Devenue une priorité dans le programme du gouvernement, la problématique du logement en Côte d’Ivoire était, hier, au centre de la 33ème assemblée générale annuelle de Shelter-Afrique.
Réduction des procédures, coûts et délais ; nouveau code foncier, etc. Malgré tous ces efforts, la situation du logement en Côte d’Ivoire demeure préoccupante. C’est le tableau dépeint, mardi, à Cocody-Riviera Golf, par le Premier ministre. Invité pour l’ouverture de la 33ème assemblée générale annuelle de Shelter-Afrique, Daniel Kablan Duncan a parié sur les nouvelles méthodes de construction. Ce, en tant que solution durable pour améliorer le déficit de logement, en Afrique en général, et en Côte d’Ivoire, en particulier. C’est autour de cette thématique que vont échanger durant trois jours, des experts venus de différents pays africains et des Etats-Unis. L’assemblée générale qui sera couplée d’un symposium devra, selon le locataire de la Primature, déboucher sur des propositions concrètes et profitables pour le vieux continent. Il est indéniable, à entendre M. Duncan, que le logement constitue aujourd’hui une condition sine qua non pour le développement. Afin de combler le besoin de 400.000 toits dont ont besoin les Ivoiriens, il faudra donc compter avec Shelter-Afrique, a fait savoir le chef du gouvernement. L’Institution régionale de financement de l’habitat créée par les gouvernements africains et la Banque africaine de développement (Bad), a accueilli la Côte d’Ivoire dans ses rangs en 2012. Devenu son 44ème membre, le pays a aussi eu cette chance de bénéficier du retour de la Bad dans sa capitale. Ce qui a fait dire à M. Alassane Bâ, directeur de Shelter-Afrique, que cette rencontre sera très profitable pour la population ivoirienne.
En plus, c’est l’occasion de rassembler les acteurs ainsi que les décideurs financiers dans le domaine du logement, ajoutera Mamadou Sanogo, ministre de la Construction, du logement, de l’assainissement et l’urbanisme. A coup sûr, s’est-il réjoui, des solutions techniques africaines seront proposées lors des échanges. Et Mamadou Sanogo à la fois ouvert et plein d’assurance : « C’est un grand espoir que le gouvernement accorde à Shelter-Afrique (…) Les défits sont importants mais surmontables».
Raphaël Tanoh
Réduction des procédures, coûts et délais ; nouveau code foncier, etc. Malgré tous ces efforts, la situation du logement en Côte d’Ivoire demeure préoccupante. C’est le tableau dépeint, mardi, à Cocody-Riviera Golf, par le Premier ministre. Invité pour l’ouverture de la 33ème assemblée générale annuelle de Shelter-Afrique, Daniel Kablan Duncan a parié sur les nouvelles méthodes de construction. Ce, en tant que solution durable pour améliorer le déficit de logement, en Afrique en général, et en Côte d’Ivoire, en particulier. C’est autour de cette thématique que vont échanger durant trois jours, des experts venus de différents pays africains et des Etats-Unis. L’assemblée générale qui sera couplée d’un symposium devra, selon le locataire de la Primature, déboucher sur des propositions concrètes et profitables pour le vieux continent. Il est indéniable, à entendre M. Duncan, que le logement constitue aujourd’hui une condition sine qua non pour le développement. Afin de combler le besoin de 400.000 toits dont ont besoin les Ivoiriens, il faudra donc compter avec Shelter-Afrique, a fait savoir le chef du gouvernement. L’Institution régionale de financement de l’habitat créée par les gouvernements africains et la Banque africaine de développement (Bad), a accueilli la Côte d’Ivoire dans ses rangs en 2012. Devenu son 44ème membre, le pays a aussi eu cette chance de bénéficier du retour de la Bad dans sa capitale. Ce qui a fait dire à M. Alassane Bâ, directeur de Shelter-Afrique, que cette rencontre sera très profitable pour la population ivoirienne.
En plus, c’est l’occasion de rassembler les acteurs ainsi que les décideurs financiers dans le domaine du logement, ajoutera Mamadou Sanogo, ministre de la Construction, du logement, de l’assainissement et l’urbanisme. A coup sûr, s’est-il réjoui, des solutions techniques africaines seront proposées lors des échanges. Et Mamadou Sanogo à la fois ouvert et plein d’assurance : « C’est un grand espoir que le gouvernement accorde à Shelter-Afrique (…) Les défits sont importants mais surmontables».
Raphaël Tanoh