Abidjan - Mme Anne Désirée Ouloto, ministre de la Solidarité, de la femme, de la famille et de l’enfant a dénoncé, lundi, l’image caricaturale de la femme dans les médias, en plaidant pour une plus forte représentativité des femmes aux postes de décision dans les médias.
La ministre Désirée Ouloto a fait ce plaidoyer à l'ouverture de l'atelier de restitution de l'étude sur l'image des femmes dans les médias, à la Maison de la Presse d'Abidjan (MPA) autour du thème « Promouvoir, pendant la période post conflit, un environnement médiatique plus favorable aux droits des femmes à l'information et à la communication en Côte d'Ivoire ».
Un projet qui vise, selon Mme Agnès Kraidy, présidente du Réseau des femmes journalistes de Côte d'Ivoire (REFJCI) à sensibiliser les responsables du secteur médiatique à la lutte contre les discriminations affectant les femmes dans leur milieu professionnel.
Pour Mme Ouloto, l'image caricaturale de la femme dans les médias doit, désormais, laisser la place à la « femme capable d'assumer autant que son collègue homme, les premiers rôles ».
« Nous plaidons pour une forte représentativité des femmes aux postes de décisions dans les médias », a-t-elle ajouté, soulignant de tout mettre en œuvre pour arriver à l'émergence 2020 avec la parité homme/femme. Ce thème, selon Mme Ouloto, fait partie des priorités du président de la République et du gouvernement.
A ce propos, citant le Chef de l'Etat ivoirien, la ministre Anne Désirée Ouloto a indiqué que chaque fois que des femmes accèdent à des postes de responsabilité (…),les analyses sont mieux élaborées de manière ouverte, les décisions sont prises avec une plus grande confiance , mieux expliquées, mieux acceptées et leur mise en œuvre devient plus facile, les conflits s'apaisent et l'équilibre revient.
Pendant deux jours, les participants travailleront sur l'élaboration d'une charte sur la place et l'image des femmes dans les médias qui sera présentée mardi.
Le projet qui bénéficie du financement de l'UNESCO et appuyé par l'ONG danoise, DANIDA, est mis en œuvre en partenariat avec l'Observatoire de la liberté de la presse, de l'éthique et de la déontologie (OLPED) et le Réseau des femmes journalistes et des professionnelles de la communication de Côte d'Ivoire (REFJPCI).
HS/ls/APA
La ministre Désirée Ouloto a fait ce plaidoyer à l'ouverture de l'atelier de restitution de l'étude sur l'image des femmes dans les médias, à la Maison de la Presse d'Abidjan (MPA) autour du thème « Promouvoir, pendant la période post conflit, un environnement médiatique plus favorable aux droits des femmes à l'information et à la communication en Côte d'Ivoire ».
Un projet qui vise, selon Mme Agnès Kraidy, présidente du Réseau des femmes journalistes de Côte d'Ivoire (REFJCI) à sensibiliser les responsables du secteur médiatique à la lutte contre les discriminations affectant les femmes dans leur milieu professionnel.
Pour Mme Ouloto, l'image caricaturale de la femme dans les médias doit, désormais, laisser la place à la « femme capable d'assumer autant que son collègue homme, les premiers rôles ».
« Nous plaidons pour une forte représentativité des femmes aux postes de décisions dans les médias », a-t-elle ajouté, soulignant de tout mettre en œuvre pour arriver à l'émergence 2020 avec la parité homme/femme. Ce thème, selon Mme Ouloto, fait partie des priorités du président de la République et du gouvernement.
A ce propos, citant le Chef de l'Etat ivoirien, la ministre Anne Désirée Ouloto a indiqué que chaque fois que des femmes accèdent à des postes de responsabilité (…),les analyses sont mieux élaborées de manière ouverte, les décisions sont prises avec une plus grande confiance , mieux expliquées, mieux acceptées et leur mise en œuvre devient plus facile, les conflits s'apaisent et l'équilibre revient.
Pendant deux jours, les participants travailleront sur l'élaboration d'une charte sur la place et l'image des femmes dans les médias qui sera présentée mardi.
Le projet qui bénéficie du financement de l'UNESCO et appuyé par l'ONG danoise, DANIDA, est mis en œuvre en partenariat avec l'Observatoire de la liberté de la presse, de l'éthique et de la déontologie (OLPED) et le Réseau des femmes journalistes et des professionnelles de la communication de Côte d'Ivoire (REFJPCI).
HS/ls/APA