Grand-Bassam – La section ivoirienne de l'African parliamentatrians network against corruption, Réseau des parlementaires africains africains contre la Corruption (APNAC-Côte d’Ivoire) a organisé samedi et dimanche à Grand-Bassam, un atelier de lancement de ses activités, avec l’appui du Programme des Nations Unies pour le Développement (PNUD).
Ces assises qui ont vu la participation des parlementaires, des membres des institutions de la République , des structures nationales de promotion de la bonne gouvernance et de la lutte contre la corruption et des responsables d’ONG, visent à présenter la section ivoirienne de l’APNAC à la communauté nationale et internationale, et à jeter les bases d’une collaboration renforcée entre ce Réseau et les organisations de la société civile.
Cette collaboration devrait aboutir à la mise en place d’une plateforme.
Selon le président de la section APNAC-CI, Sidibé Abdoulaye, l’atelier visait de façon spécifique à renforcer les capacités des députés à l’utilisation de l’outil d’évaluation de la lutte contre la corruption.
Pour le Directeur pays du PNUD, Luc Joël Grégoire, la corruption constitue une entrave aux efforts collectifs de lutte contre la pauvreté et de la promotion des droits humains. Il a donc félicité les députés, membres du réseau qui ont décidé de faire de la lutte contre la corruption leur leitmotiv.
"Permettez-moi de saluer votre engagement à contribuer à la promotion d’une gouvernance démocratique renforcée et d’une société ivoirienne plus engagée dans l’adoption de comportements éthiques dans la gestion des affaires publiques", a-t-il souligné.
Quant à Yéo Brahima, il a fait l’historique du Réseau APNAC, avant de présenter le Bureau exécutif dont il est le secrétaire général. A en croire M. Yéo, cette organisation compte à son sein 36 membres.
"Cependant, les nobles idéaux et le champ d’investigation de notre structure continue de faire des émules parmi les parlementaires qui continuent de nous approcher pour intégrer le Réseau", a-t-il signalé.
Le vice-président de l’Assemblée nationale Manou Bi Koueli, qui a ouvert l’atelier au nom du président Soro Guillaume, a d’abord rendu un hommage appuyé au Président de la République, Alassane Ouattara pour sa détermination à lutter contre la corruption en créant des structures de lutte. A ses pairs, il a demandé d’être courageux et sages dans cette mission.
"Vous êtes comparables à des buffles les plus intelligents et les plus courageux qui avancent dans la savane, sachant bien qu’ils peuvent recevoir des coups à tout moment", a-t-il imagé.
ko/aaa/ask
Ces assises qui ont vu la participation des parlementaires, des membres des institutions de la République , des structures nationales de promotion de la bonne gouvernance et de la lutte contre la corruption et des responsables d’ONG, visent à présenter la section ivoirienne de l’APNAC à la communauté nationale et internationale, et à jeter les bases d’une collaboration renforcée entre ce Réseau et les organisations de la société civile.
Cette collaboration devrait aboutir à la mise en place d’une plateforme.
Selon le président de la section APNAC-CI, Sidibé Abdoulaye, l’atelier visait de façon spécifique à renforcer les capacités des députés à l’utilisation de l’outil d’évaluation de la lutte contre la corruption.
Pour le Directeur pays du PNUD, Luc Joël Grégoire, la corruption constitue une entrave aux efforts collectifs de lutte contre la pauvreté et de la promotion des droits humains. Il a donc félicité les députés, membres du réseau qui ont décidé de faire de la lutte contre la corruption leur leitmotiv.
"Permettez-moi de saluer votre engagement à contribuer à la promotion d’une gouvernance démocratique renforcée et d’une société ivoirienne plus engagée dans l’adoption de comportements éthiques dans la gestion des affaires publiques", a-t-il souligné.
Quant à Yéo Brahima, il a fait l’historique du Réseau APNAC, avant de présenter le Bureau exécutif dont il est le secrétaire général. A en croire M. Yéo, cette organisation compte à son sein 36 membres.
"Cependant, les nobles idéaux et le champ d’investigation de notre structure continue de faire des émules parmi les parlementaires qui continuent de nous approcher pour intégrer le Réseau", a-t-il signalé.
Le vice-président de l’Assemblée nationale Manou Bi Koueli, qui a ouvert l’atelier au nom du président Soro Guillaume, a d’abord rendu un hommage appuyé au Président de la République, Alassane Ouattara pour sa détermination à lutter contre la corruption en créant des structures de lutte. A ses pairs, il a demandé d’être courageux et sages dans cette mission.
"Vous êtes comparables à des buffles les plus intelligents et les plus courageux qui avancent dans la savane, sachant bien qu’ils peuvent recevoir des coups à tout moment", a-t-il imagé.
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