Au terme des deux jours d’échanges, les 19 et 20 Mai à l’Ivoire Golf Club, le forum consacré à l’Entrepreneuriat féminin a reçu le soutien de la Ministre de la Solidarité, de la famille, de la femme et de l’Enfant. En effet, durant ces deux jours, les femmes ont échangé à travers quatre panels, autour des thèmes aussi importants que significatifs. Notamment l’importance et les avantages du secteur formel, le rôle de la femme entrepreneure dans le développement économique et social, la vie sociale et familiale de la femme entrepreneure et l’importance du réseautage dans l’entreprenariat.
Venus soutenir les femmes entrepreneures, madame la ministre de la Solidarité, de la Famille, de la Femme et de l’Enfant, Anne Désirée Ouloto, a demandé aux femmes de continuer à être des exemples pour les plus jeunes. « Vous avez le soutien du gouvernement qui ne ménage aucun effort pour la promotion de la femme en générale. Les femmes qui ont décidé de se lancer dans l’entreprenariat, un domaine extrêmement difficile, méritent encore plus qu’on leur apportent tous nos soutien.» A soutenu Madame la ministre.
Les échanges ont permis d’aboutir à des résolutions dont la pertinence corrobore la qualité des panelistes et de l’assistance. En effet, les femmes désireuses de se lancer dans l’entrepreneuriat sont venues apprendre auprès de celles qui y font figure de doyennes. Certaines, encore accrochées à l’informel ont appris l’intérêt à être dans le formel. En sommes, comme l’a souligné Madame TOURE Massogbè Diabaté, initiatrice de ces journées, par ailleurs Présidente de la Commission Développement de l’Entreprenariat Féminin de la CGECI, la place de la femme entrepreneure dans le développement économique de la Côte d’Ivoire est indéniable et mérite toute l’attention. Une attention traduite dans les recommandations issues de ces journées. L’on retient que le secteur privé conduit par la CGECI doit approfondir l’étude sur l’entrepreneuriat féminin dans le sens de la prise en compte du secteur informel de sorte à avoir une vision plus réaliste de son état ; à l’endroit du gouvernement ivoirien, améliorer le cadre règlementaire et l’accès des femmes aux financements tout en assouplissant les lois sur les impôts des sociétés nouvellement créées. A l’endroit des femmes, il leur est recommander de mettre l’accent sur la formation en s’appropriant les renforcements de capacités par la participation aux ateliers et séminaires que la CGECI, elle-même organise. Mais aussi à bien d’autres. Le volet fiscale devra faire partie désormais des programmes pris en compte dans les formations puisse que cela constitue le cauchemar de beaucoup d’entre vous.
Venus soutenir les femmes entrepreneures, madame la ministre de la Solidarité, de la Famille, de la Femme et de l’Enfant, Anne Désirée Ouloto, a demandé aux femmes de continuer à être des exemples pour les plus jeunes. « Vous avez le soutien du gouvernement qui ne ménage aucun effort pour la promotion de la femme en générale. Les femmes qui ont décidé de se lancer dans l’entreprenariat, un domaine extrêmement difficile, méritent encore plus qu’on leur apportent tous nos soutien.» A soutenu Madame la ministre.
Les échanges ont permis d’aboutir à des résolutions dont la pertinence corrobore la qualité des panelistes et de l’assistance. En effet, les femmes désireuses de se lancer dans l’entrepreneuriat sont venues apprendre auprès de celles qui y font figure de doyennes. Certaines, encore accrochées à l’informel ont appris l’intérêt à être dans le formel. En sommes, comme l’a souligné Madame TOURE Massogbè Diabaté, initiatrice de ces journées, par ailleurs Présidente de la Commission Développement de l’Entreprenariat Féminin de la CGECI, la place de la femme entrepreneure dans le développement économique de la Côte d’Ivoire est indéniable et mérite toute l’attention. Une attention traduite dans les recommandations issues de ces journées. L’on retient que le secteur privé conduit par la CGECI doit approfondir l’étude sur l’entrepreneuriat féminin dans le sens de la prise en compte du secteur informel de sorte à avoir une vision plus réaliste de son état ; à l’endroit du gouvernement ivoirien, améliorer le cadre règlementaire et l’accès des femmes aux financements tout en assouplissant les lois sur les impôts des sociétés nouvellement créées. A l’endroit des femmes, il leur est recommander de mettre l’accent sur la formation en s’appropriant les renforcements de capacités par la participation aux ateliers et séminaires que la CGECI, elle-même organise. Mais aussi à bien d’autres. Le volet fiscale devra faire partie désormais des programmes pris en compte dans les formations puisse que cela constitue le cauchemar de beaucoup d’entre vous.