Le projet d’appui au secteur agricole (PSAC) est un projet innovant et structurant
Le ministre de l’agriculture Coulibaly Sangafowa Mamadou a procédé le samedi 20 juin dernier à korhogo au Nord de la Côte d ‘Ivoire au lacement du projet d’appui au secteur agricole (PSAC).Projet qui concerne les régions du Poro, Gbeke, Gontougou, Hambol et du Tchologo au nord et au centre de la Côte d’Ivoire et financer à hauteur de 43 milliards FCFA par la Banque Mondiale et l’agence française du développement a travers le contrat de désendettement et développement (C2D).Dont les résultats suivant sont attendus.
il s’agit de 500 000 bénéficiaires directs et indirects dont 17 % de femmes , 508000 kilomètres de routes et dessertes agricole à réhabiliter et entretenir pour les rendre praticables, transformer 25% de la production d’anacarde, fournir 20 000 bœufs et équipement de traction de traction d’une valeur total de 10 milliards pour les cotonculteurs, 30 000 pièges a mouche tsé-tsé… Le projet d’appui au secteur agricole est un projet innovant et structurant a souligné Sangafowa . L’objectif du PSAC est d’améliorer l’accès des petits producteurs aux technologies et aux marchés tout en améliorant la gouvernance des filières sélectionnées dans le cadre du projet, contribuer à lutter contre la pauvreté en milieu rural à travers une augmentation significative des revenus des producteurs, améliorer le fonctionnement des chaines d’approvisionnement et pourvoir a l’amélioration de la valeur
ajoutée…
« J’invite les braves populations paysannes à s’approprier , ce projet car il contribuera a réaliser leur bonheur en créant pour eux les conditions d’une meilleure productivité et une rémunération a la hauteur de leurs efforts et de leur attente ». Pour le directeur général de l’agence française de développement (AFD) Bruno Leclerc, La France via le contrat de désendettement et de développement (C2D) contribue au financement de ce volet du projet PSAC avec pour but de soutenir la filière coton et de faire la promotion de la transformation de la noix de cajou dans le centre et le nord de la Cote d ‘Ivoire.’ Le président du conseil d’administrations de l’intercoton Tuo Lacina a indiqué que les axes de ce projet sont parfaitement en phases avec « notre vision à savoir la facilitation de l’accès au marché a travers le volet réhabilitation des pistes, l’amélioration durable de la productivité a
travers le conseil agricole amélioré et de la culture et développement institutionnel de la filière à travers la restructuration des organisations professionnelles agricoles (OPA)et l’appui institutionnel à l’intercoton.’ ».
Aussi pour vous démontrer notre engagement a une relance durable, les plans de campagne en ce moment critique de baisse des cours mondiaux sont à plus de 400 000 hectares avec un objectif de 1,2 tonne /hectare voire plus pour la campagne agricole 2014-2014 nous pensons que dans l’incapacité d’influer sur les cours mondiaux ce sera la meilleure façon pour nous de garantir une rentabilité de la culture du coton dans notre pays. Pour le directeur général du conseil coton anacarde Sanogo MaLamine les activités prévues par le PSAC au bénéfices des deux filières coton et anacarde coïncident avec les axes stratégiques de la reforme…c’est pourquoi leur mise en œuvre s’intégrera a celle des activités de la reforme..
Après la phase des allocutions le ministre de l’agriculture, les partenaires financiers et techniques, le corps préfectoral conduit par Daouda Ouattara préfet de région du poro et les élus se rendu sur le site d’un champ école de noix de cajou à Tioronaiaradougou suivi à Korhogo de la remise de matériels de culture attelée au président de la fédération des faitières. Rappelons que l’étape de Korhogo est la troisième etape après celles de Divo et San Pedro.
Benogo TOURE
Correspondant
Le ministre de l’agriculture Coulibaly Sangafowa Mamadou a procédé le samedi 20 juin dernier à korhogo au Nord de la Côte d ‘Ivoire au lacement du projet d’appui au secteur agricole (PSAC).Projet qui concerne les régions du Poro, Gbeke, Gontougou, Hambol et du Tchologo au nord et au centre de la Côte d’Ivoire et financer à hauteur de 43 milliards FCFA par la Banque Mondiale et l’agence française du développement a travers le contrat de désendettement et développement (C2D).Dont les résultats suivant sont attendus.
il s’agit de 500 000 bénéficiaires directs et indirects dont 17 % de femmes , 508000 kilomètres de routes et dessertes agricole à réhabiliter et entretenir pour les rendre praticables, transformer 25% de la production d’anacarde, fournir 20 000 bœufs et équipement de traction de traction d’une valeur total de 10 milliards pour les cotonculteurs, 30 000 pièges a mouche tsé-tsé… Le projet d’appui au secteur agricole est un projet innovant et structurant a souligné Sangafowa . L’objectif du PSAC est d’améliorer l’accès des petits producteurs aux technologies et aux marchés tout en améliorant la gouvernance des filières sélectionnées dans le cadre du projet, contribuer à lutter contre la pauvreté en milieu rural à travers une augmentation significative des revenus des producteurs, améliorer le fonctionnement des chaines d’approvisionnement et pourvoir a l’amélioration de la valeur
ajoutée…
« J’invite les braves populations paysannes à s’approprier , ce projet car il contribuera a réaliser leur bonheur en créant pour eux les conditions d’une meilleure productivité et une rémunération a la hauteur de leurs efforts et de leur attente ». Pour le directeur général de l’agence française de développement (AFD) Bruno Leclerc, La France via le contrat de désendettement et de développement (C2D) contribue au financement de ce volet du projet PSAC avec pour but de soutenir la filière coton et de faire la promotion de la transformation de la noix de cajou dans le centre et le nord de la Cote d ‘Ivoire.’ Le président du conseil d’administrations de l’intercoton Tuo Lacina a indiqué que les axes de ce projet sont parfaitement en phases avec « notre vision à savoir la facilitation de l’accès au marché a travers le volet réhabilitation des pistes, l’amélioration durable de la productivité a
travers le conseil agricole amélioré et de la culture et développement institutionnel de la filière à travers la restructuration des organisations professionnelles agricoles (OPA)et l’appui institutionnel à l’intercoton.’ ».
Aussi pour vous démontrer notre engagement a une relance durable, les plans de campagne en ce moment critique de baisse des cours mondiaux sont à plus de 400 000 hectares avec un objectif de 1,2 tonne /hectare voire plus pour la campagne agricole 2014-2014 nous pensons que dans l’incapacité d’influer sur les cours mondiaux ce sera la meilleure façon pour nous de garantir une rentabilité de la culture du coton dans notre pays. Pour le directeur général du conseil coton anacarde Sanogo MaLamine les activités prévues par le PSAC au bénéfices des deux filières coton et anacarde coïncident avec les axes stratégiques de la reforme…c’est pourquoi leur mise en œuvre s’intégrera a celle des activités de la reforme..
Après la phase des allocutions le ministre de l’agriculture, les partenaires financiers et techniques, le corps préfectoral conduit par Daouda Ouattara préfet de région du poro et les élus se rendu sur le site d’un champ école de noix de cajou à Tioronaiaradougou suivi à Korhogo de la remise de matériels de culture attelée au président de la fédération des faitières. Rappelons que l’étape de Korhogo est la troisième etape après celles de Divo et San Pedro.
Benogo TOURE
Correspondant
