Abidjan - Le gouvernement ivoirien a adopté, mercredi, une loi de finances rectificative portant sur le budget 2014 de l’Etat qui passe de 4 248 à 4 407 milliards de FCFA, a appris APA de source officielle dans la capitale économique ivoirienne.
« Le budget passe à 4 407 milliards de FCFA contre 4 248 initialement », a déclaré le porte-parole du gouvernement Bruno Nabagné Koné à l’issue d’un Conseil des ministres présidé par le Chef de l’Etat Alassane Ouattara.
Selon lui, « ce nouveau budget prend en compte la réalité de l’exécution du précédent ». « C’est un budget qui confirme la bonne santé de l’économie ivoirienne », s’est félicité M. Koné par ailleurs, ministre de la Poste, des technologies de l’information et de la communication.
Cette augmentation du budget de l’Etat, a-t-il expliqué, est liée à l’augmentation de la production de certains produits notamment le cacao et le gaz.
Dans ce budget de 4 407 milliards de FCFA, « le budget d’investissement représente 1 306 milliards de FCFA contre 1 258 dans le précédent ». « C’est la preuve que notre économie se porte bien. Le taux de croissance à deux chiffres a toutes les chances d’être atteint », a conclu M. Koné.
LS/APA
« Le budget passe à 4 407 milliards de FCFA contre 4 248 initialement », a déclaré le porte-parole du gouvernement Bruno Nabagné Koné à l’issue d’un Conseil des ministres présidé par le Chef de l’Etat Alassane Ouattara.
Selon lui, « ce nouveau budget prend en compte la réalité de l’exécution du précédent ». « C’est un budget qui confirme la bonne santé de l’économie ivoirienne », s’est félicité M. Koné par ailleurs, ministre de la Poste, des technologies de l’information et de la communication.
Cette augmentation du budget de l’Etat, a-t-il expliqué, est liée à l’augmentation de la production de certains produits notamment le cacao et le gaz.
Dans ce budget de 4 407 milliards de FCFA, « le budget d’investissement représente 1 306 milliards de FCFA contre 1 258 dans le précédent ». « C’est la preuve que notre économie se porte bien. Le taux de croissance à deux chiffres a toutes les chances d’être atteint », a conclu M. Koné.
LS/APA