Le ministre de l’industrie et des Mines, Jean-Claude Brou a procédé, lundi au lancement du projet "droits de propriété et de développement du diamant artisanal''(DPDDA), en présence de l’ambassadeur des Etats-Unis en Côte d’Ivoire, Mc Culley’s Remarks, au Golf Hôtel, à Cocody.
Cofinancé par l’Union Européenne et l’agence américaine pour le développement (USAID), Le projet DPDDA vise selon le directeur national, un double objectif, à savoir, augmenter le volume de diamants légalement exportés et améliorer les conditions de vie des communautés minières.
"Le projet s’articule autour de quatre volets, le foncier, la gouvernance, l’appui économique et la sensibilisation", a-t-il ajouté, précisant que l'exécution de ce projet est prévue de 2013 à 2018.
Pour le ministre Brou, ce projet permettra entre autres la modernisation du cadre législatif du secteur du diamant, le renforcement de la gouvernance, la redynamisation des activités minières.
Il s’agira a-t-il ajouté, d’assurer le suivi du processus de Kimberley (dispositif international pour la lutte contre les diamants liés aux conflits) et la mise en œuvre de stratégie de développement en cette période post embargo.
Le ministre a annoncé par ailleurs l'ouverture prochaine des bureaux d'achat du diamant avant la fin de l'année 2014, en vue de "compléter la chaîne de l'exploitation du diamant à l'exportation".
Félicitant le ministre pour l’adhésion de la Côte d’Ivoire au système de certification du Kimberley, l’ambassadeur des Etats Unis, MC Culley’s, a estimé que cette action a été l’élément clé, pour la levée de l’embargo en avril.
Le diplomate a admis que le DPDDA "met fortement l’accent sur l’importance d’un développement rural durable et soutien les priorités du gouvernement de Côte d’Ivoire pour la réconciliation nationale".
Sous embargo du Conseil de sécurité des Nations Unies depuis 2005, les exportations ivoiriennes de diamants ont repris en avril, rappelle-t-on.
tad/kam
Cofinancé par l’Union Européenne et l’agence américaine pour le développement (USAID), Le projet DPDDA vise selon le directeur national, un double objectif, à savoir, augmenter le volume de diamants légalement exportés et améliorer les conditions de vie des communautés minières.
"Le projet s’articule autour de quatre volets, le foncier, la gouvernance, l’appui économique et la sensibilisation", a-t-il ajouté, précisant que l'exécution de ce projet est prévue de 2013 à 2018.
Pour le ministre Brou, ce projet permettra entre autres la modernisation du cadre législatif du secteur du diamant, le renforcement de la gouvernance, la redynamisation des activités minières.
Il s’agira a-t-il ajouté, d’assurer le suivi du processus de Kimberley (dispositif international pour la lutte contre les diamants liés aux conflits) et la mise en œuvre de stratégie de développement en cette période post embargo.
Le ministre a annoncé par ailleurs l'ouverture prochaine des bureaux d'achat du diamant avant la fin de l'année 2014, en vue de "compléter la chaîne de l'exploitation du diamant à l'exportation".
Félicitant le ministre pour l’adhésion de la Côte d’Ivoire au système de certification du Kimberley, l’ambassadeur des Etats Unis, MC Culley’s, a estimé que cette action a été l’élément clé, pour la levée de l’embargo en avril.
Le diplomate a admis que le DPDDA "met fortement l’accent sur l’importance d’un développement rural durable et soutien les priorités du gouvernement de Côte d’Ivoire pour la réconciliation nationale".
Sous embargo du Conseil de sécurité des Nations Unies depuis 2005, les exportations ivoiriennes de diamants ont repris en avril, rappelle-t-on.
tad/kam