Abidjan - Le ministre ivoirien de l’Intérieur et de la Sécurité, Hamed Bakayoko, a affirmé, mardi, que le gouvernement « travaille dans le sens de la mise en place d’une commission électorale indépendante(CEI) consensuelle », afin de faire participer pleinement tous les partis à la vie politique de la Côte d’ivoire.
M. Bakayoko a fait cette déclaration au terme d’une réunion à son cabinet à Abidjan-Plateau, avec des leaders de l’Alliance des forces démocratiques (AFD), une coalition regroupant des partis de l’opposition menés par le Front populaire ivoirien (FPI).
Les présidents du FPI et de l'Union républicaine pour la démocratie (URD), respectivement Pascal Affi N’Guessa et Danielle Boni Claverie, ainsi que le secrétaire général du Rassemblement pour le progrès et la paix (RPP), Ouattara Gnonzié, ont pris part à cette rencontre.
Pour le ministre Hamed Bakayoko, cette "séance de travail" marque la "volonté des partis de l’opposition à aider le pays à aller de l’avant" en participant à la CEI.
Selon Pascal Affi N’Guéssan, la mise en place d’un ‘’bureau consensuel à été acquis’’.
"Un bureau consensuel signifie que le pouvoir et l’opposition soient également représentés au sein de la CEI", a-t-il défini.
Il s’est par ailleurs réjoui du fait que le pouvoir ne soit pas fermé aux revendications de l’Alliance.
"Nous voulons marquer notre engagement à entrer dans le jeu politique, et être des acteurs actifs, des acteurs de premier plan pour impacter le processus de réconciliation nationale", a-t-il conclu.
La nouvelle loi sur la CEI a été promulguée en juin. Sa commission centrale comprend 17 membres.
(AIP)
tad/tm
M. Bakayoko a fait cette déclaration au terme d’une réunion à son cabinet à Abidjan-Plateau, avec des leaders de l’Alliance des forces démocratiques (AFD), une coalition regroupant des partis de l’opposition menés par le Front populaire ivoirien (FPI).
Les présidents du FPI et de l'Union républicaine pour la démocratie (URD), respectivement Pascal Affi N’Guessa et Danielle Boni Claverie, ainsi que le secrétaire général du Rassemblement pour le progrès et la paix (RPP), Ouattara Gnonzié, ont pris part à cette rencontre.
Pour le ministre Hamed Bakayoko, cette "séance de travail" marque la "volonté des partis de l’opposition à aider le pays à aller de l’avant" en participant à la CEI.
Selon Pascal Affi N’Guéssan, la mise en place d’un ‘’bureau consensuel à été acquis’’.
"Un bureau consensuel signifie que le pouvoir et l’opposition soient également représentés au sein de la CEI", a-t-il défini.
Il s’est par ailleurs réjoui du fait que le pouvoir ne soit pas fermé aux revendications de l’Alliance.
"Nous voulons marquer notre engagement à entrer dans le jeu politique, et être des acteurs actifs, des acteurs de premier plan pour impacter le processus de réconciliation nationale", a-t-il conclu.
La nouvelle loi sur la CEI a été promulguée en juin. Sa commission centrale comprend 17 membres.
(AIP)
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