Dans son discours d'ouverture des réunions du conseil de coordination et du comité technique du Réseau semencier africain (ASN) et de l’assemblée générale du Forum pour les essais de semences en Afrique (FAST), le ministre ivoirien de l’Agriculture, Coulibaly Mamadou Sangafowa, a préconisé mardi à Abidjan, le renforcement de l’ASN en termes de capacités institutionnelles et humaines.
« Je souhaite qu’au cours de ces réunions des organes de l’ASN, aucun effort ne soit ménagé pour permettre de jeter les bases d’un nouveau départ de l’ASN », a recommandé le premier responsable ivoirien de l’Agriculture aux participants, après avoir rappelé l’importance du rôle joué par le Réseau dans le développement du secteur semencier de la Côte d'Ivoire.
Expliquant le l’ASN a appuyé les institutions nationales dans le renforcement de leurs structures semencières et contribué au développement des capacités et à l’élaboration de la politique nationale semencière et de la stratégie de mise en œuvre, M. Coulibaly a déclaré que son renforcement permettra à la Côte d’Ivoire et au reste de l'Afrique, de disposer d’un instrument performant au service des initiatives semencières.
Le ministre ivoirien de l’Agriculture s’est également réjoui de la formation FAST qui permettra à l’Afrique de disposer désormais d’une institution indispensable à la facilitation du commerce continental et international des semences.
Aussi, pour parvenir à des résultats probants, le ministre a-t-il encouragé les participants à étendre l’expertise en qualité des semences aux petits producteurs semenciers, dans la mesure où, dit-il, la plus grande proportion des semences en Afrique provient de cette source.
« Une telle démarche aura un impact considérable sur le court terme et constituera un immense soulagement et une sécurité économique pour les millions d'agriculteurs qui exploitent ces systèmes pour la production de leurs semences », a-t-il observé.
M. Coulibaly a également exprimé sa reconnaissance à tous les partenaires au développement pour leur appui à l’Afrique en vue de développer son secteur semencier, tout en les incitant à développer des partenariats plus étroits et plus productifs au bénéfice de l’ASN et du FAST.
La cérémonie d’ouverture des réunions s’est effectuée en présence notamment de la représentante de la Commission de l'Union Africaine, Dr Janet Edeme, du représentant de la FAO, Dr Robert Guéi, du directeur exécutif du Réseau semencier africain, Dr Kouamé Miézan, ainsi que d’émissaires de la BAD, de l’USAID, du CORAF, de la Banque Mondiale, du FIDA, de la JICA et de la CEDEAO.
Le Réseau semencier africain a été créé en 1998 à Abidjan, avec le soutien de la FAO, par 40 Etats du continent.
cmas
« Je souhaite qu’au cours de ces réunions des organes de l’ASN, aucun effort ne soit ménagé pour permettre de jeter les bases d’un nouveau départ de l’ASN », a recommandé le premier responsable ivoirien de l’Agriculture aux participants, après avoir rappelé l’importance du rôle joué par le Réseau dans le développement du secteur semencier de la Côte d'Ivoire.
Expliquant le l’ASN a appuyé les institutions nationales dans le renforcement de leurs structures semencières et contribué au développement des capacités et à l’élaboration de la politique nationale semencière et de la stratégie de mise en œuvre, M. Coulibaly a déclaré que son renforcement permettra à la Côte d’Ivoire et au reste de l'Afrique, de disposer d’un instrument performant au service des initiatives semencières.
Le ministre ivoirien de l’Agriculture s’est également réjoui de la formation FAST qui permettra à l’Afrique de disposer désormais d’une institution indispensable à la facilitation du commerce continental et international des semences.
Aussi, pour parvenir à des résultats probants, le ministre a-t-il encouragé les participants à étendre l’expertise en qualité des semences aux petits producteurs semenciers, dans la mesure où, dit-il, la plus grande proportion des semences en Afrique provient de cette source.
« Une telle démarche aura un impact considérable sur le court terme et constituera un immense soulagement et une sécurité économique pour les millions d'agriculteurs qui exploitent ces systèmes pour la production de leurs semences », a-t-il observé.
M. Coulibaly a également exprimé sa reconnaissance à tous les partenaires au développement pour leur appui à l’Afrique en vue de développer son secteur semencier, tout en les incitant à développer des partenariats plus étroits et plus productifs au bénéfice de l’ASN et du FAST.
La cérémonie d’ouverture des réunions s’est effectuée en présence notamment de la représentante de la Commission de l'Union Africaine, Dr Janet Edeme, du représentant de la FAO, Dr Robert Guéi, du directeur exécutif du Réseau semencier africain, Dr Kouamé Miézan, ainsi que d’émissaires de la BAD, de l’USAID, du CORAF, de la Banque Mondiale, du FIDA, de la JICA et de la CEDEAO.
Le Réseau semencier africain a été créé en 1998 à Abidjan, avec le soutien de la FAO, par 40 Etats du continent.
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