- Monsieur le Président de l’Organisation
Régionale Antidopage Afrique Zone 2 et 3
- Mesdames et Messieurs les Experts,
- Distingués Invités en vos rangs, titres et
qualités,
- Mesdames et Messieurs,
Avant tout propos, permettez-moi de remercier les hautes autorités de l’ORAD qui ont permis la tenue, à Abidjan, de la neuvième Réunion du Conseil.
Je dis particulièrement ma gratitude à Monsieur le Président de l’ORAD, pour qui aucun effort, aucun sacrifice n’est de trop dans la lutte antidopage.
Egalement, mes remerciements vont à tous les acteurs qui ont effectué massivement le déplacement d’Abidjan. Ce parterre de personnalités, est la marque de tout l’intérêt porté à la lutte contre le dopage dans le sport en Afrique.
Mesdames et Messieurs,
La neuvième Réunion du Conseil qui nous réunit est essentielle dans la gouvernance du sport dans la Sous-région. En effet, le dopage en tant qu’usage illicite de substances pour décupler les énergies en vue de grandes performances doit être combattu sous toutes ses formes. Au moment où nous nous sommes engagés à faire prendre au sport sa place dans les programmes nationaux de développement, la vigilance sur le dopage doit être de tout instant.
Vigilance, parce que le sport, aujourd’hui, plus qu’un jeu est un business.
L’Afrique, en général, notre Zone, en particulier, qui aspire à une émergence doit s’inscrire résolument dans la lutte antidopage. Convenez avec moi que le dopage est une question d’éthique. On peut moraliser le sport par une prise de responsabilité collective : gouvernants, sportifs, dirigeants, athlètes. Mieux, un engagement collectif conduira, j’en suis persuadé, à la moralisation qui va donner au sport sa noblesse d’antan où l’athlète ne comptait que sur ses potentialités réelles et naturelles, où l’appât du gain ne l’emportait pas sur la morale.
J’invite donc chaque membre de la communauté sportive à faire son mea culpa pour dire « plus jamais d’athlète dopé dans mon équipe ».
La lutte contre le dopage est un combat d’avant-garde. En effet, l’athlète après sa période d’activité sportive devrait pouvoir être un citoyen bien portant. Il s’agit-là de protéger l’athlète. Et comme c’est dans l’âge de la jeunesse qu’on pratique intensément les activités sportives, c’est dire qu’il faut protéger la jeunesse, cette fine fleur biologique, cette sève vivifiante pour le développement de nos Etats.
Mesdames et Messieurs,
Les efforts de tous doivent converger vers la protection des athlètes. Je note-là avec satisfaction l’engagement de chacun d’en faire l’un des axes majeurs des actions de notre organisation. En effet, pour l’année 2013, le Burkina Faso, le Benin, la Côte d’Ivoire, la Guinée Bissau, le Niger et le Sénégal ont effectué les contrôles.
De plus en plus, l’ORAD inspire confiance et rassure les partenaires à en juger par les diverses sollicitations, notamment la CEDEAO, la Fédération Internationale de Rugby, lors des matches qualificatif à la coupe du monde, la Fédération Internationale de Taekwondo lors de la coupe du monde tenue, ici-même, à Abidjan.
En même temps que ces sollicitations renforcent la crédibilité de l’ORAD, elles offrent l’occasion aux ACD de mettre en pratique les connaissances acquises enrichissant ainsi leurs expériences respectives.
Il faut donc œuvrer au cours de vos travaux dans le sens de l’efficience et de l’efficacité dans la lutte antidopage. Une synergie d’actions autour des conclusions des travaux est essentielle. Nous devons donc redoubler d’effort afin que soit implanté en Afrique de l’Ouest le troisième laboratoire africain. Permettez-moi, à ce propos, d’indiquer que la Côte d’Ivoire est prête à l’accueillir avec les études de faisabilité achevées et soutenues par un dossier architectural également prêt.
Mesdames et Messieurs,
Je voudrais vous engager, engager nos Etats respectifs dans la lutte antidopage pour qu’aucun athlète africain ne soit contrôlé positif. Il s’agit d’une urgence car la lutte contre le dopage est un problème de santé publique, un problème de saine et bonne pratique du sport. Nous devons avoir comme leitmotiv « dopage zéro » dans notre Zone. Oui, nous le pouvons. Oui, nous devons y parvenir. Et nous y parviendrons.
C’est sur cet engagement que j’achève mon propos tout en souhaitant un succès franc à vos travaux et déclare ouverte la neuvième Réunion du Conseil de l’Organisation Régionale Antidopage Afrique Zone 2 et 3.
Vive le sport sans dopage.
Je vous remercie.
Régionale Antidopage Afrique Zone 2 et 3
- Mesdames et Messieurs les Experts,
- Distingués Invités en vos rangs, titres et
qualités,
- Mesdames et Messieurs,
Avant tout propos, permettez-moi de remercier les hautes autorités de l’ORAD qui ont permis la tenue, à Abidjan, de la neuvième Réunion du Conseil.
Je dis particulièrement ma gratitude à Monsieur le Président de l’ORAD, pour qui aucun effort, aucun sacrifice n’est de trop dans la lutte antidopage.
Egalement, mes remerciements vont à tous les acteurs qui ont effectué massivement le déplacement d’Abidjan. Ce parterre de personnalités, est la marque de tout l’intérêt porté à la lutte contre le dopage dans le sport en Afrique.
Mesdames et Messieurs,
La neuvième Réunion du Conseil qui nous réunit est essentielle dans la gouvernance du sport dans la Sous-région. En effet, le dopage en tant qu’usage illicite de substances pour décupler les énergies en vue de grandes performances doit être combattu sous toutes ses formes. Au moment où nous nous sommes engagés à faire prendre au sport sa place dans les programmes nationaux de développement, la vigilance sur le dopage doit être de tout instant.
Vigilance, parce que le sport, aujourd’hui, plus qu’un jeu est un business.
L’Afrique, en général, notre Zone, en particulier, qui aspire à une émergence doit s’inscrire résolument dans la lutte antidopage. Convenez avec moi que le dopage est une question d’éthique. On peut moraliser le sport par une prise de responsabilité collective : gouvernants, sportifs, dirigeants, athlètes. Mieux, un engagement collectif conduira, j’en suis persuadé, à la moralisation qui va donner au sport sa noblesse d’antan où l’athlète ne comptait que sur ses potentialités réelles et naturelles, où l’appât du gain ne l’emportait pas sur la morale.
J’invite donc chaque membre de la communauté sportive à faire son mea culpa pour dire « plus jamais d’athlète dopé dans mon équipe ».
La lutte contre le dopage est un combat d’avant-garde. En effet, l’athlète après sa période d’activité sportive devrait pouvoir être un citoyen bien portant. Il s’agit-là de protéger l’athlète. Et comme c’est dans l’âge de la jeunesse qu’on pratique intensément les activités sportives, c’est dire qu’il faut protéger la jeunesse, cette fine fleur biologique, cette sève vivifiante pour le développement de nos Etats.
Mesdames et Messieurs,
Les efforts de tous doivent converger vers la protection des athlètes. Je note-là avec satisfaction l’engagement de chacun d’en faire l’un des axes majeurs des actions de notre organisation. En effet, pour l’année 2013, le Burkina Faso, le Benin, la Côte d’Ivoire, la Guinée Bissau, le Niger et le Sénégal ont effectué les contrôles.
De plus en plus, l’ORAD inspire confiance et rassure les partenaires à en juger par les diverses sollicitations, notamment la CEDEAO, la Fédération Internationale de Rugby, lors des matches qualificatif à la coupe du monde, la Fédération Internationale de Taekwondo lors de la coupe du monde tenue, ici-même, à Abidjan.
En même temps que ces sollicitations renforcent la crédibilité de l’ORAD, elles offrent l’occasion aux ACD de mettre en pratique les connaissances acquises enrichissant ainsi leurs expériences respectives.
Il faut donc œuvrer au cours de vos travaux dans le sens de l’efficience et de l’efficacité dans la lutte antidopage. Une synergie d’actions autour des conclusions des travaux est essentielle. Nous devons donc redoubler d’effort afin que soit implanté en Afrique de l’Ouest le troisième laboratoire africain. Permettez-moi, à ce propos, d’indiquer que la Côte d’Ivoire est prête à l’accueillir avec les études de faisabilité achevées et soutenues par un dossier architectural également prêt.
Mesdames et Messieurs,
Je voudrais vous engager, engager nos Etats respectifs dans la lutte antidopage pour qu’aucun athlète africain ne soit contrôlé positif. Il s’agit d’une urgence car la lutte contre le dopage est un problème de santé publique, un problème de saine et bonne pratique du sport. Nous devons avoir comme leitmotiv « dopage zéro » dans notre Zone. Oui, nous le pouvons. Oui, nous devons y parvenir. Et nous y parviendrons.
C’est sur cet engagement que j’achève mon propos tout en souhaitant un succès franc à vos travaux et déclare ouverte la neuvième Réunion du Conseil de l’Organisation Régionale Antidopage Afrique Zone 2 et 3.
Vive le sport sans dopage.
Je vous remercie.