ABIDJAN -- Les parlementaires ivoiriens ont entamé jeudi à Abidjan l'examen du projet de loi de ratification du nouveau partenariat de défense entre la Côte d'Ivoire et la France signé le 26 janvier 2012 à Paris.
L'exposé des motifs a été présenté aux députés membres de la Commission des relations extérieures par le ministre en charge de la Défense, Paul Koffi Koffi, et le ministre des Affaires étrangères, Charles Diby Koffi.
Le nouveau traité de partenariat de défense vient remplacer l'accord de défense de 1961 signé entre la France et ses anciennes colonies d'Afrique de l'Ouest dont la Côte d'Ivoire.
Dans sa mise en oeuvre, le partenariat de défense concerne les "échanges de vues, d'informations et de renseignements relatifs aux vulnérabilités, risques et menaces à la sécurité nationale et régionale", "l'organisation, l'équipement et l'entraînement des forces, le cas échéant par un soutien logistique et des exercices conjoints", mais également "la formation des personnels des forces armées nationales par leur accueil ou leur admission en qualité de stagiaires ou d'élèves dans les écoles de formation militaires françaises ou soutenues par la France".
Le nouveau partenariat de défense prévoit également " l'organisation et le conseil aux forces mettant en oeuvre des actions de formation, de soutien technique et la mise à disposition de coopérants militaires techniques français", dans le cadre de la restructuration de l'outil de défense et de sécurité de la Côte d'Ivoire.
Le texte est fondé sur la logique de la coopération militaire actuelle de la France en Afrique qui vise à aider le continent à mettre sur pied son propre système de sécurité collective.
Avec le nouveau partenariat de défense, la France n'interviendra plus directement pour défendre la Côte d'Ivoire en cas d'agression extérieure, encore moins dans les conflits intérieurs, et son dispositif militaire à Abidjan devrait être réorganisé.
"Nous avons là un outil pour le renforcement de la coopération entre la France et la Côte d'Ivoire", avait commenté le président ivoirien Alassane Ouattara lors de la visite à Abidjan en mai du ministre français de la Défense, Yves Le Drian.
Le traité de partenariat de défense entre la Côte d'Ivoire et la France a été déjà ratifié par l'Assemblée nationale et le sénat en France.
L'exposé des motifs a été présenté aux députés membres de la Commission des relations extérieures par le ministre en charge de la Défense, Paul Koffi Koffi, et le ministre des Affaires étrangères, Charles Diby Koffi.
Le nouveau traité de partenariat de défense vient remplacer l'accord de défense de 1961 signé entre la France et ses anciennes colonies d'Afrique de l'Ouest dont la Côte d'Ivoire.
Dans sa mise en oeuvre, le partenariat de défense concerne les "échanges de vues, d'informations et de renseignements relatifs aux vulnérabilités, risques et menaces à la sécurité nationale et régionale", "l'organisation, l'équipement et l'entraînement des forces, le cas échéant par un soutien logistique et des exercices conjoints", mais également "la formation des personnels des forces armées nationales par leur accueil ou leur admission en qualité de stagiaires ou d'élèves dans les écoles de formation militaires françaises ou soutenues par la France".
Le nouveau partenariat de défense prévoit également " l'organisation et le conseil aux forces mettant en oeuvre des actions de formation, de soutien technique et la mise à disposition de coopérants militaires techniques français", dans le cadre de la restructuration de l'outil de défense et de sécurité de la Côte d'Ivoire.
Le texte est fondé sur la logique de la coopération militaire actuelle de la France en Afrique qui vise à aider le continent à mettre sur pied son propre système de sécurité collective.
Avec le nouveau partenariat de défense, la France n'interviendra plus directement pour défendre la Côte d'Ivoire en cas d'agression extérieure, encore moins dans les conflits intérieurs, et son dispositif militaire à Abidjan devrait être réorganisé.
"Nous avons là un outil pour le renforcement de la coopération entre la France et la Côte d'Ivoire", avait commenté le président ivoirien Alassane Ouattara lors de la visite à Abidjan en mai du ministre français de la Défense, Yves Le Drian.
Le traité de partenariat de défense entre la Côte d'Ivoire et la France a été déjà ratifié par l'Assemblée nationale et le sénat en France.