Abidjan (Côte d'Ivoire) - Le parlement ivoirien a adopté, jeudi, en Commission la loi portant statut des rois et chefs traditionnels .
"Cette loi est conforme à la constitution (...)", a déclaré le ministre d'Etat, ministre de l'intérieur et de la sécurité, Hamed Bakayoko qui a défendu le texte devant les députés en sa qualité de Commissaire du gouvernement.
"Les rois et chefs traditionnels vont bénéficier de moyens nécessaires dans l'exercice de leur fonction par le biais d'une Chambre des rois", a ajouté M. Bakayoko.
Le gouvernement ivoirien a adopté en janvier dernier ce projet de loi qui reconnaît désormais un cadre légal affirmé aux rois et chefs traditionnels, qui jouent un rôle important dans la société.
Ce projet prévoit deux organes que sont l’Assemblée générale des rois et chefs traditionnels se réunissant au moins une fois par an et la Chambre nationale des rois et chefs traditionnels.
La Chambre nationale des rois et chefs traditionnels, dotée d’un directoire, bénéficiera, pour son fonctionnement, d’une subvention de l’Etat payée sur le budget national. La loi sur la chefferie traditionnelle en vigueur jusque-là en Côte d'Ivoire date de la période coloniale.
"Cette loi est conforme à la constitution (...)", a déclaré le ministre d'Etat, ministre de l'intérieur et de la sécurité, Hamed Bakayoko qui a défendu le texte devant les députés en sa qualité de Commissaire du gouvernement.
"Les rois et chefs traditionnels vont bénéficier de moyens nécessaires dans l'exercice de leur fonction par le biais d'une Chambre des rois", a ajouté M. Bakayoko.
Le gouvernement ivoirien a adopté en janvier dernier ce projet de loi qui reconnaît désormais un cadre légal affirmé aux rois et chefs traditionnels, qui jouent un rôle important dans la société.
Ce projet prévoit deux organes que sont l’Assemblée générale des rois et chefs traditionnels se réunissant au moins une fois par an et la Chambre nationale des rois et chefs traditionnels.
La Chambre nationale des rois et chefs traditionnels, dotée d’un directoire, bénéficiera, pour son fonctionnement, d’une subvention de l’Etat payée sur le budget national. La loi sur la chefferie traditionnelle en vigueur jusque-là en Côte d'Ivoire date de la période coloniale.