Loviguié (Côte d'Ivoire) -Le Président ivoirien Alassane Ouattara dont "l'appareil est rodé" ne "tombera pas", malgré quelques "attaques armées" sporadiques constatées dans certaines régions du pays, a rassuré, jeudi, le Président de l'Assemblée nationale, Guillaume Kigbafori Soro, lors d'un meeting à Loviguié, sous préfecture située dans le département d'Agboville à environ 80 km au Nord-Est d'Abidjan.
"Alassane Ouattara ne tombera pas (...) S'il devrait tomber c'était au début de son arrivée au pouvoir. Maintenant l'appareil est rodé", a déclaré M. Soro en relevant que "ce matin à 5H30 (Gmt et heure locale) il y a eu encore une attaque dans le village de Fetai, dans la sous préfecture de Grabo au Sud-Ouest du pays".
Des hommes armés, en provenance du Liberia voisin, auraient traversé le fleuve Cavally, pour se retrouver dans le village ivoirien de Fetai dont ils ont pillé et incendié plusieurs habitations.
‘'La prompte et immédiate réaction de l'armée a repoussé les assaillants'' a indiqué Guillaume Soro, le président de l'Assemblée nationale, en visite dans la région de l'Agnéby Tiassa d'où il a appris la nouvelle.
Les Forces républicaines de Côte d'Ivoire (FRCI) ont ‘'renforcé'' leur dispositif pour des opérations de ratissage dans la zone où aucun bilan de cette attaque n'est encore disponible.
"Le régime du Président Alassane Ouattara n'a aucun intérêt pour qu'Agboville soit une zone rouge", a poursuivi Guillaume Kigbafori Soro en réponse à la doléance des populations de Loviguié qui souhaitent le retrait des Forces républicaines de Côte d'Ivoire (FRCI) de leur localité.
Pour justifier cette présence des FRCI dans le département d'Agboville, le président de l'Assemblée nationale a rappelé qu'en 14 mois, il y a eu sept attaques dans la région de l'Agnéby-Tiassa qui ont produit une dizaine de morts.
"Je ne veux plus de violence dans ce village. Laissez la politique et pensez au développement de Loviguié", a-t-il lancé en promettant de donner les moyens aux chefs traditionnels pour qu'ils aillent dans les différents villages du département pour sensibiliser les jeunes à "laisser tomber la violence".
"Aujourd'hui, en cette journée internationale de la famille, nous devrons être une famille ici (...)Si vous faites confiance au Président Alassane Ouattara, il va transporter le développement jusqu'à dans ce village", a conclu M. Soro en s'adressant aux populations nostalgiques à l'ancien régime du Front populaire ivoirien (FPI).
Après les localités des départements de Sikensi, Tiassalé et Taabo qu'il a visitées de samedi à Mardi, M. Soro est arrivé, mercredi, dans le département d'Agboville pour la suite d'une tournée politique qui s'achèvera, samedi, par un meeting dans la comme d'Agboville, bastion de l'ancien Chef de l'Etat, Laurent Gbagbo.
Le président de l'Assemblée nationale est attendu jeudi après-midi à Azaguié, le village de son prédécesseur à l'hémicycle, Mamadou Koulibaly, pour son deuxième meeting de la journée.
"Alassane Ouattara ne tombera pas (...) S'il devrait tomber c'était au début de son arrivée au pouvoir. Maintenant l'appareil est rodé", a déclaré M. Soro en relevant que "ce matin à 5H30 (Gmt et heure locale) il y a eu encore une attaque dans le village de Fetai, dans la sous préfecture de Grabo au Sud-Ouest du pays".
Des hommes armés, en provenance du Liberia voisin, auraient traversé le fleuve Cavally, pour se retrouver dans le village ivoirien de Fetai dont ils ont pillé et incendié plusieurs habitations.
‘'La prompte et immédiate réaction de l'armée a repoussé les assaillants'' a indiqué Guillaume Soro, le président de l'Assemblée nationale, en visite dans la région de l'Agnéby Tiassa d'où il a appris la nouvelle.
Les Forces républicaines de Côte d'Ivoire (FRCI) ont ‘'renforcé'' leur dispositif pour des opérations de ratissage dans la zone où aucun bilan de cette attaque n'est encore disponible.
"Le régime du Président Alassane Ouattara n'a aucun intérêt pour qu'Agboville soit une zone rouge", a poursuivi Guillaume Kigbafori Soro en réponse à la doléance des populations de Loviguié qui souhaitent le retrait des Forces républicaines de Côte d'Ivoire (FRCI) de leur localité.
Pour justifier cette présence des FRCI dans le département d'Agboville, le président de l'Assemblée nationale a rappelé qu'en 14 mois, il y a eu sept attaques dans la région de l'Agnéby-Tiassa qui ont produit une dizaine de morts.
"Je ne veux plus de violence dans ce village. Laissez la politique et pensez au développement de Loviguié", a-t-il lancé en promettant de donner les moyens aux chefs traditionnels pour qu'ils aillent dans les différents villages du département pour sensibiliser les jeunes à "laisser tomber la violence".
"Aujourd'hui, en cette journée internationale de la famille, nous devrons être une famille ici (...)Si vous faites confiance au Président Alassane Ouattara, il va transporter le développement jusqu'à dans ce village", a conclu M. Soro en s'adressant aux populations nostalgiques à l'ancien régime du Front populaire ivoirien (FPI).
Après les localités des départements de Sikensi, Tiassalé et Taabo qu'il a visitées de samedi à Mardi, M. Soro est arrivé, mercredi, dans le département d'Agboville pour la suite d'une tournée politique qui s'achèvera, samedi, par un meeting dans la comme d'Agboville, bastion de l'ancien Chef de l'Etat, Laurent Gbagbo.
Le président de l'Assemblée nationale est attendu jeudi après-midi à Azaguié, le village de son prédécesseur à l'hémicycle, Mamadou Koulibaly, pour son deuxième meeting de la journée.