Le prochain « Etalon d’Or du Yennenga », grand prix couronnant le festival du cinéma de Ouagadougou (FESPACO), le plus important d’Afrique, sera la propriété de la Côte d’Ivoire, a déclaré mercredi au Lycée Sainte Marie d’Abidjan le ministre de la Culture et de la Francophonie, Maurice Kouakou Bandama. C’était à l’occasion de la célébration de la Journée mondiale de la propriété intellectuelle, dont le thème est le Cinéma, une passion universelle.
Le ministre tient sa conviction dans le fait que le Cinéma ivoirien en plus de regorger de nombreux talents, bénéficie désormais de plus d’attentions de la part de l’Etat. « Nous travaillons à ce que d’ici quelques années, les artistes et cinéastes Ivoiriens soient cités parmi les plus riches d’Afrique », a-t-il affirmé. Il a par ailleurs annoncé un projet de loi en faveur du monde de la culture et notamment du cinéma, qui prévoit que toute personne physique ou morale qui financerait un projet cinématographique ou discographique se verrait exonérée d’une partie de ses impôts. Ceci pour encourager plus de personnes à investir dans le cinéma. Car dira Maurice Kouakou Bandaman, « Le Cinéma rapporte mieux que l’or et le diamant ». Il en veut pour preuve, les Etats-Unis où la Culture représente la première industrie du pays.
Il a aussi indiqué qu’en acceptant le poste de ministre de la Culture et de la Francophonie, il s’était engagé à « choisir la partie la plus pauvre pour en faire la plus riche », lui-même étant un homme de culture en sa qualité d’écrivain, dramaturge, etc…Selon Maurice Bandaman, « la culture étant ce qu’il ya de plus riche pour les peuples », tout doit être mis en œuvre pour que « d’ici les 10 ou 20 prochaines années, la culture rapporte à la Côte d’Ivoire plus que le Cacao et le pétrole ».
Démarrées le 25 avril, les festivités marquant la célébration de la journée mondiale de la propriété intellectuelle se sont achevées le mercredi 30 avril.
Le ministre tient sa conviction dans le fait que le Cinéma ivoirien en plus de regorger de nombreux talents, bénéficie désormais de plus d’attentions de la part de l’Etat. « Nous travaillons à ce que d’ici quelques années, les artistes et cinéastes Ivoiriens soient cités parmi les plus riches d’Afrique », a-t-il affirmé. Il a par ailleurs annoncé un projet de loi en faveur du monde de la culture et notamment du cinéma, qui prévoit que toute personne physique ou morale qui financerait un projet cinématographique ou discographique se verrait exonérée d’une partie de ses impôts. Ceci pour encourager plus de personnes à investir dans le cinéma. Car dira Maurice Kouakou Bandaman, « Le Cinéma rapporte mieux que l’or et le diamant ». Il en veut pour preuve, les Etats-Unis où la Culture représente la première industrie du pays.
Il a aussi indiqué qu’en acceptant le poste de ministre de la Culture et de la Francophonie, il s’était engagé à « choisir la partie la plus pauvre pour en faire la plus riche », lui-même étant un homme de culture en sa qualité d’écrivain, dramaturge, etc…Selon Maurice Bandaman, « la culture étant ce qu’il ya de plus riche pour les peuples », tout doit être mis en œuvre pour que « d’ici les 10 ou 20 prochaines années, la culture rapporte à la Côte d’Ivoire plus que le Cacao et le pétrole ».
Démarrées le 25 avril, les festivités marquant la célébration de la journée mondiale de la propriété intellectuelle se sont achevées le mercredi 30 avril.