ABIDJAN - La contrefaçon de médicaments fait perdre à la Côte d'Ivoire 30 milliards de FCFA (environ 50 millions d'euros), a-t-on appris mardi auprès du ministère ivoirien en charge de la Santé.
Selon des responsables sanitaires, la contrefaçon de produits pharmaceutiques est un fléau qui doit être combattu avec énergie en raison des graves dangers qu'induit l'utilisation de ces médicaments.
Pour la ministre ivoirienne de la Santé Raymonde Goudou Coffie, le gouvernement est engagé sans équivoque à endiguer le phénomène.
La ministre a dénoncé l'existence d'un réseau de commercialisation illicite des médicaments dans le pays.
"Seules les pharmaciens sont habilités à commercialisés les médicaments", a-t-elle souligné, insistant sur la lutte contre la vente illicite de médicaments de rue.
De l'avis des experts en santé, les dégâts vont au-delà des pertes économiques enregistrées par l'Etat du fait du trafic.
A en croire ceux-ci, les contrefaçons de médicaments représentent un risque pour la santé publique en raison de leur contenu qui peut être dangereux.
Leur utilisation peut aboutir à des échecs thérapeutiques et contribuer à une augmentation des résistances.
La contrefaçon des médicaments constitue une véritable préoccupation pour les autorités sanitaires qui ont décidé de juguler ce fléau qui prend de l'ampleur dans le pays.
Selon l'Organisation mondiale de la santé (OMS), près de 100. 000 décès par an sont liés au commerce de médicaments contrefaits en Afrique.
En Côte d'Ivoire, le gouvernement a décidé de prendre le taureau par les cornes en amorçant une lutte énergique contre ce phénomène.
Selon des responsables sanitaires, la contrefaçon de produits pharmaceutiques est un fléau qui doit être combattu avec énergie en raison des graves dangers qu'induit l'utilisation de ces médicaments.
Pour la ministre ivoirienne de la Santé Raymonde Goudou Coffie, le gouvernement est engagé sans équivoque à endiguer le phénomène.
La ministre a dénoncé l'existence d'un réseau de commercialisation illicite des médicaments dans le pays.
"Seules les pharmaciens sont habilités à commercialisés les médicaments", a-t-elle souligné, insistant sur la lutte contre la vente illicite de médicaments de rue.
De l'avis des experts en santé, les dégâts vont au-delà des pertes économiques enregistrées par l'Etat du fait du trafic.
A en croire ceux-ci, les contrefaçons de médicaments représentent un risque pour la santé publique en raison de leur contenu qui peut être dangereux.
Leur utilisation peut aboutir à des échecs thérapeutiques et contribuer à une augmentation des résistances.
La contrefaçon des médicaments constitue une véritable préoccupation pour les autorités sanitaires qui ont décidé de juguler ce fléau qui prend de l'ampleur dans le pays.
Selon l'Organisation mondiale de la santé (OMS), près de 100. 000 décès par an sont liés au commerce de médicaments contrefaits en Afrique.
En Côte d'Ivoire, le gouvernement a décidé de prendre le taureau par les cornes en amorçant une lutte énergique contre ce phénomène.