Côte D'Ivoire - Le gouvernement ivoirien met en garde contre les appels au boycott de l'opération de recensement général de la population et de l'habitat, prévenant que les fauteurs de troubles seront traduits devant la justice.
"Les ministères de la Justice et de l'Intérieur ont été saisis, tous ceux qui troublent ce processus devront assumer leurs responsabilités", a fait savoir lundi à Abidjan le porte-parole du gouvernement, Bruno Koné, au sortir d'un conseil des ministres.
"Le code pénal en son article 169 puni les troubles à l'ordre public, les mots d'ordre de boycott conduisent à un trouble à l'ordre public et ne seront pas tolérés", a-t-il ajouté.
Dans un communiqué lundi, le Front populaire ivoirine (FPI, opposition) a affirmé que l'opération de recensement est un " cuisant échec" et a réitéré son appel boycott.
"Nous attirons l'attention sur les risques que prennent certaines personnes qui défient l'Etat et violent nos lois, le gouvernement a été compréhensible, il a laissé faire en comptant sur l'intelligence des uns et des autres", a menacé le porte- parole du gouvernement prévenant les auteurs de l'appel au boycott qu'ils auront à répondre de leurs actes devant la justice.
"A compter de demain, les ministères de la Justice et de l'Intérieur prendront leurs responsabilités face à ceux qui lancent les mots d'ordre de boycott", a-t-il martelé.
A en croire Bruno Koné, les appels au boycott ne sont "pas respectés" et l'opération se déroule "normalement" avec des taux de dénombrement se situent entre "20% et 93%".
"Les zones touchées de boycott ont des taux satisfaisants comme, c'est le cas à Lakota (sud) avec 87%", s'est réjoui le porte- parole du gouvernement, reconnaissant néanmoins des "difficultés" sur le terrain.
Ces difficultés tiennent, selon Bruno Koné, aux problèmes de mobilité du personnel et de couverture de réseau internet.
Bruno Koné annoncé la poursuite de l'opération sur l'ensemble du territoire national jusqu'au 22 mai pour tenir compte du démarrage tardif de l'opération dans plusieurs localités.
L'opération a été officiellement lancée le 17 mars et devait durer 30 jours.
"Les ministères de la Justice et de l'Intérieur ont été saisis, tous ceux qui troublent ce processus devront assumer leurs responsabilités", a fait savoir lundi à Abidjan le porte-parole du gouvernement, Bruno Koné, au sortir d'un conseil des ministres.
"Le code pénal en son article 169 puni les troubles à l'ordre public, les mots d'ordre de boycott conduisent à un trouble à l'ordre public et ne seront pas tolérés", a-t-il ajouté.
Dans un communiqué lundi, le Front populaire ivoirine (FPI, opposition) a affirmé que l'opération de recensement est un " cuisant échec" et a réitéré son appel boycott.
"Nous attirons l'attention sur les risques que prennent certaines personnes qui défient l'Etat et violent nos lois, le gouvernement a été compréhensible, il a laissé faire en comptant sur l'intelligence des uns et des autres", a menacé le porte- parole du gouvernement prévenant les auteurs de l'appel au boycott qu'ils auront à répondre de leurs actes devant la justice.
"A compter de demain, les ministères de la Justice et de l'Intérieur prendront leurs responsabilités face à ceux qui lancent les mots d'ordre de boycott", a-t-il martelé.
A en croire Bruno Koné, les appels au boycott ne sont "pas respectés" et l'opération se déroule "normalement" avec des taux de dénombrement se situent entre "20% et 93%".
"Les zones touchées de boycott ont des taux satisfaisants comme, c'est le cas à Lakota (sud) avec 87%", s'est réjoui le porte- parole du gouvernement, reconnaissant néanmoins des "difficultés" sur le terrain.
Ces difficultés tiennent, selon Bruno Koné, aux problèmes de mobilité du personnel et de couverture de réseau internet.
Bruno Koné annoncé la poursuite de l'opération sur l'ensemble du territoire national jusqu'au 22 mai pour tenir compte du démarrage tardif de l'opération dans plusieurs localités.
L'opération a été officiellement lancée le 17 mars et devait durer 30 jours.