Abidjan – Un atelier de lancement du Projet d’appui au secteur agricole (PSAC) se tient de mercredi à vendredi à Abidjan, à l’initiative du ministère de l’Agriculture.
Selon une note d’information dudit département ministériel transmise mardi à l’AIP, l’objectif de développement du Projet est d’améliorer l’accès des petits producteurs aux technologies et aux marchés, tout en améliorant la gouvernance des filières sélectionnées et appuyées dans le cadre du Projet.
Le projet cible ainsi cinq filières prioritaires qui ont été identifiées comme sources potentielles de croissance de l’économie nationale en général et du PIB agricole en particulier, à savoir le cacao, l’hévéa, le palmier à huile, le coton et l’anacarde.
Le PSAC s’inscrit dans le cadre global du programme d’amélioration de la productivité et de la compétitivité agricole en Afrique de l’Ouest (WAAPP). Il se veut un programme novateur tant dans l’approche méthodologique que dans ses principes d’intervention.
L’objectif ultime du PSAC est de contribuer à lutter contre la pauvreté en milieu rural, à travers une augmentation des revenus des producteurs bénéficiaires, et d’améliorer le fonctionnement des chaînes d’approvisionnement et de l’amélioration de la valeur ajoutée créée.
Les activités du PSAC se dérouleront dans les Régions du Gbêkê, du Poro, du Tchologo, de la Nawa , du Sud-Comoé et de la Mé. Pour la noix de cajou particulièrement, l’accent sera mis sur les régions du Hambol et du Gontougo.
Le PSAC concerne les petits planteurs de ces zones sélectionnées et sera réalisé sous la tutelle du ministère de l’Agriculture et en partenariat avec les organisations interprofessionnelles des filières, notamment l’APROMAC (hévéa) l’AIPH (palmier à huile), l’Intercoton (coton), la FPC-CI (anacarde) ), le Conseil du Coton et de l’Anacarde (CCA), le Conseil du Café-Cacao (CCC), et d’autres acteurs tels que l’AGEROUTE et les opérateurs privés.
A la suite de la mise en vigueur du Projet déclarée le 5 mai dernier, il convient d’amorcer le démarrage officiel des activités de ce Projet, à travers un atelier national de lancement et des ateliers éclatés dans les zones de concentration des activités du Projet. Ces évènements seront l’occasion de faire une présentation technique et détaillée du PSAC, ainsi que des outils conçus pour la mise en œuvre et le suivi-évaluation des activités.
L’objectif des ateliers de lancement du PSAC est d’officialiser la mise en vigueur du Projet et de mettre en exergue l’engagement de la Banque Mondiale et du Gouvernement, ainsi que des autres partenaires (AFD), dans les efforts de développement du secteur agricole ivoirien.
De façon spécifique, il s’agira de présenter publiquement le projet aux populations bénéficiaires, aux autorités administratives et politiques, aux institutions partenaires, aux interprofessions agricoles et aux autres projets pertinents à travers ses activités, ses objectifs, sa stratégie de mise en œuvre et ses résultats attendus afin de permettre une meilleure connaissance des différentes parties prenantes.
Il s’agit également de faciliter la participation et une meilleure appropriation du Projet par les organisations interprofessionnelles des filières retenues et autres partenaires opérationnels, à travers des échanges constructifs sur le contenu du Projet (modalité d’exécution, plan de passation des marchés, modalités de gestion fiduciaire, etc.) pour une meilleure mise en œuvre du Projet; mieux expliquer les interactions techniques et opérationnelles entre le Projet et les agences d’exécution; remobiliser l’ensemble des parties prenantes à la mise en œuvre du PSAC pour leur implication effective.
(AIP)
cmas
Selon une note d’information dudit département ministériel transmise mardi à l’AIP, l’objectif de développement du Projet est d’améliorer l’accès des petits producteurs aux technologies et aux marchés, tout en améliorant la gouvernance des filières sélectionnées et appuyées dans le cadre du Projet.
Le projet cible ainsi cinq filières prioritaires qui ont été identifiées comme sources potentielles de croissance de l’économie nationale en général et du PIB agricole en particulier, à savoir le cacao, l’hévéa, le palmier à huile, le coton et l’anacarde.
Le PSAC s’inscrit dans le cadre global du programme d’amélioration de la productivité et de la compétitivité agricole en Afrique de l’Ouest (WAAPP). Il se veut un programme novateur tant dans l’approche méthodologique que dans ses principes d’intervention.
L’objectif ultime du PSAC est de contribuer à lutter contre la pauvreté en milieu rural, à travers une augmentation des revenus des producteurs bénéficiaires, et d’améliorer le fonctionnement des chaînes d’approvisionnement et de l’amélioration de la valeur ajoutée créée.
Les activités du PSAC se dérouleront dans les Régions du Gbêkê, du Poro, du Tchologo, de la Nawa , du Sud-Comoé et de la Mé. Pour la noix de cajou particulièrement, l’accent sera mis sur les régions du Hambol et du Gontougo.
Le PSAC concerne les petits planteurs de ces zones sélectionnées et sera réalisé sous la tutelle du ministère de l’Agriculture et en partenariat avec les organisations interprofessionnelles des filières, notamment l’APROMAC (hévéa) l’AIPH (palmier à huile), l’Intercoton (coton), la FPC-CI (anacarde) ), le Conseil du Coton et de l’Anacarde (CCA), le Conseil du Café-Cacao (CCC), et d’autres acteurs tels que l’AGEROUTE et les opérateurs privés.
A la suite de la mise en vigueur du Projet déclarée le 5 mai dernier, il convient d’amorcer le démarrage officiel des activités de ce Projet, à travers un atelier national de lancement et des ateliers éclatés dans les zones de concentration des activités du Projet. Ces évènements seront l’occasion de faire une présentation technique et détaillée du PSAC, ainsi que des outils conçus pour la mise en œuvre et le suivi-évaluation des activités.
L’objectif des ateliers de lancement du PSAC est d’officialiser la mise en vigueur du Projet et de mettre en exergue l’engagement de la Banque Mondiale et du Gouvernement, ainsi que des autres partenaires (AFD), dans les efforts de développement du secteur agricole ivoirien.
De façon spécifique, il s’agira de présenter publiquement le projet aux populations bénéficiaires, aux autorités administratives et politiques, aux institutions partenaires, aux interprofessions agricoles et aux autres projets pertinents à travers ses activités, ses objectifs, sa stratégie de mise en œuvre et ses résultats attendus afin de permettre une meilleure connaissance des différentes parties prenantes.
Il s’agit également de faciliter la participation et une meilleure appropriation du Projet par les organisations interprofessionnelles des filières retenues et autres partenaires opérationnels, à travers des échanges constructifs sur le contenu du Projet (modalité d’exécution, plan de passation des marchés, modalités de gestion fiduciaire, etc.) pour une meilleure mise en œuvre du Projet; mieux expliquer les interactions techniques et opérationnelles entre le Projet et les agences d’exécution; remobiliser l’ensemble des parties prenantes à la mise en œuvre du PSAC pour leur implication effective.
(AIP)
cmas
