives que sont le ministère de l'intérieur, celui de la Défense ainsi qu'un représentant du ministère de l'Economie et des finances. Soit au total, 16 personnalités y compris le président.
HS/ls/APA
« La nouvelle CEI sera installée en juin si elle est adoptée par le Parlement qui ouvre ses débats en mai » a déclaré Hamed Bakayoko au cours d'une conférence de presse tenue à son cabinet.
Une fois installée, a poursuivi le ministre d'Etat, cette nouvelle CEI va entreprendre la révision de la liste électorale, en indiquant au passage que « nous n'avons pas l'intention de renégocier la composition de la CEI ».
« En 2001, le Premier ministre Affi N'guessan a fait adopter une CEI avec 9 personnalités de l'Etat sur 25 membres » a rappelé M. Bakayoko pour répondre à l'opposition qui dénonce un « déséquilibre » de la CEI.
Le projet de loi du gouvernement portant recomposition de la CEI prévoit 13 personnalités dont 3 représentants du parti au pouvoir, 3 pour l'opposition, 3 de la société civile et 1 représentant pour chacune des institutions suivantes : présidence de la République, ministère de l'intérieur, ministère de l'Economie et des finances et magistrature.
La clé de répartition des membres de la CEI proposée par l'opposition regroupée au sein de l'Alliance des forces démocratiques (AFD) octroie 4 représentants pour le pouvoir, 4 pour l'opposition, 4 représentants de la société civile et 3 de l'Administration, ayant essentiellement un rôle d'appui technique et sans voix délibératives que sont le ministère de l'intérieur, celui de la Défense ainsi qu'un représentant du ministère de l'Economie et des finances. Soit au total, 16 personnalités y compris le président.
HS/ls/APA