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Politique Publié le mardi 10 juin 2014 | APA

Arrivée à Yaoundé de Guillaume Soro, président de l’Assemblée nationale de Côte d’Ivoire

© APA Par Atapointe
Christine Lagarde, DG du FMI en visite à l`assemblee Nationale ivoirienne
Lundi 7 janvier 2013. Assemblée nationale au Plateau. Le président Soro Guillaume et les députés de l`hémicycle ont reçu la visite de la directrice générale du FMI Christine Lagarde
Le président de l’Assemblée nationale de Côte d’Ivoire, Guillaume Soro, est arrivé mardi en début d’après-midi à Yaoundé, la capitale camerounaise, pour une visite de travail de 5 jours, a constaté APA sur place.

Il a été accueilli au bas de la passerelle par son homologue local, Cavaye Yeguie Djibril, avec qui il est prévu un tête à tête quelques heures plus tard avant une visite de courtoisie au président du Sénat, Marcel Niat Njifend.

Selon l'agenda rendu public, il prendra la parole le lendemain devant l'Assemblée nationale à la faveur de l'ouverture de la deuxième session ordinaire pour l'année avant de se rendre au Sénat, également en début de session ordinaire.

La visite du non moins ex-Premier ministre ivoirien intervient au moment où on assiste à un réchauffement certain des relations entre les deux pays marquée notamment, fin avril dernier à Yaoundé, de la signature d'un accord-cadre de coopération militaire et technique.

Dans le même temps, la ministre ivoirienne de la Communication, Affoussiata Bamba-Lamine, qui séjournait au Cameroun en compagnie de son collègue de la Défense, Paul Koffi Koffi, avait indiqué être venue «matérialiser les différents accords bilatéraux dans le domaine de la communication».

Une vois a toutefois douché l'enthousiasme de la visite au Cameroun de Guillaume Soro, celle du Front social démocratique (SDF, premier parti de l'opposition), qui le week-end dernier a condamné «la justice des vainqueurs qui s'acharne contre un seul camp des protagonistes du conflit post électoral en Côte d'Ivoire», pratiquée selon lui par le régime d'Alassane Ouattara contre des dignitaires du Front populaire ivoirien (FPI) de son successeur, Laurent Gbagbo.

Dans une déclaration rendue publique samedi dernier en effet, à l'issue d'une session de con comité exécutif national (NEC), cette formation estime que la réconciliation les filles et fils de la Côte-d'Ivoire passe par la libération des pro-Gbagbo.

Pour le SDF, «toute continuation de la crise en Côte d'Ivoire satisfait des intérêts étrangers tapis dans l'ombre, et qui tirent les ficelles au détriment des Ivoiriens».
FCEB/od/APA
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