Les guides religieux et leaders communautaires se sont engagés vendredi 16 mai à Abidjan dans une déclaration signée, à lutter contre les mariages précoces et les mutilations génitales féminines.
Le ministère de la Solidarité, de la Famille, de la Femme et de l’Enfant, à travers sa direction de la Promotion du genre, en collaboration avec l’UNFPA a organisé des ateliers de formations à l’intention des guides religieux et des leaders communautaires, qui selon Kaba Yaya Fofana jouissent d’une grande audience auprès des populations, afin de solliciter leur implication dans la lutte contre ce fléau.
La ministre de la Solidarité de la Famille, de la Femme et de l’Enfant Anne Désiré Oulotto a indiqué que « chaque fois qu’une fille est victime de mariage précoce, c’est l’échec et l’irresponsabilité des parents qui sont exprimé ». Elle a dit croire qu’avec l’implication des guides religieux et leaders communautaires, nul doute que la lutte contre ce fléau soit un succès.
Après avoir félicité le ministère de la Solidarité, de la Famille, de la Femme et de l’enfant pour les efforts consentis dans la lutte contre ce fléau, monsieur Kaboré représentant la Représentante résident de l’UNFPA madame Maïga Konaté, a invité toutes les parties prenantes à poursuivre leurs action en vue de mettre fin aux mariages précoces et aux mutilations génitales féminines. Car dira-t-il, « le mariage précoce empêche la jeune fille de vivre son adolescence et limite ses chances d’insertion socioprofessionnelle ».
Les guides religieux et leaders communautaires ont recommandé au Gouvernement entre autres la vulgarisation de la loi interdisant le mariage précoce en Côte d’Ivoire, de faire appliquer la loi réprimant les unions précoces.
Les villes de Bondoukou et Man ont été choisies pour abriter le lancement prochain de la campagne de sensibilisation et de lutte contre les mariages précoces et les mutilations génitales féminises, a annoncé la ministre de la Solidarité, de la Famille, de la Femme et de l’Enfant, Anne Désirée Oulotto.
Le ministère de la Solidarité, de la Famille, de la Femme et de l’Enfant, à travers sa direction de la Promotion du genre, en collaboration avec l’UNFPA a organisé des ateliers de formations à l’intention des guides religieux et des leaders communautaires, qui selon Kaba Yaya Fofana jouissent d’une grande audience auprès des populations, afin de solliciter leur implication dans la lutte contre ce fléau.
La ministre de la Solidarité de la Famille, de la Femme et de l’Enfant Anne Désiré Oulotto a indiqué que « chaque fois qu’une fille est victime de mariage précoce, c’est l’échec et l’irresponsabilité des parents qui sont exprimé ». Elle a dit croire qu’avec l’implication des guides religieux et leaders communautaires, nul doute que la lutte contre ce fléau soit un succès.
Après avoir félicité le ministère de la Solidarité, de la Famille, de la Femme et de l’enfant pour les efforts consentis dans la lutte contre ce fléau, monsieur Kaboré représentant la Représentante résident de l’UNFPA madame Maïga Konaté, a invité toutes les parties prenantes à poursuivre leurs action en vue de mettre fin aux mariages précoces et aux mutilations génitales féminines. Car dira-t-il, « le mariage précoce empêche la jeune fille de vivre son adolescence et limite ses chances d’insertion socioprofessionnelle ».
Les guides religieux et leaders communautaires ont recommandé au Gouvernement entre autres la vulgarisation de la loi interdisant le mariage précoce en Côte d’Ivoire, de faire appliquer la loi réprimant les unions précoces.
Les villes de Bondoukou et Man ont été choisies pour abriter le lancement prochain de la campagne de sensibilisation et de lutte contre les mariages précoces et les mutilations génitales féminises, a annoncé la ministre de la Solidarité, de la Famille, de la Femme et de l’Enfant, Anne Désirée Oulotto.