Les pays membres de la région côtière de l’Afrique de l’Ouest et membres d’Interpol et le Cameroun se réunissent à Abidjan du 15 au 16 2014, dans les locaux de la direction d’Interpol à Cocody. Pour réfléchir sur la criminalité liée à la pêche en région côtière de l’Afrique de l’Ouest.
Durant ces deux jours, des experts vont réfléchir sur les informations utiles pour la lutte contre la pêche illicite non déclarée et réglementée(INN). Et ce, à travers des consultations, des interviews et des échanges. Ces consultations pourraient permettre à terme à chaque pays d’identifier ses lacunes afin d’améliorer la gestion des pêches.
Le ministre Adjoumani, en tant que ministre en charge de la Pêche en Côte d’Ivoire, a procédé donc à l’ouverture de cet atelier.
D’entrée de jeu, le premier responsable des ressources animales et halieutiques, a salué les initiateurs de cet atelier qui, selon lui, renferme une préoccupation majeure à laquelle son département œuvre pour trouver des réponses durables pour préserver les richesses halieutiques du pillage irresponsable des pécheurs clandestins. Selon lui, la pêche illicite non déclarée fait partie des fléaux les plus répandus en Afrique de l’Ouest dont les effets négatifs en termes de pertes subies perturbent l’approvisionnement des marchés et réduit considérablement les revenus des pêcheurs. Il a mentionné par ailleurs, la perceptibilité du phénomène en Côte d’Ivoire qui se manifeste par le pillage des stocks de poissons par les navires pirates dont les résultats sont visibles avec la mise en chômage de milliers d’opérateurs et travailleurs dans la filière.
C’est pourquoi, le ministre Adjoumani a réitéré encore une fois la nécessité de la mise en commun des efforts en vue d’endiguer ce mal. Il a plaidé pour que des solutions urgentes soient trouvées. Car selon une étude récente du Comité des pêches de l’Atlantique Centre Est (Copace), 60% des stocks de poissons de la sous-région sont surexploités du fait de la Pêche illicite non déclarée et non réglementée (Inn). «Pour ce faire, la Côte d’Ivoire a entrepris de doter la marine nationale de nouveaux équipements pour une plus grande efficacité dans la surveillance des eaux. Mais le pays, conscient de ne pouvoir lutter seul avec succès contre la pêche INN sans le concours des autres Etats, souhaite le renforcement de la coopération internationale», a plaidé le ministre. Il faut signaler la présence distinguée de certains ministres chargés de la pêche des pays de la sous-région.
BS
Durant ces deux jours, des experts vont réfléchir sur les informations utiles pour la lutte contre la pêche illicite non déclarée et réglementée(INN). Et ce, à travers des consultations, des interviews et des échanges. Ces consultations pourraient permettre à terme à chaque pays d’identifier ses lacunes afin d’améliorer la gestion des pêches.
Le ministre Adjoumani, en tant que ministre en charge de la Pêche en Côte d’Ivoire, a procédé donc à l’ouverture de cet atelier.
D’entrée de jeu, le premier responsable des ressources animales et halieutiques, a salué les initiateurs de cet atelier qui, selon lui, renferme une préoccupation majeure à laquelle son département œuvre pour trouver des réponses durables pour préserver les richesses halieutiques du pillage irresponsable des pécheurs clandestins. Selon lui, la pêche illicite non déclarée fait partie des fléaux les plus répandus en Afrique de l’Ouest dont les effets négatifs en termes de pertes subies perturbent l’approvisionnement des marchés et réduit considérablement les revenus des pêcheurs. Il a mentionné par ailleurs, la perceptibilité du phénomène en Côte d’Ivoire qui se manifeste par le pillage des stocks de poissons par les navires pirates dont les résultats sont visibles avec la mise en chômage de milliers d’opérateurs et travailleurs dans la filière.
C’est pourquoi, le ministre Adjoumani a réitéré encore une fois la nécessité de la mise en commun des efforts en vue d’endiguer ce mal. Il a plaidé pour que des solutions urgentes soient trouvées. Car selon une étude récente du Comité des pêches de l’Atlantique Centre Est (Copace), 60% des stocks de poissons de la sous-région sont surexploités du fait de la Pêche illicite non déclarée et non réglementée (Inn). «Pour ce faire, la Côte d’Ivoire a entrepris de doter la marine nationale de nouveaux équipements pour une plus grande efficacité dans la surveillance des eaux. Mais le pays, conscient de ne pouvoir lutter seul avec succès contre la pêche INN sans le concours des autres Etats, souhaite le renforcement de la coopération internationale», a plaidé le ministre. Il faut signaler la présence distinguée de certains ministres chargés de la pêche des pays de la sous-région.
BS