Le bilan à mi-parcours de la campagne commerciale de l'anacarde lancée en février dernier, fait ressortir plus de 82 milliards de FCFA distribués aux producteurs de ce produit.
Ce bilan partiel a été dressé, samedi, par Malamine Sanogo, le directeur général du Conseil du coton et l'anacarde.
"Je demande aux acheteurs de reprendre les achats, ce n'est pas la peine d'attendre parce que les prix ne vont pas changés", a-t-il déclaré en faisant référence à certaines rumeurs qui font planer une menace de baisse du prix de l'anacarde.
Le gouvernement ivoirien a fixé le prix minimum garanti, bord champ à 225 FCFA le kg. Le prix intérieur magasin est de 250 FCFA et le prix magasin portuaire est fixé à 295 FCFA. Ces prix sont "planchés", a insisté M. Sanogo.
A ce propos, pour éviter cette éventuelle baisse du prix qui se "trame chez les Indiens", le Mouvement des coopératives et acheteurs de l'anacarde (MC2A) a été mis en place, dimanche, à Treichville commune située au Sud d'Abidjan.
"Le Mouvement tient à remercier le chef de l'Etat et son gouvernement qui a travers le conseil à tenu à maintenir les prix fixés tout au long de la campagne c'est-à-dire 225f/kg bord champs et 295f/kg prix portuaire", a déclaré le président du MC2A, Abdoulaye Sanogo, interrogé par APA.
Afin de soutenir les mesures prises par les autorités, a-t-il poursuivi, "le mouvement tient à sensibiliser les acteurs de la filière cajou (anacarde) en leurs demandant de garder la sérénité car aucune raison ne justifie une éventuelle baisse des prix".
"Nous demandons aux producteurs de bien sécher, trier et stocker les produits. Aux acheteurs et transporteurs nous demandons d'arrêter tous chargements et transport de noix de cajou vers les deux ports jusqu'à nouvelle ordre et surtout ne pas céder les produits en dessous des prix officiels", a conclu Abdoulaye Sanogo.
"A ce jour, il y a 71% de la production nationale qui sont déjà sortis. Il ne nous reste que 29% à faire sortir", a expliqué dans un entretien à APA, Siaka Touré, Président de la Coodepak, une coopérative d'anacarde basée à Odienné dans le Nord-Ouest ivoirien. Cette année, s'est-il félicité, "il n'y a pas de rétention de produit".
Les acteurs de la filière saluent tous, les mesures prises par le gouvernement en vue de garantir aux producteurs "60% du prix CAF".
Les recettes annuelles de l'anacarde ou noix de cajou sont estimées à près de 170 milliards de FCFA. La Côte d'Ivoire qui occupe le 2ème rang mondial, produit près de 500 000 tonnes par an.
Ce bilan partiel a été dressé, samedi, par Malamine Sanogo, le directeur général du Conseil du coton et l'anacarde.
"Je demande aux acheteurs de reprendre les achats, ce n'est pas la peine d'attendre parce que les prix ne vont pas changés", a-t-il déclaré en faisant référence à certaines rumeurs qui font planer une menace de baisse du prix de l'anacarde.
Le gouvernement ivoirien a fixé le prix minimum garanti, bord champ à 225 FCFA le kg. Le prix intérieur magasin est de 250 FCFA et le prix magasin portuaire est fixé à 295 FCFA. Ces prix sont "planchés", a insisté M. Sanogo.
A ce propos, pour éviter cette éventuelle baisse du prix qui se "trame chez les Indiens", le Mouvement des coopératives et acheteurs de l'anacarde (MC2A) a été mis en place, dimanche, à Treichville commune située au Sud d'Abidjan.
"Le Mouvement tient à remercier le chef de l'Etat et son gouvernement qui a travers le conseil à tenu à maintenir les prix fixés tout au long de la campagne c'est-à-dire 225f/kg bord champs et 295f/kg prix portuaire", a déclaré le président du MC2A, Abdoulaye Sanogo, interrogé par APA.
Afin de soutenir les mesures prises par les autorités, a-t-il poursuivi, "le mouvement tient à sensibiliser les acteurs de la filière cajou (anacarde) en leurs demandant de garder la sérénité car aucune raison ne justifie une éventuelle baisse des prix".
"Nous demandons aux producteurs de bien sécher, trier et stocker les produits. Aux acheteurs et transporteurs nous demandons d'arrêter tous chargements et transport de noix de cajou vers les deux ports jusqu'à nouvelle ordre et surtout ne pas céder les produits en dessous des prix officiels", a conclu Abdoulaye Sanogo.
"A ce jour, il y a 71% de la production nationale qui sont déjà sortis. Il ne nous reste que 29% à faire sortir", a expliqué dans un entretien à APA, Siaka Touré, Président de la Coodepak, une coopérative d'anacarde basée à Odienné dans le Nord-Ouest ivoirien. Cette année, s'est-il félicité, "il n'y a pas de rétention de produit".
Les acteurs de la filière saluent tous, les mesures prises par le gouvernement en vue de garantir aux producteurs "60% du prix CAF".
Les recettes annuelles de l'anacarde ou noix de cajou sont estimées à près de 170 milliards de FCFA. La Côte d'Ivoire qui occupe le 2ème rang mondial, produit près de 500 000 tonnes par an.