Des chargeurs, transporteurs et conducteurs des pays ouest africains réuni en conseil des syndicats de chargeurs , transporteurs et conducteurs des pays de l’Afrique de l’ouest ( C.S.C.T.C -AO) dont a leur tête le président Cissé Ibrahima accompagné du directeur général adjoint de la société de transit Sococib et d’une forte délégation ont sillonné du 29 avril au 14 mai 2014 les grandes villes des pays de l’hinterland que sont le Burkina Faso , le Mali et le Niger en vue de sensibiliser les transporteurs , les chargeurs et les conducteurs de ces pays à travers les syndicats nationaux à conjuguer ensemble leurs forces pour défendre la corporation. Notamment sur la destination Cote d’Ivoire , des ports ivoiriens et sur l’espace de ces pays pour les conducteurs et transporteurs ivoiriens. Suivi de l’installation des coordinations régionales.
Dont les objectifs visés sont entre autres lutter contre le racket, les chantages et intimidations vécu par les conducteurs sur les frontières et les routes ivoiriennes, contribuer à la réalisation et l’application de la libre circulation des personnes et des biens dans la sous région, contribuer à la promotion de la destination des ports d’Abidjan et de San Pedro et sur l’ensemble des pays de l’hinterland, intensifier les relations avec les grands chargeurs et exportateurs des pays de l’hinterlands afin de les intéresser à la destination de la Côte d ‘Ivoire, utiliser les voies légales pour mettre en conférences « nos partenaires étrangers sur les aspects sécuritaires des routes ivoiriennes ».
Et les 12 et 13 mai derniers ils ont procédé à l’installation des sections régionales du CSCTC-AO des villes de Sikasso 3e ville du Mali qui regorge de nombreux transporteurs qui fréquentent la Cote d ‘Ivoire située à 100 kilomètres du nord de la Côte d ‘Ivoire, du coordonnateur régional de la ville frontalière Niangoloko du Burkina Faso située a 50 kilomètres du Nord de la Côte d’Ivoire et des coordonateurs régionaux des villes de Pogo et Ouangolodougou en Côte d’Ivoire porte d’entrée et de sortie pour des pays de l’hinterland.
Les portes paroles des transporteurs, conducteurs et chargeurs de Sikasso Souhadou Sanogo et Solo Adama de Niangoloko ont trouvé salutaire la démarche de leurs confrères ivoiriens avant de dénoncer le manque de suivi et d’assistanat dont ils ont été l’objet par la disparition de camions et leurs contenu sans qu’il n y ait de trace. Tel que la disparition d’un camion de coton fibre en provenance du Burkina Faso et escorté par l’office ivoirien de chargeurs (OIC) « Ce qui a emmené de nombreux transporteurs à s’orienter vers les autres ports de la sous région moins nantis que ceux de la Côte d’Ivoire ».
Je vous exhorte à faire bon usage des documents légaux à votre possession car c’est par vous que tout rentre et c’est par vous que tout sort … » a conseillé le président du CSCTC-AO à Badini Karim coordonateur régional de Ouangolo et son équipe.
Benogo TOURE
Correspondant
Envoyé Spécial à Sikasso (Mali) et Niangoloko (Burkina Faso)
Dont les objectifs visés sont entre autres lutter contre le racket, les chantages et intimidations vécu par les conducteurs sur les frontières et les routes ivoiriennes, contribuer à la réalisation et l’application de la libre circulation des personnes et des biens dans la sous région, contribuer à la promotion de la destination des ports d’Abidjan et de San Pedro et sur l’ensemble des pays de l’hinterland, intensifier les relations avec les grands chargeurs et exportateurs des pays de l’hinterlands afin de les intéresser à la destination de la Côte d ‘Ivoire, utiliser les voies légales pour mettre en conférences « nos partenaires étrangers sur les aspects sécuritaires des routes ivoiriennes ».
Et les 12 et 13 mai derniers ils ont procédé à l’installation des sections régionales du CSCTC-AO des villes de Sikasso 3e ville du Mali qui regorge de nombreux transporteurs qui fréquentent la Cote d ‘Ivoire située à 100 kilomètres du nord de la Côte d ‘Ivoire, du coordonnateur régional de la ville frontalière Niangoloko du Burkina Faso située a 50 kilomètres du Nord de la Côte d’Ivoire et des coordonateurs régionaux des villes de Pogo et Ouangolodougou en Côte d’Ivoire porte d’entrée et de sortie pour des pays de l’hinterland.
Les portes paroles des transporteurs, conducteurs et chargeurs de Sikasso Souhadou Sanogo et Solo Adama de Niangoloko ont trouvé salutaire la démarche de leurs confrères ivoiriens avant de dénoncer le manque de suivi et d’assistanat dont ils ont été l’objet par la disparition de camions et leurs contenu sans qu’il n y ait de trace. Tel que la disparition d’un camion de coton fibre en provenance du Burkina Faso et escorté par l’office ivoirien de chargeurs (OIC) « Ce qui a emmené de nombreux transporteurs à s’orienter vers les autres ports de la sous région moins nantis que ceux de la Côte d’Ivoire ».
Je vous exhorte à faire bon usage des documents légaux à votre possession car c’est par vous que tout rentre et c’est par vous que tout sort … » a conseillé le président du CSCTC-AO à Badini Karim coordonateur régional de Ouangolo et son équipe.
Benogo TOURE
Correspondant
Envoyé Spécial à Sikasso (Mali) et Niangoloko (Burkina Faso)