Ce mardi 17 juin 2014, en cours de journée, le Collectif des élèves officiers et sous-officiers non intégrés des écoles forestières, a tenté de manifester devant le Ministère de la Fonction Publique et de la Réforme Administrative en vue de leur intégration comme fonctionnaire.
C’est en petit groupe que les élèves officiers et sous-officiers non intégrés des écoles des Eaux et Forêts se sont donnés rendez-vous devant le Ministère de la Fonction Publique et de la Réforme Administrative au Plateau. Très vite, le Cabinet du Ministre Cissé Bacongo a dépêché des émissaires pour s’enquérir de la situation. Une délégation des élèves officiers et sous-officiers non intégrés de l’école des Eaux et Forêts, est donc invitée à une réunion improvisée avec Mme Adohi Krou Viviane, Directeur de Cabinet du Ministre Bacongo en présence de représentants du Ministère des Eaux et Forêts, invités à prendre part à la rencontre.
Selon l’élève sous-officier Ouattara Zié Lacina, porte-parole du collectif, de 2006 à ce jour, ce sont 987 élèves formés dans les écoles forestières qui sont en attente de leur intégration à la Fonction Publique. Après avoir pris langue avec leurs différents Ministères de tutelles que sont les Ministères de l’Agriculture, de l’Environnement et des Eaux et Forêt, il leur est revenu que leur prise en compte au sein de ces différentes institutions était assujettie à leur intégration à la Fonction Publique. Aussi, par souci d’information ces élèves forestiers ont décidé de s’orienter vers le Ministère de la Fonction Publique qui leur a fait savoir que l’intégration à la Fonction Publique se faisait par voie de concours et qu’au demeurant, d’ici la mi juillet ils seront situés sur le nombre de places disponibles concernant leur corps de métier. « Notre inquiétude réside dans le fait que certains d’entre nous, seront touchés par la limite d’âge et aussi rien ne nous garanti qu’il y aura suffisamment de place pour tous », fait-il savoir. Ce qui les inquiète le plus c’est le fait que le Gouvernement entend intégrer à la Fonction publique 1000 ex combattants en formation dans les écoles forestières. Et toujours selon leur propre information, 3000 places seraient prévues dans le recrutement des élèves forestiers au sein de la Fonction Publique. D’où leur souhait de voir tous leurs camarades être intégrés au même titre que les ex combattants.
En réponse à leurs préoccupations, Mme la Directrice de Cabinet, assistée du Directeur de Cabinet Adjoint et du Directeur Général de la Fonction Publique, leur a signifié que la réouverture des concours d’entrée à la Fonction Publique était déjà un acquis. Dès la mi-juillet, les modalités pratiques sur les postes disponibles pour chaque corps de métier seront connues de l’opinion nationale. Elle a, par ailleurs, a tenu à les rassurer de ce que leurs inquiétudes seront portées au Gouvernement pour le compte de qui le Ministère agit. Pour finir, Mme Adohi a exhorté les manifestants à plus de responsabilité dans la conduite de leurs revendications.
C’est bien instruite, que la délégation du Collectif des élèves officiers et sous-officiers non intégrés des écoles forestières est allée rendre compte à leurs camarades massés à l’entrée du Ministère de la Fonction Publique. Après quelques minutes d’échanges, ils se sont dispersés sans accroc.
C’est en petit groupe que les élèves officiers et sous-officiers non intégrés des écoles des Eaux et Forêts se sont donnés rendez-vous devant le Ministère de la Fonction Publique et de la Réforme Administrative au Plateau. Très vite, le Cabinet du Ministre Cissé Bacongo a dépêché des émissaires pour s’enquérir de la situation. Une délégation des élèves officiers et sous-officiers non intégrés de l’école des Eaux et Forêts, est donc invitée à une réunion improvisée avec Mme Adohi Krou Viviane, Directeur de Cabinet du Ministre Bacongo en présence de représentants du Ministère des Eaux et Forêts, invités à prendre part à la rencontre.
Selon l’élève sous-officier Ouattara Zié Lacina, porte-parole du collectif, de 2006 à ce jour, ce sont 987 élèves formés dans les écoles forestières qui sont en attente de leur intégration à la Fonction Publique. Après avoir pris langue avec leurs différents Ministères de tutelles que sont les Ministères de l’Agriculture, de l’Environnement et des Eaux et Forêt, il leur est revenu que leur prise en compte au sein de ces différentes institutions était assujettie à leur intégration à la Fonction Publique. Aussi, par souci d’information ces élèves forestiers ont décidé de s’orienter vers le Ministère de la Fonction Publique qui leur a fait savoir que l’intégration à la Fonction Publique se faisait par voie de concours et qu’au demeurant, d’ici la mi juillet ils seront situés sur le nombre de places disponibles concernant leur corps de métier. « Notre inquiétude réside dans le fait que certains d’entre nous, seront touchés par la limite d’âge et aussi rien ne nous garanti qu’il y aura suffisamment de place pour tous », fait-il savoir. Ce qui les inquiète le plus c’est le fait que le Gouvernement entend intégrer à la Fonction publique 1000 ex combattants en formation dans les écoles forestières. Et toujours selon leur propre information, 3000 places seraient prévues dans le recrutement des élèves forestiers au sein de la Fonction Publique. D’où leur souhait de voir tous leurs camarades être intégrés au même titre que les ex combattants.
En réponse à leurs préoccupations, Mme la Directrice de Cabinet, assistée du Directeur de Cabinet Adjoint et du Directeur Général de la Fonction Publique, leur a signifié que la réouverture des concours d’entrée à la Fonction Publique était déjà un acquis. Dès la mi-juillet, les modalités pratiques sur les postes disponibles pour chaque corps de métier seront connues de l’opinion nationale. Elle a, par ailleurs, a tenu à les rassurer de ce que leurs inquiétudes seront portées au Gouvernement pour le compte de qui le Ministère agit. Pour finir, Mme Adohi a exhorté les manifestants à plus de responsabilité dans la conduite de leurs revendications.
C’est bien instruite, que la délégation du Collectif des élèves officiers et sous-officiers non intégrés des écoles forestières est allée rendre compte à leurs camarades massés à l’entrée du Ministère de la Fonction Publique. Après quelques minutes d’échanges, ils se sont dispersés sans accroc.