Dans le cadre de la célébration de la journée internationale de la propriété intellectuelle le 25 avril, le Gouvernement ivoirien a décidé de mettre l’accent sur la propriété littéraire et artistique, qui aux dire du Directeur général du Bureau ivoirien des droits d’Auteur (BURIDA), Irène Assa Vieira, participe de la promotion de la culture.
Les DG du BURIDA, Irène Assa Vieira et de l’Office ivoirien de la propriété intellectuelle (OIPI), Denis Bohoussou ont rencontré des parlementaires ivoiriens, à qui ils ont expliqué la propriété intellectuelle et la nécessité de sa protection.
Le thème central de la journée internationale tourne autour de la propriété intellectuelle et le système de protection. En effet s’agissant de la protection de la propriété intellectuelle, l’Etat ivoirien s’est doté de structures afin de garantir sa protection. Ainsi l’Office ivoirien de la propriété intellectuelle (OIPI), structure transversale entre le ministère de l4industrie et des Mines et celui de la Culture veille à protéger les inventions d’auteurs nationaux en leur permettant d’obtenir le brevet d’invention.
Quand au Bureau ivoirien des droits d’auteur créé par décret le 15 avril 1981, son rôle est de promouvoir et de défendre les intérêts matériels et moraux des auteurs d’œuvres de l’esprit, des artistes interprètes ou exécutants ainsi que les producteurs de phonogrammes et vidéogrammes, et d’établir entre eux et les utilisateurs les relations nécessaires à la protection de leurs droits.
Selon le Directeur général de l’OIPI Denis Bohoussou, « la propriété intellectuelle vise à faire avancer la concurrence » et participe du développement des sociétés. Elle permet aux inventeurs de vivre de leur création, ajoutera-t-il.
Le DG du BURIDA, Irène Assa Vieira, quant à elle, indiquera que le droit d’auteur, que protège la structure qu’elle dirige est le « ferment de la création », en ce sens qu’il permet également à l’auteur de vivre décemment de fruit de son esprit.
Les DG du BURIDA, Irène Assa Vieira et de l’Office ivoirien de la propriété intellectuelle (OIPI), Denis Bohoussou ont rencontré des parlementaires ivoiriens, à qui ils ont expliqué la propriété intellectuelle et la nécessité de sa protection.
Le thème central de la journée internationale tourne autour de la propriété intellectuelle et le système de protection. En effet s’agissant de la protection de la propriété intellectuelle, l’Etat ivoirien s’est doté de structures afin de garantir sa protection. Ainsi l’Office ivoirien de la propriété intellectuelle (OIPI), structure transversale entre le ministère de l4industrie et des Mines et celui de la Culture veille à protéger les inventions d’auteurs nationaux en leur permettant d’obtenir le brevet d’invention.
Quand au Bureau ivoirien des droits d’auteur créé par décret le 15 avril 1981, son rôle est de promouvoir et de défendre les intérêts matériels et moraux des auteurs d’œuvres de l’esprit, des artistes interprètes ou exécutants ainsi que les producteurs de phonogrammes et vidéogrammes, et d’établir entre eux et les utilisateurs les relations nécessaires à la protection de leurs droits.
Selon le Directeur général de l’OIPI Denis Bohoussou, « la propriété intellectuelle vise à faire avancer la concurrence » et participe du développement des sociétés. Elle permet aux inventeurs de vivre de leur création, ajoutera-t-il.
Le DG du BURIDA, Irène Assa Vieira, quant à elle, indiquera que le droit d’auteur, que protège la structure qu’elle dirige est le « ferment de la création », en ce sens qu’il permet également à l’auteur de vivre décemment de fruit de son esprit.