Les membres de la commission centrale de la Commission Electorale Indépendante (CEI) sont connus depuis ce mercredi 9 juillet. En effet, ceux-ci ont été nommés au cours du conseil des ministres de ce jour.
Sur les 17 membres que compte cette structure chargée de superviser l’organisation des élections, quinze noms ont été révélés.
Il s’agit entre autre de M. Sourou Koné représentant le Chef de l’Etat, Gervais Coulibaly, représentant la LMP. Selon le porte-parole du gouvernement, Bruno Koné, en procédant à la nomination des membres de la CEI, le Président de la République réaffirme d’une part son engagement d’organiser l‘élection présidentielle en octobre 2015.
D’autre part, son souci de tenir dans les contraintes d’un chronogramme serré. En attendant que le FPI et l’Alliance des forces démocratiques(AFD) ne désignent leurs membres, le gouvernement a-t-il indiqué, vient montrer qu’il ne peut pas se permettre de perdre du temps sur des échéances importantes à réaliser en vue de tenir dans les délais constitutionnels.
Aussi, ajoute-t-il, le Gouvernement se réserve le droit d’aviser au cas où ce parti et ce groupement politique ne désignent pas leurs représentants avant la transmission des noms au Conseil constitutionnel.
Sur les 17 membres que compte cette structure chargée de superviser l’organisation des élections, quinze noms ont été révélés.
Il s’agit entre autre de M. Sourou Koné représentant le Chef de l’Etat, Gervais Coulibaly, représentant la LMP. Selon le porte-parole du gouvernement, Bruno Koné, en procédant à la nomination des membres de la CEI, le Président de la République réaffirme d’une part son engagement d’organiser l‘élection présidentielle en octobre 2015.
D’autre part, son souci de tenir dans les contraintes d’un chronogramme serré. En attendant que le FPI et l’Alliance des forces démocratiques(AFD) ne désignent leurs membres, le gouvernement a-t-il indiqué, vient montrer qu’il ne peut pas se permettre de perdre du temps sur des échéances importantes à réaliser en vue de tenir dans les délais constitutionnels.
Aussi, ajoute-t-il, le Gouvernement se réserve le droit d’aviser au cas où ce parti et ce groupement politique ne désignent pas leurs représentants avant la transmission des noms au Conseil constitutionnel.