Abidjan - La 2ème édition du salon de la sécurité SHIELDAFRICA s’est ouvert, mardi, à l’Ecole nationale de Police d’Abidjan, sous la présidence du ministre en charge de la Défense Paul Koffi Koffi qui a dénoncé l’impact « négatif » de la piraterie maritime sur l’économie des pays riverains du Golfe de Guinée.
Après la 1ère édition de SHIELDAFRICA, en mai 2013, la tenue d’une 2ème édition à Abidjan, selon le ministre Paul Koffi Koffi, en plus d’être l’expression d’un intérêt croissant pour les questions de défense et de sécurité intérieure, « est une marque de confiance des organisateurs et partenaires en la Côte d’Ivoire ».
« La persistance des menaces sécuritaires à la stabilité politique, sociale et économique du continent africain appelle les décideurs du domaine de la sécurité-défense à multiplier les rencontres entre eux et leurs partenaires » a déclaré Paul Koffi Koffi à l’ouverture du salon, en présence du ministre d’Etat ivoirien, ministre de l’intérieur et de la sécurité Hamed Bakayoko et de nombreux ministres de la sécurité de la sous-région et de celui d’Haïti, Reginald Delva, invité d’honneur de SHIELDAFRICA 2014.
Selon le ministre Koffi Koffi, à côté des menaces conventionnelles, il est apparu de nouvelles menaces telles la cybercriminalité, la criminalité transfrontalière, le trafic de drogue, le terrorisme, les catastrophes naturelles et la piraterie maritime.
« Pour y faire, les Etats ont adopté des mécanismes régionaux dont la mise en œuvre s’appuie sur leurs ressources propres mais également sur la technologie et le savoir-faire de partenaires expérimentés » a poursuivi M. Koffi Koffi, saluant la pertinence des thèmes de cette édition à savoir « la piraterie maritime » et « la gestion des catastrophes naturelles ».
En effet, a-t-il fait remarquer que « l’impact négatif de la piraterie maritime sur l’économie des pays riverains du Golfe de Guinée est énorme », indiquant que les autorités ivoiriennes ayant pris la pleine mesure du défi de « la sécurité maritime » et après un décret sur « l’action de l’Etat en mer », est candidate pour abriter le Centre régional de sécurité maritime de l’Afrique de l’Ouest (CRESMAO).
Avant le ministre Paul Koffi Koffi, Reginald Delva, ministre haïtien de l’Intérieur et des collectivités territoriales, invité d’honneur du salon, a présenté la situation catastrophique qu’a connue son pays , « placé sous les feux de l’actualité mondiale, il y a quatre ans, et dont la capitale a été dévastée par un tremblement de terre » causant plus de 300. 000 morts.
La journée d’ouverture a été, également, marquée par des démonstrations opérationnelles et des conférences.
HS/ls/APA
Après la 1ère édition de SHIELDAFRICA, en mai 2013, la tenue d’une 2ème édition à Abidjan, selon le ministre Paul Koffi Koffi, en plus d’être l’expression d’un intérêt croissant pour les questions de défense et de sécurité intérieure, « est une marque de confiance des organisateurs et partenaires en la Côte d’Ivoire ».
« La persistance des menaces sécuritaires à la stabilité politique, sociale et économique du continent africain appelle les décideurs du domaine de la sécurité-défense à multiplier les rencontres entre eux et leurs partenaires » a déclaré Paul Koffi Koffi à l’ouverture du salon, en présence du ministre d’Etat ivoirien, ministre de l’intérieur et de la sécurité Hamed Bakayoko et de nombreux ministres de la sécurité de la sous-région et de celui d’Haïti, Reginald Delva, invité d’honneur de SHIELDAFRICA 2014.
Selon le ministre Koffi Koffi, à côté des menaces conventionnelles, il est apparu de nouvelles menaces telles la cybercriminalité, la criminalité transfrontalière, le trafic de drogue, le terrorisme, les catastrophes naturelles et la piraterie maritime.
« Pour y faire, les Etats ont adopté des mécanismes régionaux dont la mise en œuvre s’appuie sur leurs ressources propres mais également sur la technologie et le savoir-faire de partenaires expérimentés » a poursuivi M. Koffi Koffi, saluant la pertinence des thèmes de cette édition à savoir « la piraterie maritime » et « la gestion des catastrophes naturelles ».
En effet, a-t-il fait remarquer que « l’impact négatif de la piraterie maritime sur l’économie des pays riverains du Golfe de Guinée est énorme », indiquant que les autorités ivoiriennes ayant pris la pleine mesure du défi de « la sécurité maritime » et après un décret sur « l’action de l’Etat en mer », est candidate pour abriter le Centre régional de sécurité maritime de l’Afrique de l’Ouest (CRESMAO).
Avant le ministre Paul Koffi Koffi, Reginald Delva, ministre haïtien de l’Intérieur et des collectivités territoriales, invité d’honneur du salon, a présenté la situation catastrophique qu’a connue son pays , « placé sous les feux de l’actualité mondiale, il y a quatre ans, et dont la capitale a été dévastée par un tremblement de terre » causant plus de 300. 000 morts.
La journée d’ouverture a été, également, marquée par des démonstrations opérationnelles et des conférences.
HS/ls/APA